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Ne pas pardonner c’est mettre un pare-don à soi-même et se bloquer les flux vers le succès

Publié le 21 août 2008 par Sogbeb

Je-Dis de Gbeton --- Volume II --- Numéro 9 --- 21 août 2008


[© photo : haratine.com ]

S'il y a une chose impardonnable c'est de ne pas pardonner.- Romain Gary -

L'homme qui pardonne ou qui demande pardon comprend
qu'il y a une vérité plus grande que lui.- Jean-Paul II-

La devise de l'homme vertueux est renfermée dans ces deux mots,
donner et pardonner - Eloges, abbé de Saint-Pierre -

Avoir du ressentiment envers quelqu’un, c’est comme prendre
du poison et s’attendre à ce que l’autre meure – Anonyme -

CE QUE JE DIS

Le pardon est souvent considéré comme un acte de générosité, un cadeau ou une faveur faite à l’autre. Mais en réalité, le pardon est d'abord utile à celui qui pardonne car il est le premier à bénéficier des fruits. C’est pour cela que je dis : « Ne pas pardonner c'est se mettre un pare-don, c’est bloquer le flux de ses propres dons et constituer une entrave à son propre succès. Pardonnez pour viser le meilleur ».


POURQUOI JE LE DIS

Cette soirée-là, les bouteilles d'eau ne faisaient pas grande recette dans cet univers festif où chacun voulait profiter des boissons sucrées et alcoolisées des grands jours. Pourtant, vers la fin de la réception, tous pratiquement réclamaient un bon verre d'eau fraîche. En effet, ils ont réalisé qu'aucune de ces autres boissons n'étanchait véritablement leur soif comme ce que Antoine de Saint Exupéry a appelé la plus grande richesse qui soit au monde, l'eau. Il en est de même de la rancune ou de la rancœur qui n'assouvit pas la soif de justice ou de vengeance qui l'a provoquée. Au contraire, elle met l'individu dans un état émotionnel défavorable à son épanouissement et à son succès. Et ce pour plusieurs raisons dont je retiendrai quatre.

  1. Pardonner c’est améliorer son propre état émotionnel

L’absence de pardon provoque ressentiment et colère. « Sans pardon, la vie est gouvernée par un parcours sans fin de ressentiment et de vengeance », constate le psychiatre italien Roberto Assagioli. Or, comme qui dirait, « avoir du ressentiment envers quelqu’un, c’est comme prendre du poison et s’attendre à ce que l’autre meure ». La colère libère une quantité importante d'adrénaline dans le sang, nuisible à notre état émotionnel et un ressentiment a, à long terme, sur le corps des conséquences fâcheuses parmi lesquelles les migraines, des maux de cœur voire le cancer. C’est pourquoi Wes Hopper affirme « Le pardon n’est pas quelque chose que tu fais pour l’autre, c’est quelque chose que tu fais pour toi-même » Le refus de pardon détruit plus le rancunier que le coupable à qui on refuse le pardon. C’est aussi ce pourquoi Victor Hugo s’écrie : « Le pardon, quel repos!» Pardonner améliore en effet notre état émotionnel nous détend et nous rend apte à recevoir les flux de dons, vers le succès.

  1. Qui ne pardonne pas ne peut être pardonné

Les disciples de Jésus lui ont demandé un jour de leur apprendre à prier. Alors il leur a enseigné une prière que les Chrétiens récitent quotidiennement, le "Notre Père" et qui dit, entre autres : « … pardonne-nous nos offenses comme nous le pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés… ». Comme l’illustre la parabole du roi qui pardonne et du serviteur ingrat, et souligné par Charles Fillmore, « la première étape pour se libérer de ses dettes est de remettre aux autres les dettes qu’ils ont envers nous ». Pardonner se révèle donc être la condition sine qua non pour être pardonné et ouvrir le canal à la réception des fruits des dons divers et divins.

