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La semaine de 4 heures...

Publié le 27 avril 2009 par Stephanebigeard

La semaine de 4 heures...
Premier extrait : Descendre du mauvais train
Ça suffit comme ça. Ras-le-bol de faire le mouton. La quête aveugle de l’argent est une quête vaine.
.../...
Etre riche financièrement et avoir la capacité de vivre comme un millionnaire sont deux choses fondamentalement très différentes.
La semaine de 4 heures... La valeur pratique de l’argent est multipliée en fonction du nombre de "Q" et de "O" que vous contrôlez dans votre vie : Quoi (ce que vous faites), Quand, Où et avec Qui.
J’appelle ça le "multiplicateur de liberté".
Sur la base de ce critère, le banquier d’affaires qui travaille 80 heures par semaine et gagne 500.000 € par an est moins "puissant" que le salarié NB [Nouveau Bienheureux, ndlr] qui travaille quatre fois moins pour 40.000 € mais qui est totalement libre de choisir quand, où et comment il vit.
L’un dans l’autre, quand on analyse ce que chacun retire de son argent en termes de mode de vie, les 500.000 € du premier peuvent valoir moins de 40.000 € et les 40.000 € du second valoir plus de 500.000 €.
La capacité de choisir – voilà le véritable pouvoir.
Et telle est bien la raison d’être de ce livre : vous apprendre à repérer et à créer ces options au moindre effort et au moindre coût.
Il se trouve juste que, paradoxalement, vous pouvez aussi gagner plus d’argent – beaucoup plus d’argent – en travaillant deux fois moins qu’aujourd’hui."
Extraits de La semaine de 4 heures, Timothy Ferriss, Editions Pearson, janvier 2008, p.22-23.
La semaine de 4 heures...
Second extrait : Miser tout sur vos point forts, n'essayez pas de corriger vos points faibles.
La plupart des êtres humains sont bons dans une poignée de choses et très mauvais dans toutes les autres.
Je suis très doué pour créer des produits et les vendre mais parfaitement nul pour ce qui vient après.
La semaine de 4 heures... Mon corps est fait pour soulever des objets lourds et les lancer, et ça s'arrête là.
J'ai refusé de l'admettre pendant longtemps.
J'ai essayé la natation : un singe en train de se noyer.
Le basket : un homme des cavernes.
Et puis je suis devenu boxeur et j'ai pris mon envol.
Il est de très loin plus lucratif et plus amusant de capitaliser sur vos points forts que d'essayer de corriger tous vos points faibles.
Le choix se pose dans les termes suivants : la multiplication des résultats en utilisant vos atouts ou l'amélioration incrémentale en corrigeant des faiblesses qui, au mieux, deviendront médiocres.
Concentrez-vous sur une utilisation optimale de vos meilleures armes au lieu d'essayer de réparer en permanence.
Extraits de La semaine de 4 heures, Timothy Ferriss, Editions Pearson, janvier 2008, p.32.
La semaine de 4 heures...
Troisième extrait : Débusquer la peur déguisée en optimisme
La peur avance sous de multiples visages et nous l’appelons rarement par son nom.
C’est que la peur… fait plutôt peur.
La plupart des êtres humains doués d’intelligence la déguisent en autre chose : le déni optimiste.
La semaine de 4 heures... La plupart de ceux et celles qui évitent de quitter leur emploi entretiennent l’idée que leur situation s’améliorera avec le temps ou les augmentations de salaire.
Idée qui semble pertinente et constitue une hallucination tentante lorsqu’un boulot est juste ennuyeux ou peu motivant.
L’enfer, lui, oblige à agir mais tout ce qui se situe en deçà peut être supporté pourvu qu’on y mette ce qu’il faut de rationalisation intelligente.
Pensez-vous réellement que les choses vont s’améliorer ou prenez-vous vos rêves pour une réalité, bonne excuse pour ne pas agir ?
Quand on est confiant dans un avenir plus radieux, se pose-t-on réellement des questions ?
Généralement pas. C’est la peur de l’inconnu déguisée en optimisme.
Etes-vous plus heureux aujourd’hui qu’il y a un an, un mois ou une semaine ?
Non ?
Eh bien dites-vous que les choses ne s’amélioreront pas toutes seules !
Il est grand temps d’arrêter de vous voiler la face et de préparer le grand saut.
Sauf à finir comme James Dean, votre vie sera LONGUE : 9 h-19 h pendant quarante à cinquante ans de vie professionnelle, c’est un sacré bout de temps à vous morfondre si la cavalerie n’arrive pas.
En gros, 500 mois de bagne.
Combien vous en reste-t-il à accomplir ?
Il est probablement temps de briser vos chaînes."
Extraits de La semaine de 4 heures, Timothy Ferriss, Editions Pearson, janvier 2008, p.42-43
Allez, au plaisir de vous lire...
... et encore merci à Jean Pierre G. de m'avoir fait découvrir ce livre.

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