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Jean-Luc Mélenchon : « J'ACCUSE ! »

Publié le 22 mars 2010 par Raoul Sabas

Le 22 mars 2010

Objet :

« J’ACCUSE : Arrêtez de mentir et de tromper l'opinion, "PENSEZ" ! » 

Monsieur Jean-Luc Mélenchon

Parlement Européen
1, avenue du Président Robert Schuman

C S 91024

67070 Strasbourg Cedex

Fax : 03 88 17 51 84

Monsieur,

Votre fallacieuse promesse ponctuant votre intervention du 18 courant, à Limoges, dans le cadre du deuxième tour des élections régionales, me donne l’occasion de vous rappeler ma lettre du 1er octobre 2007, toujours sans réponse à ce jour - et pour cause !

Ce courrier, en effet, faisait déjà suite à un propos mensonger, à une énorme tromperie de l’opinion, puisque, à en croire un entrefilet de l’hebdomadaire Le Point du 20 septembre 2007 dans son numéro 1827, vous évoquiez alors dans votre livre intitulé, En quête de gauche, l’idée mirifique, mais non moins absurde, de « faire vivre l’Idéal », autrement dit d’introduire l’absolu dans le relatif, en clair de transposer l’Idéal dans la réalité quotidienne des humains !

C’était, et cela demeure, un énorme mensonge et une immense manipulation de l’opinion, tout comme il en va aujourd’hui de votre propos parlant de « tourner la page du capitalisme dans ce pays », et il me suffirait d'ailleurs de reprendre les arguments d’alors pour l’établir. D’où l’objet sans ambiguïté de ce nouveau courrier, du moins jusqu’à ce que vous-même ou quiconque, évidemment, fasse la démonstration que l'Idéal est « véritablement » transposable dans notre monde humain, en attendant que la réalité ne s’en charge - mais DEMAIN, toujours DEMAIN et seulement DEMAIN, hélas, à la saint Glinglin !

D’ici-là, vous fournissez au moins la preuve que vous prenez les électeurs pour des « TARÉS », tant il est vrai que les humains, dans leur quasi-totalité, sont davantage portés par nature à « croire » - aux miracles ! -, à imiter et à répéter, qu’à penser « vraiment » - à réfléchir tout simplement ! Les citoyens d’ici sont pourtant très bien informés des deux grandes révolutions de portée internationale, celles de 1789 et de 1917, mais ils sont bien obligés de constater que la première n’a toujours pas établi sur Terre la liberté et l’égalité promises, encore moins la fraternité ou solidarité, ainsi que l’a manifesté indiscutablement la dernière élection au poste de Premier secrétaire du Parti socialiste français – un modeste exemple parmi l’infinité des cas qui se constate quotidiennement, voire à tout instant, dans le monde !

Quant à la seconde révolution, elle n’a pas empêché le bloc communiste de l’Est de s’effondrer, à l’exemple de son « mur de la honte », sans avoir davantage vu disparaître les inégalités et les injustices malgré d’incontestables privations de liberté pour ce faire, tandis que les pays satellites, tenus en joug d’une main de fer par ce soi-disant régime de liberté, n’ont pas eu de plus grande hâte que de se réfugier dans le giron capitaliste, à la première occasion – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire pour l’Allemagne de l’Est, la Pologne, la Tchécoslovaquie, les pays baltes, etc., etc. !

Or, quand on s’en tient à ce stade de « croyance » d’un monde parfait, idéal, avec des humains imparfaits, égoïstesTOUS, sans aucune exception ! -, on demeure forcément « naïf, cocu et frustré » jusqu’à son dernier jour, ainsi que je peux vous le démontrer. Toutefois, ceci ne justifie nullement vos mensonges publics éhontés et votre manipulation délibérée de l’opinion, car vous n’avez pas l’excuse d’ignorer ce « parler vrai » - sauf à établir que ma lettre du 1er octobre 2007, transmise par télécopie au Sénat à votre intention, ne vous était pas parvenue, tandis que mon journal des fax témoigne de son envoi !