  1. Ne pas pardonner c’est empêcher son fleuve de couler vers le succès

Comme l’explique Wes Hopper, dans un Univers de causes-effets, chaque pensée que nous plantons, nous revient multipliée. Le ressentiment ou l’absence de pardon est ainsi une bombe émotionnelle qui produit toujours en retour un boomerang, d’une manière ou d’une autre. C’est la raison pour laquelle, chaque parcelle de votre vie où vous ne voulez ou ne pouvez pas pardonner constitue un blocage aux flux de vos dons et succès. Et puis, comme le dit Marcelle Auclair, « Le pardon est plus qu'un sentiment, c'est une force qui déclenche d'admirables effets. » C'est en tout cela que je dis que ne pas pardonner est un pare-don pour soi-même. Fort de cela, Henri IV conclut que « La satisfaction qu'on tire de la vengeance ne dure qu'un moment ; celle que nous donne la clémence est éternelle. »

  1. Pardonner pour vivre mieux

Il faut donc pardonner, toujours pardonner, encore pardonner. Mais surtout pardonner en toute sincérité pour en récolter les fruits. Pour s'en assurer se poser les deux questions que suggère Wes Hopper : "Puis-je vraiment lui souhaiter du bien ? Puis-je lui être reconnaissant ?". « La devise de l'homme vertueux est renfermée dans ces deux mots, donner et pardonner. » résume Eloges, l’abbé de Saint-Pierre. En tout cas, pour Romain Gary « S'il y a une chose impardonnable c'est de ne pas pardonner. » Pardonner aux autres certes, mais d’abord pardonner à soi-même. Lorsque Victor Hugo demande : « Est-ce que le droit de se pardonner à soi-même n'existe pas ? », Anatole France lui répond : « Il faut se pardonner beaucoup à soi-même pour s'habituer à pardonner beaucoup à autrui. » Selon l’apôtre du pardon, le pape Jean-Paul II, « L'homme qui pardonne ou qui demande pardon comprend qu'il y a une vérité plus grande que lui. » surtout que « Tout pardon a sa récompense» (Christine Ockrent)
Pour savoir pardonner, voici quelques idées qui nous y encouragent sans doute :

  • Se venger d'une offense, c'est se mettre au niveau de son ennemi ; la lui pardonner, c'est se mettre au dessus de lui (Proverbe anglais)
  • Celui à qui on pardonne peu, aime peu. (Saint Luc)
  • Comprendre, c'est pardonner. (Madame de Staël)
  • A défaut du pardon, laisse venir l'oubli. (Alfred de Musset)
  • On pardonne tant que l'on aime. (François de La Rochefoucauld)
  • Il n'y a aucune vengeance si complète comme pardonner. (Josh Billings )
  • Pardonner est une action plus noble et plus rare que celle de se venger. (Shakespeare)
  • Quand une femme a tort, il faut commencer par lui demander pardon. (Francis de Croisset)
  • Notre vengeance sera le pardon. (Tomas Borge, Homme politique nicaraguais).
  • Le désir de vengeance est la première manifestation de la faiblesse (Gandhi).

EN DEFINITIVE, pardonner c'est se libérer d'une énergie négative qui nous ronge de l'intérieur, nous détruit et nous prive d'épanouissement. Osons pardonner aux autres et à nous-mêmes pour vivre mieux. Mais que cela ne nous empêche pas de manifester parfois mais sainement notre colère avant d’offrir le pardon car « Qui pardonne aisément invite à l'offenser. » (Pierre Corneille) et « La colère, chez les bons cœurs, n'est qu'un besoin pressant de pardonner ! » (Pierre Augustin de Beaumarchais)

LECTURE RECOMMANDEE

Comment pardonner ?
http://journaladomi.over-blog.com/article-4214265.html

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La parole enseigne, l'action entraîne.

A jeudi prochain, si Dieu le veut

Gbèton.

