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La loi de Murphy (2009)

Publié le 02 décembre 2009 par Cinephileamateur
Affiche du filmCinéphile du jour, bonjour !!! Décidé à rattraper un peu ce retard qui s'accumule encore et encore (un comble quand on sais que je suis en vacances :P ), j'ai décidé de vous parler aujourd'hui d'un autre film que j'ai découvert en salles il y à peu à savoir "La loi de Murphy". Si dans le titre de ce billet je précise qu'il s'agit d'un film de 2009, c'est pour bien sûr ne pas le confondre avec le film de 1986 avec Charles Bronson portant le même nom les deux œuvres n'ayant évidemment rien à voir l'une avec l'autre ;-) . Pour avoir quelques informations sur ce film français et connaître mon avis, je vous invite en tout cas à cliquez sur "Lire la suite"...
"- Elle nous accompagne et elle se tient à carreau.
- C'est quand même curieux cette façon de me parler à la troisième personne. Non mais c'est vrai, je sais jamais si vous parlez à moi ou si vous parlez à quelqu'un d'autre.
- Bon ben d'accord... Alors, tu fermes ta gueule !
- Et voila... C'est mieux tout de suite."

Il s'agit d'une comédie policière française qui est sorti sur nos écrans le 4 novembre 2009 et dont la durée est de 1 heure 34.
"La loi de Murphy" est un film écris et réalisé par Christophe Campos.
Le film à été produit par Stéphane Marsil et Clément Miserez.
Le scénario à également été co-écris par Mabrouk el Mechri.
Quelques vidéos sur ce film

Total relooking avec Fred Testot (partie 1)

Total relooking avec Fred Testot (partie 2)

Total relooking avec Fred Testot (partie 3)

Total relooking avec Fred Testot (partie 4)

Total relooking avec Fred Testot (partie 5)

