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Les Ramasseuses

Publié le 20 janvier 2010 par Basan
Chers lecteurs, il existe dans le domaine du sordide féminin plusieurs niveaux... On y trouve en effet de tout, de la naturelle frigidité des laides à l'attitude ultra-lubrique de celles, pas forcément plus belles d'ailleurs, qui font offrande de leur corps au premier venu. Loin de moi dans ce modeste article la prétention de juger telle attitude. Qui suis-je en effet pour critiquer la satisfaction d'un besoin aussi sain ? Les anus et les vagins de toutes méritent en effet visite, et évidemment sans discrimination aucune, à fortiori en cette époque si désespérément égalitaire. L'attitude de croqueuse-de-vit peut d'ailleurs même être charmante et n'est pas complètement sans rappeler la sulfureuse Carmen, cette flamboyante bohémienne vomie par les contorsions intellectuello-misogynes de Mérimée. Quelle beauté insolente ne trouve-t-on pas dans cette figure de femme vorace, si pleine de feu et dont la danse érotique ne peut qu'enfiévrer les esprits. Tous les charmes de la prostituée sans ses habituels avilissements se concentrent en effet harmonieusement en cette croisée cruelle, maîtresse absolue du désir masculin.
Mais cette première suceuse drapée de mes éloges n'est malheureusement pas le type commun que l'on rencontre. Les Carmen s'opposent en effet à leurs lointaines et bien moins sophistiquées cousines, dites ramasseuses. Commençons donc la décortication de ces horribles créatures dont on m'a récemment narré quelques faits d'armes. Contrairement aux sombres seigneurs Sith de Star Wars, elles vont toujours par trois formant un cortège hétéroclite hanté de mamelles pendantes, d'intellects approximatifs et surtout imbibé d'un droit de l'hommisme puant.
Les RamasseusesBien entendu, ces véritables icônes du mélangisme actuel chassent uniquement le gibier qui est à leur portée. En réalité, il s'agit moins de drague à proprement parler que d'un odieux ratissage désespéré dans les bars les plus sordides en quête de fourreurs peu regardants. On pourrait légitimement se demander comment de telles abominations trouvent des vits prêts à faire leur devoir sans ramollir face à l'horreur de l'absence de forme ou même face à cette répulsion particulière que provoque ces filles qui, malgré leur jeunesse sont déjà si usées par le temps... Yeux délavés, cul éventrés, foufounes ridées et je vous fait grâce des meilleures, chers amis. La réponse est relativement simple : INTERNATIONAL STUDENT SOCIETY. Voilà en effet le nom de l'organisme pompeux qui permet aux ramasseuses de coucher si facilement. Avant d'aller plus loin, il faut toutefois savoir que nos fameuses petites truies sont gangrenées par un handicap supplémentaire dans la quête du vit facile : leur moralité. En effet, contrairement aux belles mais trop rares Carmen, les ramasseuses de caniveaux ne peuvent accepter leur statut. Elles doivent exécuter la basse mais nécessaire besogne dans l'obscurité et, si possible, avec des cons sans cervelle. C'est un peu comme quand la GESTAPO massacrait : il fallait faire vite, sans laisser de trace et passer à autre chose en attendant les prochaines captures.
Dans notre cas, quand les ramasseuses n'en peuvent plus de leur morale exsangue et que la critique acide des Carmen ne suffit plus à apaiser le feu qui fait rage au fond des utérus, c'est sortie de tanière pour s'attaquer aux vits rabougris des étudiants internationaux. Un plan parfait car il correspond à l'idéologie soixante-huitarde qui a tant fantasmé ce mélange sans limite des corps, censé provoquer une sorte de fusion culturelle. La réalité est évidemment moins poétique et si nos amis les ramasseuses chassent dans les milieux Indo-pakistanais uniquement, c'est surtout car elles savent à quel point les mâles de ces régions sont à la fois frustrés et étouffés par un système de classes antique. Ils sont en quelque sorte en socialement déterminés - et ceci est d'une tristesse terrible - à servir les européennes moches que tous les autres rejettent avec tant de délice. Cela dit, j'ai le tout de même eu le plaisir de relever lors de mon enquête que les ramasseuses et leur horrible STO du cul subissent parfois des rejets, malgré le manque de goût dont font généralement preuve certains vits orientaux.

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