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Les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent...

Publié le 30 novembre 2009 par Philippejandrok

13c6c4efe8ca49ad8978d713f2b4309b.jpg« Les gens bien portants sont des malades qui s'ignorent. » Jules Romain, Knock ou le Triomphe de la médecine, 1923

« … tomber malade, vieille notion qui ne tient plus devant les données de la science actuelle. La santé n’est qu’un mot qu’il n’y aurait aucun inconvénient à rayer de notre vocabulaire. Pour ma part, je ne connais que des gens plus ou moins atteints de maladies, plus ou moins nombreuses, à évolution plus ou moins rapide… théorie très profondément moderne… »

-   - Je sens une espèce de démangeaison, par ici, ça me chatouille, ou ça me gratouille…

-   - Attention, attention, ne confondons pas, ça vous chatouille ou est-ce que ça vous gratouille.

-   - Ah ! ça me chatouille…Mais ça me gratouille bien un peu aussi…

-   -  Oui, oui, oui, oui, désignez-moi exactement l’endroit.

-   - Oh ! par ici.

-   - Par ici oui, et où ça, par ici ?

-   -  Là, oh ! pt’être bein là, entre les deux quoi.

-   - Entre les deux… juste entre les deux, est-ce que ce ne serait pas plutôt un rien à gauche, là où je mets mon doigt.

-   - Ah oui, y me semble bien

-   - Et ça vous fait mal quand j’enfonce mon doigt.

-   - Aïe ! Oui on dirait que ça me fait mal.

-   - Est-ce que ça ne vous gratouille pas d’avantage lorsque vous avez mangé de la tête de veau à la vinaigrette ?

-   - Oh ! J’en mange jamais. Oh ! mais y me semble bien que si j’en mangeais, effectivement, ça me gratouillerait plus.

-   - Ah ! ah ! ah ! ah ! Très important, très important, oui, quel âge avez vous ?

-   - Bein, 51, dans mes 52.

-   - Plus près de 51 ou 52

-   - Oh plus près de 52.

-   - Ah !

-   - Je les aurais fin novembre… Alors c’est donc grave ce que j’ai ?

-   - Ça n’est peut-être pas encore très grave, mais il était temps de vous soigner…

Extrait de Knock ou le Triomphe de la médecine, 1923

Le patient se présente donc chez le Dr Knock, sans le moindre symptôme, sans la moindre maladie et après une brève consultation, il ressort souffrant, fatigué, malade avec une forte envie de se coucher. belle réussite, il a compris comment fidéliser son "client", le B to C admirable d'un médecin de campagne.

Ce que nous vivons actuellement avec la psychose de la grippe H1N1 recouvre les mêmes principes.

Le président de la République, Nicolas Sarkozy, soucieux de la santé des Français décide d'ouvrir le dimanche les 1300 centres de vaccination contre la grippe A, pour une population saine. Le citoyen, le patient, n’est pas malade, ni souffrant, et pour éviter de tomber malade, il décide, grace aux conseils de gens qui savent, d’anticiper le mal en se faisant vacciner, alors qu’il ignore absolument s’il est sensible ou pas au virus de la grippe en question :

- Je vous donne un anti migraineux, des fois que vous auriez la migraine. Lui dit le médecin.

- Mais, je n'ai jamais la migraine.

- Peu importe, ça peut toujours servir, alors je vous vaccine contre la grippe A, par mesure de sécurité.

- Mais, docteur, je n'ai jamais attrapé la grippe, mon système immunitaire est parfait.

- Qu'en savez-vous ?

- Mon corps me le dit.

- Mais moi, je suis médecin Monsieur, médecin, et je sais cela mieux que vous. Allez, tendez votre bras que je vous assassine sournoisement, dans quelques mois vous ne serez plus là pour m'attaquer en justice, je suis tranquille quoi qu'il arrive... Et il le vaccine, après avoir piqué sa femme et ses enfants avant lui.

Les médias, complices de cette propagande honteuse qui fait hurler nombre de médecins, de professeurs en médecine et une partie de la population, sèment insidieusement une panique morbide et perverse au sein d’un peuple qui ne comprend rien à ce qui se trame, à cette stratégie qui vise à enrchire des entreprises pharmaceutiques et à éliminer, entre autres, tous ces chômeurs qui sont désormais inutiles, et que l'État continue à générer (voire le centre Pompidou et les grèves des gardiens du musée Beaubourg).

