Les gênes ne mentent pas, c'est mon fils

Au point que Nereij se demande s'il peut nous laisser sortir seuls Haricot et moi. A chaque fois qu'on va à la plage, c'est la cata (tous les dimanches matins où on est à la maison quoi).

J'avoue que Haricot a tendance à tomber à la flotte (et je suis, forcément.) Mais c'est qu'on n'a pas de chance. Entre les vagues qui nous attaquent, et les flaques d'eau qui sont en fait profondes quand on regarde sous les algues, même les bottes en caoutchouc ne nous sont d'aucun secours. En plus, le sable c'est traitre, ça s'enfonce, deux centimètres d'eau ont vite fait d'en devenir dix.

Donc hier, j'ai fait HYPER attention. On ne s'est pas approché du bord de l'eau, on a balancé les trois kilos de caillous collectés sur le sable dans une minuscule flaque sur un rocher (je vous rassure, pas de crevettes dedans, nous n'avons tué personne pour jouer à Plouf.)

Eh ben sur le chemin du retour, patatra, il s'est tollé dans un caca de chien — mou en plus. Y'avait un seul caca de clébard sur tout le chemin, et pan, il s'est jeté dedans !!!

C'est pas de bol non?


(Ca arrive aux autres mères aussi, hein?)