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Resident Evil 3: Extinction

Publié le 11 mars 2010 par Olivier Walmacq

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genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2007
durée: 1h30

l'histoire: Le virus expérimental mis au point par Umbrella Corporation a détruit l'humanité, transformant l'humanité la population en zombies. Fuyant les villes, quelques survivants ont pris la route afin de gagner l'Alaska, une terre encore préservée. Ils sont accompagnés par Alice, une femme sur laquelle Umbrella a mené de terribles expériences.

la critique de Eelsoliver:

Après un second épisode médiocre et décevant, les producteurs ont conscience qu'il faut rattraper le coup. Autant dire que le nom du réalisateur de ce troisième volet, du nom de Russell Mulcahy, un cinéaste responsable de chiures comme Highlander 2, Resurrection et Razorback, a le mérite de faire peur. Pourtant, Russell Mulcahy s'avère plutôt efficace derrière la caméra et suit la logique des précédents épisodes.

Certes, dans l'ensemble, la saga Resident Evil reste décevante. Mais parmi les adaptations de jeux vidéos au cinéma, cette franchise tire son épingle du jeu, pour si peu que l'on aime les films avec des zombies. Désormais, l'humanité touche à sa fin.
Les morts-vivants ont envahi la planète. Seuls quelques survivants subsistent. La société Umbrella Corporation poursuit ses expériences.

Cette fois-ci, leurs recherches consistent à rendre les zombies dociles grâce à un nouveau sérum. On retrouve forcément Alice, une guerrière redoutable qui a déjà fait les frais des expériences menées par Umbrella Corporation.
Cette dernière s'allie à une poignée de survivants. Leur but est de rejoindre l'Alaska, la seule terre encore habitable et non infestée de morts-vivants.

Pour y parvenir, Alice et sa nouvelle bande devront affronter une véritable armée de zombies. Ce qui donne quelques bonnes séquences, comme celle avec les oiseaux meurtriers.
Mais dans l'ensemble, le film reste stéréotypé. Resident Evil 3: extinction délivre largement la marchandise mais on est en droit d'attendre beaucoup mieux d'une telle production.

Note: 10.5/20


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