Sunday. Bloody Sunday!

Hola les tubercules.

On revient de loin dans le Boudoir, le dimanche c’est une grosse arnaque si tu regardes bien. Genre les mecs qu’ont fait le dispatchage du ratio jours ouvrés/jours chômés c’était des putain de capitalistes. Ils se sont dit “oh bah tiens, le dimanche on s’emmerde hein, y’a jamais rien à faire, on va foutre ça le week-end ça fera les pieds à l’humanité“.

Ci-mer les mecs, effectivement: dimanche= enculade de compèt.

T’es obligé de faire des trucs chiants, la paperasse, le ménage, inviter la belle-mère et te couper les ongles des pieds.

Ou essayer de caser deux tonnes cinq de livres quand tu n’as pas de bibliothèque.

Illustrons par l’exemple si vous le voulez bien. Ou comment faire encore plus fort que Valérie Damidot avec un budget zéro, sans Alinéa comme sponsor, et sans patine argentée pour “chaleuriser” un meuble. Ah ah.

Pauvres, remerciez-moi.

En-bas. (à gauche, à droite…Yannick sors de ce corps)

Au milieu.

Optimisation maximale du conduit de cheminée.

“Oh mais comme elle est cultivéééée cette Elsa!” que vous tâchez d’étouffer dans un râle glaireux bourré de mauvaise foi et de perfidie.

Certes, vous réponds-je. Mais pas que. Ceci est une bibliothèque auto-centrée.

Jugez plutôt (pas le chien de Mickey):

Ceci dit, quand on me connait, on a la certitude qu’Aragon avait tout compris.

Et pendant que je me perdais dans des considérations littéraro-métaphysico-mégalomaniaques, Camille profitait à fond de son dimanche.

A sa façon.