J'ai testé pour vous

Oui je sais, personne ne m’a rien demandé, mais J’AI TESTE POUR VOUS :
LA CAPOEIRA.

Ce sport de combat brésilien nécessite :
1. Du rythme
2. De la souplesse
3. Une bonne condition physique
Et moi j’ai :
1. Pas fait de sport depuis la dernière éclipse,
2. Autant de souplesse qu’une table en marbre,
3. Une condition physique proche du néant. (Une fois j’ai couru derrière un bus, ça compte ?)
Bref, lors d’un pot qui a dégénéré chez Jeannette, j’ai rencontré Carlsrom, ou Carstern ? Bon pour les besoins narratifs on va l’appeler Machin. Donc, bien bourrés, on se retrouve au beau milieu d’une conversation d’amis communs ventant les mérites de la Capoeira. Nous, comme deux cons, on part sur le sujet et on se quitte en pariant qu’on irait leur montrer comme qu’on s’appelait à ces branleurs de brésiliens.
Et ce qui devait arriver arriva. Mon honneur étant en jeu, j’ai respecté mon engagement (pas comme ce fainéant d’allemand qu’est resté chez lui) et je me suis retrouvé au beau milieu de sportifs. Oui, je sais ça fait peur.
Après l’échauffement, je ne me souviens plus très bien. Il y eu de la sueur, de la souffrance, une ronde, des combats... En quelques mots, demain je suis en fauteuil roulant mais fier de moi et plutôt content d’avoir tenu une heure. Moralité : V et MC respect total.

Pour ceux que ça branche :
- Mettez un slip, j’ai encore mal aux couilles,
- Cherchez pas à pécho, les filles sont belles, mais trop fortes pour vous,
- C’est au club de la forme, 11 rue de Malte Paris.
La phrase du jour, si le ridicule ne tue pas, la honte oui. Dixit, ma vertèbre n°7.

Ted