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Gardez un oeil sur votre e-reputation…

Publié le 10 février 2010 par Blablas

reseaux-sociaux « En France, 14 % des spécialistes du recrutement disent avoir déjà refusé un candidat à cause d’informations trouvées sur Internet » Voilà le résultat d’une enquête sur l’impact de notre e-réputation dans la recherche d’emploi publiée par l’institut Cross Tab, que j’ai pu lire dans la newsletter du Journal du Net d’hier.

Parmi les chouchous des recruteurs les commentaires, photos ou vidéos “inappropriés” que nous semons sur le net laissant ainsi planer des inquiétudes sur notre style de vie. Si en France 14% des candidatures seraient refusées à cause d’informations trouvées sur internet, on atteindrait 41 % en Grande-Bretagne et même 70 % aux Etats-Unis.

Normalement je ne devrais pas trop avoir de souci à me faire concernant ma propre réputation en ligne car j’essaie d’être vigileante, mais 1 internaute averti en valant 2, j’ai quand même enquêté sur ma propre identité…

Facebook : OK (une ou 2 photos de profil, pas de tags, je n’y raconte pas ma vie)
Viadeo : OK (mon cv en ligne tout au plus, ras)
LinkedIn : OK (ma fiche n’est pas à jour mais je ne vois rien qui jouerait en ma défaveur
Twitter : OK (dur de faire le lien avec moi et en plus je n’ai pas le temps de tweeter donc ça va…)
1 2 3 people : OK (on me retrouve noyée parmi d’autres Aurélie avec le même nom de famille que moi. Je passe donc inaperçue)
Annuaires : OK (tout au plus on trouve mes coordonnées de l’époque où j’habitais dans l’est, il y a déjà 2 ans. Rien à craindre la dessus)
Blablas : OK (pas de photos de moi, juste mon avis sur un peut tout et rien. Si ma candidature venait à être refusée pour un de mes articles je trouverai ça ridicule. La liberté d’expression est un droit. Je prendrai ça comme le signe que l’entreprise ne vaut pas la peine que je travaille pour elle)

Si à mon niveau je ne pense pas craindre grand chose [en tout cas aujourd'hui], la réputation en ligne d’une marque peut avoir un impact bien plus préjudiciable pour l’entreprise et être d’autant plus difficile à réparer… J’espère pour ces chercheurs de la « petite bête noire » qu’avant de traquer la réputation de leurs futurs employés, ils s’attaquent d’abord à la e-réputation de leur propre société et agissent en conséquence et avec intelligence car le pire serait de ne rien faire…


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