Site officiel du film

Site de Total relooking


La Loi de Murphy sur Comme Au Cinema

Pio Marmai Fanny Valette

Bruno Ricci et Karim Belkhadra Guy Lecluyse et Pio Marmai

"La Loi de Murphy" est le premier long métrage de Christophe Campos. Après des études de publicité et de commerce, ce dernier a débuté sa carrière dans l'audiovisuel comme assistant réalisateur pour une émission diffusée sur Canal +, "Avance sur image", qui a débouché sur "L'œil du cyclone". " J'ai réalisé " L'Oeil du cyclone " pendant plusieurs années, confie le cinéaste. J'ai ensuite été remarqué par Bandit, la société de production de Jean-Baptiste Mondino : j'ai fait des clips et des pubs. J'ai travaillé pour Quad. Ensuite, j'ai réalisé 3 ou 4 courts-métrages tout en continuant à travailler pour Canal + sur " Les Guignols ", pour Omar et Fred et pour les programmes courts de la chaîne. A ce moment-là je me suis lancé sur mon premier long métrage. Mais mon background c'est pub, clips et télé ! "
Pour Christophe Campos, l'expression "La Loi de Murphy" évoque "la loi de l'emmerdement maximum". "Par exemple, ce matin tu prends ton vélo. Eh bien, il va être dégonflé, tu vas avoir des pavés et le vent dans la tronche, confie le réalisateur. C'est une accumulation de galères inévitables ! C'est pareil quand tu es sur l'autoroute sur la file qui n'avance pas. Pour le film, l'idée était de partir d'un type proche de la fin de ses emmerdes. Mais elles vont toutes s'agglutiner et l'empêcher de réaliser son but. La Loi de Murphy, c'est l'addition d'emmerdes !"
Dans "La Loi de Murphy", Christophe Campos a souhaité mélanger trois styles visuels. "Ce sont mes influences principales. Premièrement, j'ai puisé dans les films français des années 70 de Georges Lautner, confie le réalisateur. Deuxièmement, il y a des clins d'œil aux séries télévisées américaines. J'ai regardé des épisodes de séries comme 'Urgences', 'Lost, les disparus', 'Prison Break' ou 'Grey's Anatomy'. Je voulais m'inspirer de la façon dont les plans sont filmés, caméra à l'épaule. Les téléspectateurs sont habitués à ce que ça bouge, à ce qu'on ait un point de vue de l'intérieur. Sinon, à part Scrubs, qui est un peu trash, les séries américaines sont souvent épurées et froides. Je voulais quelque chose d'un peu sale et de français ! Enfin troisièmement, je fais référence aux films de Guy Ritchie."
Parmi les films américains ou français qui ont été pris en référence par Christophe Campos, citons "Serpico", les films de la Blaxploitation ou de Mario Van Peebles. "J'adore les films de zombies, qu'il s'agisse de l'univers de George A. Romero ou de 'Shaun of the Dead", confie le réalisateur. J'aime 'Le Crime farpait' d'Álex de la Iglesia. Il y a aussi une référence non voulue au personnage de Requin dans James Bond. J'ai découvert un acteur dans une pub anglaise pour l'écologie. Je l'ai trouvé hallucinant. On m'a dit qu'il était français. Je l'ai fait jouer. Ensuite, on m'a beaucoup dit qu'il ressemblait à Requin. J'ai trouvé génial d'avoir ce genre de clin d'œil ! Enfin, il y a aussi une référence à Starsky et Hutch pour la scène avec Omar dans la voiture juste après le braquage. Dans les années 70, je regardais cette série le dimanche après-midi. Du coup, on a Antonio Fargas alias Huggy les bons tuyaux dans le film !"
Dans ce film, Fred Testot a la particularité de jouer quatre rôles différents : le responsable de la morgue, le réceptionniste de l'hôtel, le candidat du jeu télévisé et le père de Luciano. "Quand je lui ai parlé du projet, j'ai évoqué les personnages joués par Peter Sellers dans 'Docteur Folamour' de Stanley Kubrick, confie le réalisateur. L'idée de camper 4 personnages qui n'ont pas de rapport avec l'intrigue l'a amusé ! Il adore se déguiser et prendre des voix différentes. De plus, il n'avait pas envie que le duo Omar et Fred vampirise le film. Fred a mis des faux nez. On a fait appel à la maquilleuse qui travaille avec Jonathan Lambert sur l'émission de Laurent Ruquier. On l'appelait 'Le caméléon' ! Ce serait à refaire, je lui donnerais le rôle d'un mec plus impliqué dans l'histoire des diamants volés façon Mission : Impossible."
Christophe Campos raconte comment il est parvenu à obtenir la participation amicale d'Antonio Fargas, alias Huggy Les Bons Tuyaux dans "Starsky et Hutch" : "J'avais vu qu'Antonio Fargas tournait dans des clips de funk à Los Angeles. Mon premier assistant réalisateur m'a dit qu'il avait un agent en France. J'étais halluciné. Il a enquêté. Le temps a passé et il a fini par me dire : 'Antonio Fargas, c'est possible !'. La production pensait qu'il allait exploser le budget. En fait, il est venu en avion en classe éco. La grande classe ! Ensuite, on l'a chouchouté. Quand il est arrivé à l'hôtel, il m'a serré dans ses bras. Ça a été un grand moment ! Ça été super de travailler avec lui. Avec les autres comédiens il a été génial. Il avait énormément réfléchi à son rôle. L'idée qu'il soit juif de Brooklyn est venue de lui."
"La Loi de Murphy" s'est initialement intitulé "Diamants sur ordonnance" puis "A bloc".
Le tournage a débuté le 26 janvier 2009 et s'est déroulé durant 6 semaines entre Paris et Angoulême.
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Omar Sy et Bruno Ricci Pio Marmai, Guy Lecluyse et Fanny Valette

Le casting du film :

Pio Marmai (Elias), Karim Belkhadra (Nino Ortega), Omar Sy (Joachim Ortega / Le père de Joachim), Fanny Valette (Vera St Jean), Guy Lecluyse (Emile), Bruno Ricci (Luciano Ortega), Jean-Michel Noirey (L'Inspecteur Verlun), Dominique Pinon (Rudy), Jonathan Lambert (Le Docteur Moreau), Fred Testot (Le responsable de la morgue / Le réceptionniste / Le candidat du jeu TV / Le père de Luciano), Serge Larivière (Le diamantaire), Manon Le Moal (Gladys), Frédéric Saurel (Hugo Serrano), Patrick Hautier (Le Sergent Benisti), Lilly-Fleur Pointeaux (Nina), Michel Duchaussoy (Le chef des urgences), Antoine Coesens (Le mari violent), Xavier Her (Le sosie de Chuck Norris), Jean-Gilles Barbier (Le colosse)...
Le synopsis du film :

