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Les belles histoires de l'art de l'Oncle Ramon, Toulouse/Paris (60/70)

Publié le 10 mars 2010 par Lesabattoirs

Dans le cadre des “rendez-vous du jeudi” et à l’occasion de leur dixième anniversaire, les Abattoirs vous invitent chaque second jeudi du mois à un rendez-vous original : conférence, concert, projection, théâtre, rencontre, …

Premier dendez-vous le jeudi 11 mars à partir de 18h30 à l’Auditorium  (accès libre) avec une conférence de Ramon Tio Bellido, critique d’art :  Les belles histoires de l’art de l’Oncle Ramon, Toulouse/Paris (60/70)

Les manifestations d’art moderne et contemporain étaient rares à Toulouse, aussi l’auteur se souvient-il avec émotion des expositions qui ont été organisées dans le cadre du Festival Messidor, de la programmation du Centre Municipal de la Croix Baragnon, de quelques propositions au Musée des Augustins et de l’activité d’une poignée de galeries. Le Paris des années 70 est le témoin d’un basculement social capital, puisque l’art n’est plus considéré comme une activité “marginale” mais gagne de plus en plus une reconnaissance publique, que confirme et conforte la création de nombreux musées et centres d’art. C’est une époque riche en expériences, en rencontres, en découvertes…

Les belles histoires de l’art de l’Oncle Ramon, Toulouse/Paris (60/70)

Un cycle de trois conférences de Ramon Tio Bellido.

Les trois conférences projetées aux Abattoirs prennent comme prétexte de discourir sur les changements de la création artistique et sur les évolutions structurelles qui l’ont accompagnées, depuis la période des années 60/70 jusqu’à aujourd’hui, en s’autorisant à le faire à la “première personne”. La relation d’événements, de témoignages, de situations, d’anecdotes… bien que vécue et perçue singulièrement, ne peut être dissociée des transformations profondes qui qualifient ces dernières années. En trois décennies, en effet, l’art a vécu une mutation irrévocable, qui a vu la fin des avant-gardes et de l’idéologie progressiste qui s’y rattachaient, pour attester actuellement d’une mondialisation tant structurelle qu’esthétique qui présage d’une reconsidération globale de sa perception et de sa dénomination.

Les “étapes” proposées dans le cadre de ces interventions suivent donc l’itinéraire personnel du conférencier. Après une adolescence et quelques années d’études à Toulouse (60/70), suivent une installation à Paris et le début d’une activité professionnelle assez internationale (80/90), qui va encore s’enrichir avec sa présence à l’AICA (00/10).

Plus d’informations sur le site web des Abattoirs


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