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Il y a 20 ans, Nelson Mandela, Matthaus et Vata…

Publié le 11 février 2010 par Foothese

Il y a 20 ans, Nelson Mandela, Matthaus et Vata…

Grand jour pour l’Afrique du Sud aujourd’hui avec le 20ème anniversaire de la libération de Nelson Mandela. Partout à travers le monde, son courage et sa foi en l’homme sont salués. Clint Eastwood en a même fait un film à succès. Mais mon Lothar on attend quoi pour célébrer le 20ème anniversaire de son Ballon d’Or? Retour sur une année 90…étonnante.

Lothar, mein kampf. Capitaine d’une Allemagne réunifiée pour la 1ère fois, Matthaus mène une troupe de sacrée bons joueurs avec Hassler, Littbarski, Berthold ou encore Voller-Klinsmann devant. L’Allemagne remporte sa 3ème (et dernière pour le moment) coupe du monde après une finale pourrie contre l’Argentine de Diego la pleureuse. Un Diego nouvel ennemi de l’Italie.

Toto Schillaci, le mafioso qui perd. Inconnu avant le mondial, Salvatore va remplacer un Vialli à la ramasse et au fond du gouffre après un pénalty raté contre les Etats-Unis (défi: retrouver, sans tricher bien sûr, le nom du gardien américain). Héros de tout un pays, Toto marque 6 fois mais l’Italie perd aux tirs au but en demie face à l’Argentine de Goicoechea (qui a quand même gardé les buts de Brest) et de Caniggia.

L’Allemagne , championne du monde grâce à N.Sarkozy

Vata, l’autre main. Benfica-OM, mai 90. Match décisif pour accéder à la finale de coupe des clubs champions. Marseille a gagné l’aller 2-1 derrière le plus beau match de Francescoli à Marseille. On joue les dernières minutes, c’est chaud, très chaud mais ca tient. Corner dévié et but de la main de Vata qui qualifie Benfica. Ce jour là Tapie (qui prendra le contrôle d’Adidas en juillet) a compris qu’il allait changer de méthode.

Laurent Blanc, le fils de Nicollin. Vainqueur du Matra en finale Montpellier gagne la coupe de France grâce  un but de Blanc et de Kader Ferhaoui. Olmeta était en face avec Ginola. Le temps passe.

Sarkozy, general manager de la Manschaft. On aurait pu citer Brehme et son pénalty en finale alors que Lothar s’est chier dessus, Illgner et ses arrêts face à l’Angleterre, Buchwald et son marquage sur Diego en finale mais non, l’élément essentiel du succès n’est autre que notre président. Et oui, le mur, qui l’a fait tomber?

Helmut Kohl


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