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2 ans en Sarkozie et la pauvreté augmente

Publié le 06 mai 2009 par Rebus

 Un peu partout dans la blogosphère (ailleurs aussi),on célèbre l'anniversaire de ce régime que le monde entier devrait nous envier, à condtion de se shooter au Pernault. je ne vais pas revenir dessus, Juan en fait un très bon billet, exhaustif  et précis comme toujours.

Manque de bol, cette célébration du règne de Nicolas 1er est entâchée par des trublions qui osent, mais c'est le hasard des dates, publier des statisitques sur la pauvreté.

Sans surprise réelle, on apprend que la pauvreté augmente à nouveau. Le dernier bilan était de 2004, on pourra donc me rétorquer que Sarkozy n'était pas président, c'était Chirac. C'est vrai, en 2004, Sarko n'était pas président, mais l'idéologie du gouvenrement Raffarion était en accord avec ce que Sarkozy et ses sbires dévelloppent maintenant.

On était déjà dans une politique de moins disant social, comme on dit dans les journaux , de stigmatisation des chômeurs, haro sur les supposés maillons faibles

Une idéologie cherchant désepérément à entrevoir la main invisible du marché, cette main que le pays tout entier s'est prise dans la gueule.

L'histoire est injuste avec Raffarin, on se contente de se moquer de lui, à droite comme à gauche, oubliant quel petit soldat dévoué de la droite décomplexée, même si on ne la nommait pas comme ça encore, il a été.

Allez, admettons que j'exonère Sarkozy des bilans d'avant sa présidence. Il est au pouvoir depuis 2 ans maintenant, le bilan social de ce pays ne s'arrange pas, bien au contraire.

Au début de son mandat, on parlait, enfin ses supporters, de temps à accorder à ses réformes, que le moment  dej uger viendrait plus tard. Au bout de 2 ans, le temps est peut être venu, non ?

Alors oui, la crise, pas sa faute et tout et tout, la crise est certes mondiale mais notre bon président semble, de tous les dirigeants de pays riche, le moins efficient pour la résoudre, restant encore accroché aux litanies néolibérales quand même les USA découvrent des vertus à l'interventionnisme et la régulation.

Et, pendant qu'en haut, on festoie, la France d'en bas, si chère au Phénix du Haut Poitou s'enfonce.

Je ne sais pas si la route est droite, mais en tout cas, la pente est forte et c'est une belle dégringolade

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