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Desperate Housewives - Episode 5.11

Publié le 06 octobre 2009 par Speedu

Une jolie maison / Belles familles, je vous hais
Home is the place
Saison 5, Episode 11 sur 24
Diffusion vo : ABC – 4 janvier 2009
Diffusions vf : Canal +, M6 – 6 octobre 2009
Susan se met aux gays, Gabi pousse Carlos à bosser, Bree achète une maison comme on achète le journal et Lynette court après le jumeau maléfique.
Les Solis :
Carlos revoit donc Gabi redevient superficielle et intéressée pour ne pas dire vénale. Zou, bond en arrière pour madame Ti Pi. J’ai vraiment eu du mal à suivre Gabi. J’avais plutôt aimé le recadrage vraie femme au foyer de la latina mais là, ce bond en arrière m’a énervé. Qui, avec un neurone actif, aurait pu encore vouloir faire travailler Carlos avec son ancien associé après le dîner ? Qui ?
C’est dommage parce que l’idée de savoir si il vaut mieux un travail plaisant et utile mais sans gros salaire ou un travail de chien à gros salaire aurait pu donner autre chose. Surtout dans cette période de crise financière. Déjà Carlos trouve un job en deux heures et en jogging ..; Hum Et en plus, il a un autre poste qui l’attend, sans rien demander, et dans la finance, secteur dévasté. Hum hum. Je sais que la série ne se veut pas réaliste mais bon, quand même … Là, ça fait trop pauvre à la CW. Vous savez, ceux qui vivent dans des lofts de 400 mètres carré à New York (cf Gossip Girl)
Il reste une bonne scène tout de même, avec le clown du magasin pas cher. C’était marrant ça.
Lynette :
On poursuit son intrigue. Bob est prêt à les lacher si Proter ne revient pas. Felicity Huffman assure toujours autant dans ses scènes. C’est intéressant même si on sent quand même le rebondissement pour faire trainer. La scène avec Penny qui « oublie » que ce n’est pas le bon frère est très drôle et celle de Lynette expliquant qu’elle va tuer Schilling est ridiculement drôle à son insu.
Bree :
Elle rencontre la maman du mec qui va vivre avec Andrew et qui doit bien avoir un prénom mais dont je m’en fous royalement. Et c’est une alcoolique trash et sans gêne. Et ça aurait pu donner quelque chose de grand avec Bree la coincée mais malheureusement, on reste dans le gentillet et surtout, l’achat de la maison par Bree ne surprend pas un seul instant. Ca se voit venir très tôt, trop tôt malheureusement. C’est ça la crise à Wisteria Lane : on achète des maisons comme ça, sur un coup de tête, pour emmerder la belle mère. Hum …
Susan :
Bizarrement, son intrigue n’a pas le moindre intérêt mais s’avère finalement la meilleure. Le duo avec Lee fonctionne très bien. Dommage de ne pas avoir poussé plus loin le coté drag queen qu’aurait pu avoir Susan au club avec trop de maquillage comme lui a conseillé Lee. J’ai le sentiment que la série l’aurait osé en saison 1 ou 2. Mais maintenant, elle n’ose plus rien. Néanmoins, cela reste drôle de voir Susan se demander si elle a bien couché avec Lee et surtout, la réaction de Gabi est purement géniale.
Je parlerais bien de Dave Williams, ou plutôt David Dash, mais il ne se passe pas grand chose. Il parle à sa famille fantôme, ce qui l’oblige à avouer qu’il a été marié à Edie qui le met à la porte du coup (hum, en voilà une qui suit Grey’s Anatomy et qui ne veut pas finir aussi ridicule que Alex). C’est encore très bizarre mais est ce que Edie savait au moins le prénom du mec qu’elle a épousé ? Non parce qu’à force, on se rend compte qu’elle ignore vraiment tout de lui. Comme Karen qui part trop tôt du cabinet du psy brûlé dont la secrétaire s’en tape royalement qu’il soit absent depuis une semaine. Mais je la comprends, le boulôt est bien plus sympa comme ça. Et ça évite de devoir être au chomage pendant 10 minutes, le temps de sortir en jogging dans la rue afin que quelqu’un vienne vous en filer un. Oui, sur ce coup, Carlos m’a traumatisé.
Bref, 6/10
Du desperate un peu mou. Ca se laisse regarder mais le sentiment de ne pas avancer se fait cruellement sentir.


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