Ainsi vous, les gens de gauche en particulier, toutes fractions partisanes rivales confondues, vous aurez beau privilégier dans votre naïveté et vos condamnations moralisatrices, voire votre roublardise,  la Foi et les « croyances au miracle » sur la Raison et la démonstration, il n’en demeure pas moins qu’attendre indéfiniment, jusqu’à la fin des temps, l’arrivée de ce monde idéal qui constitue l’essentiel de votre fonds de commerce, ne témoigne pas d’une grande profondeur de réflexion. Bien au contraire, c’est la preuve d’un penser superstitieux dans ses divers modes d’expression : religion, toutes les religions sans exception (monothéistes ou non), métaphysique, tant la doctrine matérialiste, ou scientisme, que l’idéalisme ou spiritualisme, l’idéologie, toutes les idéologies sans exception (communisme, socialisme et altermondialisme inclus) et le moralisme, tous catéchismes réunis, y compris le catéchisme soi-disant universel contemporain, ou Déclaration – prétendument ! – universelle des droits de l’homme de 1948, dont seule l’inobservation est réellement universelle – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, d’établir le contraire à l’aune seulement d’un conflit toujours actuel entre deux États lilliputiens de la planète, qui date précisément de la proclamation de ce catéchisme, mais qui est encore bien loin d’être terminé !

Et c’est bel et bien à l’aune de votre penser superstitieux, de ses mensonges et de ses « croyances au miracle », que vous, les gens de gauche, prospérez sur fondement de condamnations moralisatrices allant même jusqu’à utiliser la religion pour ce faire, comme il en va de vos accusations d’ « islamophobie » volant au secours de la superstition musulmane - dénoncée par Spinoza en son temps, et au nôtre par Claude Lévi-Strauss ! -, mais  dont les pratiques toujours actuelles dans le monde (charia, fatwa, djihad, pendaison d’homosexuels, etc., etc.) sont en totale contradiction avec le catéchisme droit-de-l’hommiste contemporain en matière de liberté et d’égalité notamment.

Si, suite à ces propos susceptibles d’être jugés par vous comme étant « islamophobes », il vous prenait l’idée saugrenue de me traduire en justice, je tiens à vous prévenir que, trivialement parlant, vous prendriez assurément un bock comme jamais auparavant, sauf, évidemment, à comparaître devant une justice aux ordres en la matière, à l'exemple des procès de Brigitte Bardot et de Jean-Marie Le Pen condamnés sur la seule base du penser moralisateur superstitieux du jour, mais sans examiner au fond la charge invoquée, c'est-à-dire en la confrontant à LA Vérité éternelle absolue – comme il en fut en leur temps pour Socrate, le Christ, Giordano Bruno et Spinoza, ces grands diseurs de la Vérité pour l’éternité ! ! !

Certes, en faisant l’amalgame entre la légitime critique des idées et des attaques personnelles, l’époque a produit nombre de procès staliniens, comme il en va pour Dieudonné de la confusion entre antisémitisme et antisionisme, alors que le philosophe juif allemand Constantin Brunner (1862-1937), héritier spirituel notamment de Spinoza, s’affirmait ouvertement antisioniste - lui ne confondait pas la critique des idées fausses, celles des religions notamment, avec la critique morale !

En tout cas, ne pas dénoncer les pratiques de l’islam, désignées ci-dessus, comme attentatoires au catéchisme des droits de l’homme pour s’adjuger les votes d’une certaine partie de l’électorat, c’est tout simplement cautionner implicitement ces pratiques d’un autre âge, au point que Robert Redeker est toujours en cavale ! Merci pour votre silence à propos de cette fatwa - en France, dans une république laïque, au XXIe siècle ! -, et HONTE à vous, ainsi qu’à vos semblables, pour votre refus de débattre du penser superstitieux sur le fond et continuer ainsi à commettre impunément le « crime de lèse-Vérité » sous toutes ses formes - pour votre plus grand profit ! C’est pourquoi vous avez peur de LA Vérité éternelle absolue, celle qui suffit à invalider toutes les opinions relatives partisanes, tout le contenu pensé dans et sur (à propos de) notre monde, dans sa prétention à exprimer l’Absolu, la réalité ou Vérité absolue, car elle contrarie vos intérêts égoïstes de toutes sortes l 