La loi de Murphy est un principe empirique énonçant que " si quelque chose peut mal tourner, alors cette chose finira infailliblement par mal tourner ". La loi de Murphy est donc une variante de la loi de l'emmerdement maximum qui veut qu'une tartine tombe toujours du côté de la confiture... Après quatre ans de prison, Elias effectue sa réinsertion dans un hôpital. Il travaille comme brancardier. Dans cinq heures, sa conditionnelle arrivera à terme. Il pourra prendre un nouveau départ et tirer un trait sur le passé. Mais voilà, c'est sans compter sur La loi de Murphy et sa jolie brochette d'emmerdements maximums. Car des diamants volés pourraient jouer les prolongations. Leur propriétaire, fraîchement délesté, est admis aux urgences. Rudy, l'ex codétenu d'Elias qui en sait long sur ces diamants, lui aussi. Les frères Ortega, des caïds frappadingues, veulent lui faire la peau. L'hôpital devient leur QG. Les flics débarquent à leur tour et flairent du louche. Panique générale. Rien ne va plus pour Elias. Les galères lui collent aux basques : l'inspecteur Verlun rêve de lui passer les menottes. Son chef, le Dr Moreau, vit mal ses prises d'initiatives et le pousserait bien vers la porte de sortie. Enfin, cerise sur La loi de Murphy : les diamants sont toujours introuvables. Quant à Elias, il essaie de sauver tout ce qui peut l'être contre vents et marées: sa peau, son ami, son boulot...
Guy Lecluyse Jonathan Lambert

