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The Sacred Blacksmith

Par Jibouille

Jadis, une guerre régie par “le pacte démoniaque” dévasta le continent. Issue d’une ancienne famille noble, Cecily Campbell appartient désormais à l’ordre des chevaliers. A la recherche d’un artisan de premier ordre capable de restaurer la lame éprouvée de l’antique épée qu’elle a héritée de son père, elle fait la connaissance de Luke, un mystérieux forgeron qui pourra surement l’aider…

The Sacred Blacksmith

Voilà une série dont le titre m’avait interpellé car il n’est pas courant.

Sans mériter le titre d’anime de l’année, j’ai bien apprécié cette petite série. Certes, le fond est loin d’être très recherché mais le rythme bien équilibré fait que l’on ne s’ennuie pas, insistant à la fois sur le léger scénario et sur la relation entre les protagonistes. J’avoue que la fin va un peu vite, sautant des passages qui auraient mérité d’avoir de plus longues explications mais cela s’explique par le fait qu’une seconde devrait voir le jour (c’est ce qu’indique la fin en tout cas).

Les personnages ne sont pas très poussés, mis à part Lisa, la petite forgeronne toute mimi, qui accompagne le héros, dont le principal trait de caractère est de bouder tout le long. Cecily est assez énervante par ses grandes phrases toutes faites, qu’elle est incapable d’appliquer d’ailleurs. Une sorte de chevalier de pacotille en quelque sorte. Etrangement, j’ai trouvé les persos secondaires plus intéressants, même si on ne les voit pas beaucoup finalement. Petit moins sur le méchant, qui bien que potentiellement intéressant, passe dans l’histoire comme un courant d’air.

Le design est vif et pas désagréable. Les monstres sont par contre horribles et en décalage par rapport aux personnages et aux décors, parfois très jolis. Ca casse pas des briques mais ca ne choque pas non plus.
La musique est insipide, sauf l’opening que je trouve assez sympa, pour le moment. Il fait parti de ces opening qu’on aime un temps et qu’on écoute plus après overdose ^^

Un divertissement convenable, même s’il y avait matière à faire mieux (et plus long). La deuxième saison apportera probablement des réponses et peut s’avérer plus creusée sur le fond mais bon, toujours se méfier.


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