Ce crime de lèse-Vérité concerne aussi, aujourd’hui, ô combien la métaphysique matérialiste avec son big bang et son évolutionnisme ainsi que le scientisme contemporain dans sa prétention insensée d’établir sur la planète, à terme, un « climat sur mesure » pour l’éternité, ce qui fera la risée de nos plus ou moins lointains descendants constatant que le climat est toujours aussi changeant, tantôt plus froid, tantôt plus chaud. Je ne développe pas ici la totalité de mon argumentation dénonçant cette chimère climatique sur laquelle vous venez de fonder votre dernier succès électoral grâce aux mensonges et aux « croyances au miracle » d’Europe Ecologie, puisque je tiens à votre disposition le courrier adressé - preuves matérielles à l’appui - au GIEC, à Barack Obama, à Ban-Ki-moon et à José-Manuel Barroso, avec synthèse à Nicolas Sarkozy, mais je vous invite à répondre à cette simple question devant laquelle même le GIEC s’est dérobé:  

« In an universe, which is perpetually in movement, and where EVERYTHING is in a constant movement, that is the SOLE cause of the unceasing transformation of all the things of our world, human beings included, HOW would-it be possible to definitively stabilize whatever, and thus to establish on the planet a custom-made climate for the eternity, excepted, precisely, by stopping this movement itself? »

Sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, d’apporter une réponse contraire, argumentée et convaincante, à cette question, vous confirmeriez que tous les prophètes de malheur, qui profitent aujourd’hui même de leurs mensonges et de leurs « croyances au miracle » climatiques, sont des imposteurs, à l’exemple de Cécile Duflot, Corinne Lepage, Daniel Cohn-Bendit et Nicolas Hulot, entre autres, ainsi que l’établit le courrier qui leur a été adressé, toujours à votre disposition - hélas, pas leurs réponses ! ! !  

Le crime de lèse-Vérité idéologique n’est pas en reste pour conforter vos fallacieuses promesses, qu’il s’agisse d’établir sur la planète l’« ordre juste » promis par l’une, de moraliser le capitalisme selon un autre, voire de tourner définitivement sa page d’après vous. Pour l’établir, il me suffit de vous lancer ce défi, à l’intention éventuelle de tous les faiseurs d’opinion du monde entier, de m’indiquer concrètement comment éradiquer, de manière définitive et universelle, les sempiternels maux de l’humanité, dont une liste non exhaustive est à votre disposition, et comment instaurer, tout aussi définitivement et universellement : liberté idéale, égalité absolue, démocratie parfaite et paix éternelle - l’Idéal sur la Terre, en somme !

Jusqu’ici j’attends toujours la première proposition censée permettre de transposer l’Idéal dans le quotidien, et les menteurs peuvent donc continuer à prospérer sur leurs mirifiques promesses sans lendemain. Finalement, les abstentionnistes, dont je ne suis pas, ne sont pas tellement à blâmer pour leur désintérêt et leur manque de civisme - ils ont tout simplement éventé vos mensonges et vos « croyances au miracle » !

Il en va ainsi de votre propos sur le capitalisme, dont vous annoncez la mort prochaine - DEMAIN, mais toujours DEMAIN et seulement DEMAIN ! -, comme j’en fournis la preuve. Voici bientôt  quarante ans, en effet, que l’un de vos illustres prédécesseurs, pétainiste avéré reconverti en socialiste expert en mensonges et autres cachotteries, claironnait déjà, à Épinay sur Seine, la « rrrupture » avec le capitalisme, alors même que ses deux septennats se sont surtout distingués par l’affairisme et les affaires d’un capitalisme triomphant avec son héros médiatique d’alors, Bernard Tapie en l’occurrence.

