Ong Bak 2

Bob aime se battre alors il se bat.

Il cherche à venger son père qui a été assassiné sous ses propres yeux alors qu’il était tout minot. Récupéré par une famille mi-brigand mi pirate, il décide de combattre le mal pour que le bien triomphe et va se rendre compte que ce n’est pas aussi simple que cela.

Par contre ce qui est simple c’est d’avoir un avis tranché sur ce film. C’est une vulgaire bouse.

Ong Bak, premier du nom avait étonné par ses scènes d’actions survoltées et ses enchainements de cascades toutes plus improbables les unes que les autres. Par ailleurs la mise en scène bien que clairement amateur avait quelque sur faire preuve d’un étonne professionnalisme, qui au final, renforçait davantage l’expérience.

Dans notre cas, les cascades sont quasiment inexistantes, les chorégraphies des combats sont quelconques. Les deux arguments du film d’action sont bien faibles et comme le scénario ne vaut guère mieux que le reste, c’est la merde.
Regarder ce film est l’expérience la plus quelconque qui vous sera offerte, même regarder le train passer dans la campagne est plus excitant. Le niveau zéro de l’excitation. Une conscience totale de la réalité sans pour autant tomber dans un quelconque ennui ou une gêne. Asseyez-vous sur une chaise placée devant un mur, afin que votre visage se trouve à une dizaine de centimètres du mur et restez ainsi sans mot dire durant 1 h 30. Si vous pensez à la liste de course, vous avez perdu, et si vous pensez à la nouvelle secrétaire au front office, c’est aussi perdu.

Ne pensez à rien, vous avez gagné.