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LES COMMENTAIRES (1)

Par haratine
posté le 26 septembre à 22:54
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Mauritanie, Marabouts, Imams, Cadis: Esclavagistes, Racistes et Corrompus

  Les trois principaux maux qui gangrènent la société mauritanienne se trouvent chez ceux qui en principe doivent être les garants d’un « ordre juste » comme disait Ségolène Royal. Les principes même de notre nation tirés des enseignements de Mahomet nous incitent en cas de désaccord ou de confusion de rouvrir le livre saint.

  Malheureusement ceux qui ont la charge de rouvrir le Coran sont ceux là même les racistes, les Corrompus et les Esclavagistes. Les Cadis (Jurisconsultes, Imams) et les Marabouts sont eux qui jettent le trouble dans des questions relavant de
  l’esclavage, du raciste et de la corruption. Silence total dans les rangs !

  Nulle part dans un mosquée pendant les prêches et autres vous n’entendrez parler de la Corruption étatique, du Racisme et de l’Esclavage ! C’est à mourir de rires que de vouloir nier l’Esclavage, le Racisme et la Corruption dans cette République Islamique et islamisant de Mauritanie.

  Ce sont des religieux qui profitent de l’incrédulité religieuse de la masse pour passer sous silence les vrais problèmes. Il y’a une faiblesse dans le mental du nègre mauritanien qui fait que le Maure quoi qu’il arrive connait mieux que le noir la religion ! Ce complexe doit cesser. Et d’ailleurs comme disait Mouhammed Ould Sidi Yahya (Le plus grand savant mauritanien vivant) à quoi sert le Coran s’il est un boubou qu’un ne porte que chez lui.

  Le Coran on doit le porter partout pas qu’à la maison. Les imams concentrent 90% de leurs prêches sur la destruction d’Israël et à rappeler aux gens l’obligation de la soumission à Allah et 10% à demander des bénédictions. Aucune allusion à la Corruption, à l’Esclavage ou au Racisme. La plus part des Imams étant des commerçants ou des hommes d’affaires incarnant eux même les vices d’une société inégalitaire. Même la mosquée lieu sacrée symbole de l’égalité commence à refléter
  l’Injustice, l’Esclavage, la Corruption et le Racisme de la vie quotidienne !

  Quels sont les Maures qui accepteraient de prier derrière un Imam Halpulaar, Soninké, Wolof ou Hartani ? Ils se comptent au bout des doigts. Cet apartheid religieux se rencontre à la faculté de droit de Nouakchott que je connais bien. Là-bas est imam de la mosquée universitaire celui qui vient le premier dans la mosquée. Dés qu’un étudiant nègre se devant pour diriger la prière les Maures ne se bousculent pour prier. Ils font semblant de faire des prières subrogatoires. Juste une petite poignée ne fait pas attention à ce racisme. Il y’a un mimétisme juridique voir une coutume qui fait que le nègre ne doit pas diriger la prière en présence du maure !

  La mosquée marocaine tenue par un imam soninké subit toutes les brimades des Maures parce qu’un noir y tient l’office ! Il était inacceptable pour les Maures et
  l’Etat que cette mosquée en milieu populaire propice à la propagande soit tenue par un négro ! On accusa le pauvre imam soninké de tous les maux, un coup : « Il ne prononce pas bien le Coran », un coup : « il est de la confrérie Tidjane, etc… ». Il fut même arrêté pour connivence avec la mouvance islamiste alors la mouvance islamiste en elle-même est fasciste n’accepte pas les noirs !

  Une autre fois c’est un imam Hartani au Pk8. Le pauvre il a fallu de peu pour qu’on lui lance une Fatwa. Il n’ont pas pu retenir contre lui le délit de langue (Un nouveau délit religieux en Mauritanie) parce qu’étant Hartani il a la même prononciation que le Maure. On lui rapprocha de se couper la barbe, pratique, incompatible avec la Sounna. Pendant ce temps le Pays est tenu par des hommes basistes à la moustache de Staline sans qu’un Imam ou marabout ne trouve rien à dire.

