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Création de votre site internet E commerce

Publié le 23 avril 2009 par Clicfou

Je suis tombé sur un excellent article sur le site www.tpe-pme.com. Cet article écrit par Frédéric Dempuré traite du lancement d’une activité E-commerce. Vous trouverez un extrait concernant la création du site.

“Ça y est, les objectifs sont définis, reste maintenant à concevoir le site et à organiser son lancement. Sur ce point, sauf à avoir des compétences techniques multiples et approfondies, il est préférable de faire appel à des professionnels. En effet, si les sites « amateurs » pouvaient, à la fin des années 90, s’imposer sur la toile, ils n’ont plus guère droit de cité sur le Net de ce début de siècle.

Création de votre site internet E commerce

La puissance de l’informatique

Le e-business, c’est être en relation avec ses clients via une interface informatique. Cette numérisation des échanges est une bonne occasion d’envisager cette d’autres fonctions internes de l’entreprise. Si l’on peut de se contenter d’un simple transfert de données lors du passage d’une commande via le site (système d’alerte type courriel), il est également possible d’envisager la mise en place d’un système intégré. Ainsi, pourquoi ne pas envisager que le système de passation de commande permette de constituer une base de données clients. Base de données qui permettra de lancer des campagnes de promotion et d’alimenter un module « expéditions » conçu pour faciliter l’impression d’étiquettes, voire le transfert des données à un tiers en charge de ce travail d’envoi. Le module commande peut également être relié à une plate-forme de paiement en ligne ainsi qu’à un système destiné à faciliter la gestion des stocks.

Un cahier des charges

Pour obtenir ce que l’on veut d’un prestataire (SSII), il convient de lui présenter ses besoins. Tel est l’objectif d’un cahier des charges. Ce document va ainsi servir de guide aux informaticiens et autres graphistes qui seront chargés de concevoir le site. Le cahier des charges doit être précis mais non restrictif. Il doit présenter dans les détails les fonctions attendues sans en définir les modes de conception au risque de se priver des capacités d’innovations techniques et artistiques des professionnels à qui le travail sera confié. Bien entendu, cette « liberté » de conception laissée aux prestataires doit être encadrée, et ne doit pas être une occasion de se faire remettre un produit trop éloigné de se attentes. Enfin, le cahier des charges est un document contractuel. Même s’il n’est que fonctionnel, il définit les besoins d’un client et oblige le prestataire à les respecter. Sur cette base, il convient ainsi de valider le projet concocté par la SSII (architecture, intégration des fonctionnalités, graphisme, conditions d’enrichissement du site, évolutivité), et chacune des étapes du développement du site. Au final, une fois que le site sera lancé et que son bon fonctionnement ne laissera plus aucun doute (un bon mois après sa mise en service), la recette définitive pourra être signée, dégageant ainsi la SSII de toutes nouvelles obligations.

Un nom de domaine

Choisir un nom de domaine est une étape importante. À l’instar d’une appellation commerciale telle qu’une marque ou une dénomination sociale, le nom de domaine va durablement marquer l’identité d’un site. Bien évidemment, si l’activité de e-business intervient dans une entreprise existante, il sera possible de reprendre une des appellations commerciales déjà détenues. En revanche, si l’on ne dispose pas de telles ressources ou si l’on souhaite proposer une identité propre à ce nouveau site, il convient de prendre un certain nombre de précautions. Outre ses aspects marketing (symbolique, facilité pour le retenir, nombre et nature des signes contenus…), il faut aussi veiller à ce que le nom choisi ne puisse pas être contesté. En effet, d’un point de vue technique, on ne va pouvoir réserver un nom de domaine que s’il est libre. On peut ainsi imaginer que si le terme « Carrefour » est pris, « Carrefours » ne l’est pas. On pourra alors réserver ce nom en .fr, ou .com, mais son utilisation ne sera pas sans risque, dans la mesure où un juge pourra légitimement considérer qu’elle est de nature à induire dans l’esprit du consommateur un doute sur l’identité du propriétaire du site et ainsi être condamnable comme toute action de concurrence déloyale. Une recherche d’antériorité, qu’il n’est pas inutile de confier à un professionnel, devra ainsi être menée avant d’arrêter un nom de domaine. Son dépôt en tant que tel, pourra par la suite être fait en quelques minutes et pour moins de 15 euros par an auprès d’une société habilitée (« registrars ») dans les extensions qui, dans l’esprit des internautes, sont associées aux activités commerciales (.com, .fr, .biz, .info…).”

Je vous invite à lire l’ensemble de l’article à l’adresse suivante et à mettre le site tpe-pme.com dans vos favoris


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