Omar Sy et Karim Belkhadra Omar Sy et Lilly-Fleur Pointeaux

"La loi de Murphy" fait parti de ses films où je me suis précipité en salles afin de le découvrir. C'est pas que j'avais une grande impatience de voir ce qui se cachait derrière ce titre mais c'est surtout qu'il y avait fort à parier que ce genre de production ne reste pas longtemps en salles et j'ai plutôt bien fait quand je vois qu'en effet, il à vite disparu du haut de l'affiche. J'avais juste vu une bande annonce qui me plaisait bien et je dois avouer que je trouvais le casting pas mal du tout exception faite pour le héros principal interprété par un acteur dont je n'avais jamais entendu le nom (à ce jour, je n'ai pas encore vu "Le premier jour du reste de ta vie" ;-) ).
Je dois dire que j'ai passé un très bon moment. Au vue de la bande annonce on aurait pu s'attendre à un film qui pousse le fun à son maximum mais même si au final le scénario se veut assez soft, l'ensemble est quand même bien ficelé et assez drôle. Je n'ai d'ailleurs pas vu le temps passé devant cette histoire où toute les emmerdes du monde semble s'être donné rendez vous près de Elias, le héros du film. Je ne vais pas vous parler de la profondeur de l'histoire ça n'est pas utile car il faut bien l'admettre le film regorge de facilités et de situations complétement impossible mais en même temps, je n'en attendais pas moins et je dois dire que j'ai pris mon pied. Sans prise de tête, on passe un très bon moment avec cette comédie à l'humour très léger. Le happy end final est lui aussi attendu mais c'est tout à fait le genre de film que je voulais voir et c'est fidèle à l'idée que je m'en faisais. Les personnes qui ont souhaité voir le film en se fiant à la bande annonce ne devrait pas être déçu tant l'on retrouve ce que l'on nous as vendus. Tout est parodié à l'extrême que ce soit du côté médical comme du côté des forces de l'ordre et chaque personnages semblent être une caricature du genre. Les rebondissements sont guère palpitant mais ils nous offrent des situations pour le moins plaisante comme la fameuse scène de l'intubation ou encore celle de la coloscopie que j'ai trouvé assez drôle. Après, il ne faut pas être trop regardant sur le fond (et l'affiche du film aussi nous prévient je trouve avec cette légèreté apparente) mais pour ceux qui souhaite suivre une histoire légère sans se soucier d'une quelqueconque once de réalisme trouvera son bonheur. Dans le genre, on à déjà vu plus fin et plus poussé mais j'ai quand même trouvé que dans l'ensemble c'était convaincant et je n'ai pas vu le temps passé. J'ai même eu quelques fous rires même si la succession des différentes scènes aussi comique soit elles, nous font surtout sourire grâce à leurs côtés décalés justement.
Aussi léger soit il, si le scénario fonctionne quand même un peu c'est en grande partie grâce aux personnages "méchants" comme gentils qui sont extrêmement attachant mais aussi grâce à l'interprétation des différents comédiens qui joue le jeu à fond à commencer par Pio Marmai. J'avais un peu peur de lui car comme je le dis un peu plus haut, il était la grande inconnue de ce casting pour moi mais le comédien m'as convaincu. La tête sur les épaules, il est assez crédible avec son personnage même si de tous, c'est sans doute celui qui est le moins déjanté. D'ailleurs par moments ça fait un peu bizarre de voir tous ses portraits décalés tandis que le héros de ce film semble lui être dans un autre monde mais cela permet aussi de le mettre avec justesse en avant je trouve. A ses côtés, on trouve une pléiade de seconds rôles que je trouve excellent. Karim Belkhadra pour commencer qui est excellent en chef de bande. Son personnage m'as bien fait rire même si il se fait voler la vedette par un Omar Sy toujours exceptionnel. Je trouve d'ailleurs que ce dernier, bien qu'il excelle dans la comédie, ce fait toujours de plus en plus subtil dans ses rôles et nous montre quelque chose de totalement différent à chaque fois. Au fil des films où je le découvre, je suis en tout cas ébahi, par ses talents de comédiens car il ne se contente jamais de juste faire l'humoriste de service et sais être aussi très touchant (comme ici lorsqu'il apprend ses origines ou lors de la scène de l'accouchement). Le trio de méchant (toujours avec des guillemets car ils sont surtout très gaffeur et loin d'être terrifiants ^^ ) est complété par Bruno Ricci qui s'en sors bien même si à côté, je l'ai trouvé un brin en dessous. Jonathan Lambert est quant à lui très drôle aussi. Son jeu est pas bien innovant (finalement le personnage qu'il interprète ressemble à beaucoup de personnage qu'il à déjà interprété dans ses sketchs à la télévision) mais il fait ce qu'il sais le mieux faire pour le grand bonheur de ses fans. C'est dommage qu'on voit toujours la même chose de lui mais d'un point de vue comique, je suis satisfait car ça marche sur moi. J'ai beaucoup aimé Fanny Valette aussi dont j'avais bien aimé le jeu dans "Vertige" (c'était d'ailleurs l'une des rares choses que j'ai aimé dans ce film) et où j'étais curieux de voir autre chose. Elle à un grand potentiel comique et je regrette même qu'on ne la voit pas un peu plus dans le film. L'actrice dégage une certaine naïveté et une certaine fraicheur qui colle parfaitement au film. Jean-Michel Noirey est lui irrésistible dans son stéréotype du flic sorti tout droit d'un téléfilm des années 70 avec sa coupe de cheveu improbable et ses lunettes aussi grosse que la caricature de son personnage. Parmi les autres seconds rôles (c'est dur de parler de tout le monde car vraiment toute la distribution m'as plu ;-) ), je regrette aussi qu'on ne voit pas plus Dominique Pinon (l'un des meilleurs acteurs français sur le marché) toujours excellent et Michel Duchaussoy qui en une scène m'as offert un très beau fou rire :-) . On retrouve aussi Fred Testot dans différents rôles réjouissant et assez mémorable. J'ai d'ailleurs trouvé que c'était une riche idée que de le démarquer d'Omar Sy. Le célèbre duo me fait toujours rire mais j'ai trouvé que c'était intelligent de faire en sorte de ne pas trop leur donner de scène en commun dans le film (ça nous permet aussi d'éviter de penser à leur mythique "service après vente des émissions" ^^). Chaque personnage semble avoir été écrit pour son comédien respectifs en tout cas et j'ai beaucoup aimé cette bonne humeur et cette complicité qui se dégage à l'écran.
Derrière la caméra, la réalisation de Christophe Campos est très soigné et apporte aussi un plus au long métrage qui n'est pas négligeable car derrière une légèreté apparente, il y a aussi un travail assez intéressant fait sur la forme. Tout y est bien mis en valeur à commencer par les comédiens et j'ai trouvé qu'il y avait des plans intelligents qui change de ce qu'on peut avoir l'habitude de voir dans ce genre de production. En effet, la mise en scène est loin d'être linéaire et cette recherche visuelle qui à été fait et qui donne une identité au film permet aussi de le rendre plus vivant, plus passionnant et surtout plus rythmé. Après, les décors ne sont pas toujours originaux l'intrigue se déroulant principalement dans les mêmes endroits mais ils sont bien exploités et mis en lumière. Les costumes aussi sont à l'image du scénario à savoir un peu caricaturaux mais cela amplifie un peu plus le côté parodique de l'œuvre qui du coup se regarde avec encore plus de plaisir. Je pense notamment aux costumes du personnel médical ou encore à celui des gitans qui joue sur les stéréotypes de façon totalement assumé tout comme le scénario (il n'y à qu'à voir la référence sur les Gipsy King pour s'en assurer d'ailleurs ;-) ). En revanche, je n'ai pas toujours accroché à la bande originale. Je sais pas si c'est parce que je n'ai pas aimé les musiques choisis ou si c'est parce que je trouvé que ça sonnait faux dans ce film mais à deux trois moments ça m'as fait un peu décroché. Attention, je n'irais pas jusqu'à dire que c'est mauvais mais c'est pas trop mon genre de came niveau musique et du coup ça m'as un peu gêné. Ça reste quand même assez anecdotique tant le reste du travail sur la réalisation de ce film est bon. On sens qu'il y a eu de la recherche de fait et qu'on à voulu faire quelque chose de bien et qui permet au film de se démarquer un peu des autres comédies françaises qui sortent. Les quelques clins d'oeils sont aussi appréciable tout comme les apparitions de Antonio Fargas, plus connus par ses fans comme étant le Huggy les bons tuyaux de la série culte "Starsky et Hutch" :-) .
Au final, "La loi de Murphy" est un excellent divertissement. Le film n'est pas exempt de tout reproche mais il m'as fait passer un très bon moment et j'ai totalement adhérer à cette univers décalé. Après, bien sûr que par moment il y à des petits défauts qui font que ce n'est pas le film parfait mais j'ai trouvé le film attachant au point que je pense me le procuré en dvd ou en blu-ray une fois qu'il sera sorti. Fidèle à ce que j'en attendais, j'étais peut être en condition mais il fait parti de ses films qui me font rire et que j'ai découvert au cinéma pour ma plus grande joie. Un bon film à voir entre potes et qui n'as pas à rougir. Le scénario est certes un peu faible à force de pousser sur la caricature mais la réalisation et la distribution compense à merveille pour nous offrir un spectacle efficace. Je ne le recommanderai pas forcément à tout le monde car c'est vrai qu'il faut aimer quand même car ça ne vole pas toujours haut mais pour ma part c'était du bonheur :-) . Je le reverrais avec grand plaisir.
Bruno Ricci et Omar Sy Antonio Fargas