  La mosquée des Peulh dans le quartier Socim, un quartier plein de magasins des maures ils sont même entrain de colonisés tout le quartier, allez compter le nombre de Maures qui y prient El Dohr ou El Asr l’heure où tous les magasins maures sont ouverts. Ils rapprochent à l’Imam de mosquée un halpulaar le nouveau délit de langue !

  L’autre mosquée des Peulh aux abords du comptoir américain (Boutique
  d’électroniques) à Medina 3, le lieu de prière de Anne Amadou Baba Ly (Dernier ministre de l’intérieur avant que le ministère ne soit décapité par Sidi ould Cheikh abdallahi pour y remettre un negro) fut fermé par les services de la sureté nationale (Ely Ould Mouhhamed Vall aux commandes à l’époque) pour trouble à l’ordre public !!!

  Le vendredi durant la prière du Jamaa ceux qui normalement abonnés à la mosquée qui s’y sont de l’aube à la nuit se trouvent reléguer au second rang aux profil de délinquants en col blanc qui viennent à la mosquée que le vendredi. Ils sont (Les pauvres citoyens) même obligés de remplir leurs vœux pieux hors de la mosquée ! Derrière l’imam pendant la prière doivent se trouver normalement ceux qui connaissent parfaitement le Coran pour qu’en cas d’oubli de l’Imam qu’il puisse être seconder.

  Maintenant ce choix il ne se base plus sur la connaissance du Coran mais sur la valeur du Dara’a (Grand boubou). Le pauvre qui tout le temps est à la mosquée le vendredi un grand jour pour le musulman, se voit réduit au rand de mécréant le temps que les cols blancs accomplissent leur rare devoir. Et toute cette injustice religieuse sous le regard complice de l’Imam. L’Imam qui normalement dans ses Khotba (prêches) doit parler des injustices sociales sert de vecteur à la raison d’Etat. Il passe sous silence les agissements des barons maures dont la religiosité est plus que douteuse. La politique dés mosquées est désormais de jouer sur l’incrédulité religieuse de la masse pour maintenir l’injustice sociale.

  L’Imam Bouddah Ould Bousseyri que je respecte personnellement en tant que Bouddah et pas en tant que Moufti de Nouakchott s’est laissé dépasser par la propagande de l’Etat. En tant que Moufti de Nouakchottc’est à lui que revenait la charge de faire prier le président Taya. Il n’a jamais parlé de l’Esclavage, de la Corruption de l’Etat, du Racisme, des déportés, d’Israël et pourtant Taya était assis devant lui !

  Je défis quiconque de me sortir une seule Khotba où il parle de l’Esclave, du Racisme, des déportations, où de la Corruption du régime de Taya . Moi je préfère Mouhamed Ould Sidi Yahya à Bouddah Ould Bousseyri et je conseille à tous les musulmans opprimés Ould Sidi Yahya. Bouddah n’est pas plus savant que lui. Il fut jeté en prison par Taya et Ely plusieurs fois.

  Sidi Yahya celui que tous les Maures détestent parce qu’il dénonce les injustices et
  l’hypocrisie de la société. Ces cassettes se vendent dans tous les standards de Nouakchott. Pour un vrai musulman qui voudrait voir la voie juste je conseille vivement Sidi Yahya qui habite à Kiffa et est de la tribu des Messouma. Il n’y a jamais eu plus savant que lui en Mauritanie et il n’y en aura pas dans ce pays qui refuse d’appeler les choses par leurs noms. Il est mieux que tous les faux saints mauritaniens et Dieu sait qu’il y’en a des faux saints.

