Facebouquins : rencontres intéressantes

Le premier salon Facebouquins aura été très encourageant tant au point de vue de l'affluence (en particulier le samedi, où malheureusement je n'étais pas présent suite à un empêchement personnel) que du point de vue des contacts et de la "médiatisation".  Un coup de chapeau, donc, à Edith "le dico" et AL LU SINON, les deux auteurs-organisateurs que vous pouvez retrouver sur cette vidéo sur le site d'Obiwi, que je recommande chaudement. Facebouquins s'est aussi signalé par sa très bonne ambiance, l'idée d'une tombola à laquelle pouvaient participer aussi bien les auteurs que les lecteurs s'étant avéré à cet égard excellente (merci aussi aux organisateurs de Place aux livres ! d'avoir inspiré l'idée ;) ). Quoi de mieux pour découvrir d'autres auteurs que de se plonger dans leurs ouvrages ?

 

Le Mélange des Genres, un lieu convivial pour ce salon. Seul petit bémol, tous les auteurs n'ont pu être placés en rez-de-chaussée faute de place, et je me suis retrouvé en compagnie d'autres en sous-sol, au pied d'un escalier peu évident à repérer.





En compagnie de Mestr Tom, sur le stand des éditions Lokomo. L'auteur de cette photo n'est autre que Manuel Ruiz, le romancier et nouvelliste toulousain de science-fiction, qui, pour la petite histoire, a été le premier à acquérir Les Explorateurs dans sa nouvelle édition et à en rédiger la chronique. Voir cet article.











Frédéric Vasseur, l'auteur de Fragments, exposait ses livres en compagnie de sa petite famille. J'ai également rencontré Philippe Boneyrat, du forum Babel et François Martini, qui a eu la gentillesse de m'offrir un de ses livres, Un cadavre dans le Cagibi.







J'ai également pu entrer en contact avec Philippe Raimbault, auteur et président du collectif Mots Migrateurs de Cergy (cela tombe bien, j'habite juste à côté !) Pardon pour toutes celles et ceux que je ne cite pas ici, la liste est loin d'être exhaustive ! Je garderai donc un bon souvenir de ce salon, avec quelques regrets de ne pas avoir pu venir le samedi. Vivement le prochain !