Comme je l’ai écrit dans mes articles précédents, la composition de ce vaccin « vite fait sur le gaz », comprend à la fois du formol, du mercure et des substances chimiques et organiques que vous n’oseriez même pas toucher sans prendre de précaution.

Doit-on rappeler les ravages du mercure sur le corps humain ?

N’a-t-on pas cessé la pratique des plombages dentaires à cause justement du mercure employé dans leur conception ? Et la suppression des thermomètres, justement au mercure.

Ce vaccin semble remplir toutes les conditions de l’aberration la plus accablante, d’autant que des médecins affirment qu’il est dangereux de se laisser vacciner par un vaccin qui n’a, de loin pas, fait ses preuves et qui pourrait au contraire de soigner, concevoir un virus mutant qui lui, ferait à terme, bien plus de dégâts sur le genre humain. (certains chercheurs dans les pays nordiques ont déjà constaté cette mutation, comme le monde est petit).

Est-il nécessaire de rappeler que les infirmières françaises ont refusé de se faire vacciner à 75 %, ayant déjà payées un lourd tribut au vaccin contre l’hépatite ?

Roselyne Bachelot s’est faite vacciner, mais rien ne nous prouve qu’il s’agissait bien du vaccin contre la Grippe H1N1.

Je rappellerais pour mémoire qu’en cette fin d’Avril 1986, le réacteur nucléaire de Tchernobyl essuya une catastrophe qui ébranla le monde entier, sauf bien sûr, la France.

Le préfet de Strasbourg de l’époque, une espèce de crapule politique à la solde du pouvoir, s’est présenté à la TV locale en prétendant qu’il n’y avait aucun risque sanitaire, il a bu un verre de lait devant les téléspectateurs alsaciens pour les rassurer et les forcer à vivre comme si de rien n’était, alors que nos voisins Allemands, italiens, Suisses… s’acharnaient à trouver des plaquettes d’iode pour se protéger un tant soit peu.

Sur la toile circule en ce moment cette animation faite par l’IRSN centre de recherche très sérieux sur la réalité de la contamination de Tchernobyl au niveau mondial et la France n’est de loin pas épargnée comme semblait le prétendre le gouvernement de l’époque et le préfet de Strasbourg, "brave homme".

Cliquez sur ce lien pour vous faire votre opinion :

http://video.google.com/videoplay?docid=-2720280552816762522#

De son côté, Roselyne Bachelot se prend actuellement pour le préfet de Strasbourg  de 1984, car la France doit être le seul pays d’Europe à vouloir imposer de force à sa population la vaccination de ce produit résolument toxique.

Les Allemands, les Suisses, mettent en garde leur population contre ce vaccin, alors que le gouvernement Français souhaite l’imposer de force ???

Je vous encourage à écouter cette interview très enrichissante sur la morale de notre gouvernement et ses connivences avec le lobby pharmaceutique concernant cette lamentable affaire de vaccination que je juge personnellement « criminelle », mais qui suis-je par rapport à tous ces gens très importants qui savent mieux que nous ce qu'il y a de mieux pour nous, un peu comme ces politiques qui voyaient déjà le sous diplômé mais fils de président, Jean Sarkozy à la direction de l'EPAD. Il est certain, que si nous devons nous fier à ce type d'individu pour notre survie, autant se tirer une balle dans la tête pour éviter la souffrance.

http://www.dailymotion.com/video/xb4pt8_vaccin-h1n1-mensonges-vaccin-grippe_news

Je rappelle qu'en Démocratie, nous devrions être libres de choisir pour nous-mêmes et pour nos proches de nous faire vacciner ou pas, et si aujourd’hui, l’on commence à imposer au citoyen un vaccin, que lui imposera-t-on demain ? Le port des plumes de paon dans le derrière ?

La France est loin d’être ce qu’elle était jadis et la démocratie a pris du plomb dans l’aile, mais enfin, nous vivons une époque formidable.

PS. les laboratoires américains ayant réalisé les vaccins contre la grippe H1N1 ont obtenu de l'administration Obama, l'immunité en cas de problèmes avec des patients vaccinés.

Formidable, non ?


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