  C’est le seul maure en Mauritanie aujourd’hui qui refuse d’appeler un Hartani, Hartani, un Pulaar, Pulaar, un Soninké, Soninké, un Maure, Maure ou un Wolof, Wolof. Pour lui il n’ya que des Mauritaniens Wou khlass (C’est tout). Le seul à avoir dénoncer le génocide de 1989 contre les Nègres qui lui valu plusieurs séjour en prison. Naturellement cet homme est mieux que Bouddah sur le plan national. Sur le plan religieux Allahou Ya’eleum (Seul Allah Sait).

  Les Cadis ces juristes sortis des Mahadras ou de l’Iseri ( Des institutions louables) garant des litiges concernant le statut de la famille sont aussi corrompus que les Imams. Un petit Hartani qui fait le thé souvent son esclave occupe la porte d’entrée de son Mekteb (Bureau) rémunéré au dos l’Etat. La plus part du temps le Cadis est absent. Parti dans les ministères pour pistonner un cousin Coran à la main ou mettre au point une stratégie pour détrousser l’Etat. Il y’a des Cadis et des Imams à qui on dit « Hal’leul’li yeuh (rend moi ca licite), Andi chouey meun el moukhadiratt (J’ai un peu de drogue) !

  C'est-à-dire qu’un grand commerçant ou responsable peut dire à un Cadi ou un Imam de lui rendre licite un trafique de drogue par exemple. Le trafiquant doit remplir une condition, celle de sortir une aumône pour une action musulmane après l’écoulement de la marchandise. L’action musulmane peut être d’envoyer de l’argents aux frères palestiniens qui fond le Jihad ou sortir une somme pour les pauvres des Keubatt (Favelas, des pauvres au dessous de la pauvreté) ou envoyé son 4X4 avec un chauffeur pour aller ramasser les nécessiteux dans les rues de Nouakchott, par exemple.

  Les mêmes explications absurdes utiliser par les afghans pour vendre le pavot.
  L’explication de ces gens tient du fait que tout délit ou mensonge qui renforce la foi est licite !!!! Dans le droit musulman la femme ne peut pas divorcer. Elle doit être divorcer. Mais on assiste de plus en plus à de grandes dames de Tevrag-Zeina (Pourquoi toujours T.Zeina ? Cette agglomération est devenue dans la conscience populaire symbole de voles, de trafic de drogues, d’enrichissements illicites,
  d’injustices etc.) qui divorcent de leur mari pour avoir graisser la patte à un Cadi boutiquier !

  Ces garants de la foi arrivent même actuellement et c’est devenu la mode dans beaucoup de milieux nouakchottois, à autoriser les mariages à durée déterminée ! Des mariages de circonstances dont le but est d’assouvir un besoin charnel (Union entre NKia une femme touareg trafiquante d’arme qui fournie l’armée mauritanienne, avec un riche homme
  d’affaire de la place qui avait juré de se la faire, histoire connue dans tout Nouakchott).

  Cette pratique qui existait au sein des sarrasins et défendu par le Prophète n’est de jours pratiquer que chez les Chiites. Et dire qu’en Mauritanie on a arrêté des gens parce qu’ils sont de rite Tidjane ! Pendant ce temps les femmes faibles subissent les assauts d’un mari infidèle et violent. Et celles que le désespoir poussent jusqu’à aller se plaindre chez les cadis se voient rétorquer que leur démarche est contre l’Islam. Certaines se voient traiter de femmes légères et frivoles par le cadi qui la veille était venu au secours d’une dame cigarette en main, drapée dans un voile rakik (Leger) dans une Mercedes !

  Cette tare des percepts religieux est relayée par des Marabouts ou des gens se disant Cherif (Descendant du prophète). Ceux-ci sont des esclavagistes notoires. Tous les nègres qui entourent ou accompagnent les Marabouts sont leur esclave. Les Marabouts respectés par tous les mauritaniens toutes races confondues jettent aussi le flou sur les questions de société. Ils n’en parle jamais !