Pio Marmai Fanny Valette

Mini filmographie sélective :

Christophe Campos (réalisateur, scénariste) : Paris la nuit, Zéro un...
Stéphane Marsil (producteur) : Gomez & Tavarès, Les Aristos, Se souvenir des belles choses, Les jolies choses...
Mabrouk el Mechri (scénariste) : JCVD, Virgil, 5 à 7, Concours de circonstances...
Pio Marmai : Le premier jour du reste de ta vie, Didine, Bazar...
Karim Belkhadra : JCVD, Rois et reines, Les rivières pourpres, La haine...
Omar Sy : Tellement proches, King Guillaume, Nos jours heureux, Micmacs à tire-larigots...
Fanny Valette : Vertige, Molière, La petite Jérusalem, Sur ta joue ennemie...
Guy Lecluyse : Bienvenue chez les ch'tis, Safari, MR73, 36 quai des Orfèvres...
Bruno Ricci : Cash...
Jean-Michel Noirey : Allons petits enfants (téléfilm), La petite chartreuse, Mes copines, Le cousin...
Dominique Pinon : Le fabuleux destin d'Amélie Poulain, Un long dimanche de fiançaille, Ze film, Bienvenue chez les Rozes...
Jonathan Lambert : Palais royal, Steak...
Fred Testot : Je vais te manquer, Le carton, Seul two, Old school...
Michel Duchaussoy : Mesrine l'instinct de mort et L'ennemi public numéo 1, Le plus beau jour de ma vie, Fort Saganne, Le retour du grand blond...
Antonio Fargas : La série Starsky et Hutch, Milo, Mort sur le grill, Foxy Brown...
Affiche du film



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