Il me semble que, quitte à partir, loin, pour s'envoler vers quelque chose d'autre, je partirais à la chasse au jaguar. Pas par plaisir imbécile d'ajouter une descente de lit ni un trophée : non, parce que pour en voir un, il faut voyager longuement, attendre et espérer. Et que même après tout cela, rien n'est gagné.
Et si vous tombez qui plus est sur une femelle un tant soit peu hargneuse, alors les risques s'accroissent légèrement. Mais dans le danger réside aussi une part du plaisir, non ? Bon.
Donc, partons. Et puisque vous en êtes arrivés là, autant partir pour l'Amazonie retrouver Le vieux qui lisait des romans d'amour, de Luis Sepulveda. Un livre aussi beau que sa chronique...