  Chez Ely Cheikh le saint d’Atar les Haratines qui y officient sont des captifs en plus de ceux qui se rendent captifs eux-mêmes (Colonel Hassan un hartani de Rosso, ancien directeur de l’hôpital national et de l’hôpital militaire qui abandonna tout pour suivre Ely Cheikh. Il fut limogé par Moulaye Ould Boukhreiss pour cet acte). Chez les Ould Cheikh Sidya à Boutilimit n’en parlons même pas.

  Boutilimit la ville de Daddah celui qui veut nous faire croire au père noël. Sa ville est la plus esclavagiste de la Mauritanie et du monde. A part les sénégalais qui y travaillent comme garagistes où les autres nègres Pulaars, Wolofs ou Soninkés commis de l’Etat tous les autres nègres sont des esclaves avec femmes, enfants et bagages ! Même les autres nègres soninké, wolofs et pulaar venus au nom de l’Etat comme enseignants, infirmiers et autres qui souvent se marient là-bas c’est avec des hartaniyatt toujours sous tutelles.

  Ces Marabouts ou Cherifs sont en connivence avec le pouvoir en place. Au moindre maladie ils sont évacués en France ou au Etats-Unis alors le pauvre citoyen souvent plus malade est rejeté aux services consulaires. Il est tant de mettre fin à cet asservissement religieux. J’ai était témoin d’une scène hallucinante à l’est de la Mauritanie. Pendant la prière de El Asr, je vois un maure arriver avec deux Hartanis. Arrivés à l’entrée de la mosquée le maure enlève ses chaussures et un des Harnos (Diminutif de Hartani) s’en empare et les met dans la poche de sa Dara’a, je me rappelle bleue. Au lieu de suivre le petit maure squelettique dans la mosquée, ils restent dans la cours ! Dans la mosquée il
  n’y’avait qu’une vingtaine de personnes ce qui suscita mon étonnement car il y’avait de la place.

  Apres la prière je voulais vraiment les demander pourquoi ils ont prié hors de la mosquée alors qu’il y’avais de place à l’intérieur. En plus j’étais le seul nègre dans la mosquée.
  J’avais senti des regards insistants sur moi mais sans y prêter attention car pour moi il est normal de prier à l’intérieur de la mosquée et même d’être Imam même si on ne connait que la Fatiha et Koulhou’allahou Ahad (la deuxième sourate). L’Islam n’est
  l’exclusivité de personne.

  A la fin de la prière je réussi à approcher l’un deux il s’appelait Zaid. Naturellement je lui fait part de mon étonnement de le voir lui et son collègue bronzer encore plus sous le soleil alors que dans la mosquée il y’avait de la place ? Il rétorqua que le maure était un descendant de saints et que par conséquence étant ses dévolus il ne pouvaient pas être dans le rayon que le lui !!! J’avoue n’avoir rien compris de ce qu’il m’a di. Mais je fus frappé par le sang froid avec lequel il m’assura qu’ils étaient des E’bid m’l’keuh (Des esclaves possédés) !

  J’étais venu dans cette ville dans le cadre d’un concours de police nationale, pour être policier. Concours que j’ai pas eu d’ailleurs. Dieu merci entre temps j’ai eu plus jusqu’à pouvoir pays 40 policiers aujourd’hui. L’entourage des marabout, Cherif et autres est essentiellement composé de nègres ! En plus des haratines esclaves automatiquement après c’est les Wolofs et les Halpulaar. Ils oublient même leu Créateur en faisant du Chiirk (Polythéisme). Les maures ne manifestent jamais un excès de zèle pareil ni à un marabout, ni à un Cherif. Sommes nous plus religieux
  qu’eux ? Certainement pas.

  Les défenseurs de l’Esclavages, de la Corruption, du Racisme sont les religieux dans ce blad Chinguitt (Nom berbère de la Mauritanie)



  Le 15/05/2007



  Source : montesquieu

www.haratine.com

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