Par ailleurs, faire du capitalisme un « diable », un bouc émissaire,  ne témoigne pas non plus d’une grande profondeur de réflexion, mais du moment que cela vous est profitable, pourquoi se gêner ? Vous auriez tort, puisque, comme déjà dit, la foule superstitieuse « croit » », mais ne pense pas « véritablement ». Vous, le personnel politique de gauche et vos affidés (médias, prétendus intellectuels et pseudo-philosophes), en avez déjà fourni la preuve à propos de la période coloniale en dénonçant l’amendement proposé par le député Christian Kert, au prétexte qu’une quelconque chose humaine, colonisation en l’occurrence, pourrait comporter « exclusivement » du contre, du négatif, des inconvénients, alors que, dans notre monde où TOUT est relatif, « TOUT » présente, à la fois, du pour, du positif, des avantages, et du contre, du négatif, des inconvénients, entre lesquels tranchent seulement les intérêts égoïstes, individuels et collectifs, des uns et des autres – sauf, évidemment, à vous-même ou à quiconque d’établir le contraire ! Et d’ici-là, vous aurez bien berné l’opinion avec vos mensonges et vos « croyances au miracle », sinon, pourquoi les pays de l’Est, libérés du joug soviétique, auraient-ils choisi délibérément l’ « enfer capitaliste » pour mieux vivre ? !

A défaut de réponse convaincante, c’est-à-dire intellectuellement et philosophiquement étayée, JE VOUS ACCUSE de mentir et de tromper l’opinion ! Que vous ne soyez pas le seul dans ce cas ne change rien à l’affaire, comme vous le montrera la longue liste des menteurs dénoncés dans le texte, Mensonges et lâcheté des élites, figurant déjà en annexe de ma lettre du 1er octobre 2007, mais dont le nombre n’a cessé de s’allonger depuis lors !

Pour commencer, arrêtez de mentir et de tromper l’opinion en vous fondant sur l’Idéal, car l’Idéal n’est pas de ce monde, comme l’a dit, voici bientôt deux mille ans, ce grand diseur universel de LA Vérité dans sa Parole non pervertie par la superstition religieuse et  les foules superstitieuses !

De surcroît, l’Idéal ne saurait être la propriété de certains, à savoir les prétendus initiés de gauche et les « censeurs autoproclamés » d’aujourd’hui, qui condamnent en son nom ! Vous confondez l’ « Idéal en soi », à jamais inconnaissable pour nous humains, avec les conceptions personnalisées de l’Idéal, que chacun (groupes et individus) se forge, dès qu’il pense le moindre concept (femme idéale, justice idéale, etc., etc.).

Ainsi vos condamnations moralisatrices partisanes, fondées seulement sur vos propres conceptions de l’Idéal, sont-elles sans valeur dans leur confrontation à l’ « Idéal en soi », puisqu’elles n’en sont que de pâles reflets au service de vos intérêts de toutes sortes. Vous n’êtes pas propriétaire de l’Idéal, mais seulement de vos conceptions spécifiques idéalisées, donc relatives, puisque fictivement établies sur l’ « Idéal en soi », dont nul n’a, et n’aura jamais, la connaissance !

Le crime de lèse-Vérité se manifeste également dans le moralisme [Morale et condamnations moralisatrices des Autres au nom de LA Morale : LAQUELLE ? !], car c’est au nom de cette fiction de l’Idéal descendu sur Terre que vous décrétez ce qui est le Bien et le Mal absolus sur la planète, avec ses conséquences disparates au gré des époques et des lieux, comme il en va en matière de bioéthique aujourd’hui, y compris au sein d’une soi-disant Union commune européenne, où chacun adopte pourtant des décisions contraires en matière d’euthanasie, de gestation par mères porteuses, de mariages homosexuels, etc.

En réalité, le véritable but de vos condamnations moralisatrices partisanes est de discréditer moralement vos adversaires politiques au nom de cet Idéal fictif qui n’a aucune réalité sur la Terre, même si, comme déjà dit, l’ « Idéal en soi » inspire le moindre de nos concepts pensés. Ceux-ci n’en demeurent pas moins relatifs, mais c’est tellement juteux, sur le plan électoral et financier, d’ « absolutiser le relatif », de faire passer vos vérités seulement « relatives » pour LA Vérité absolue ! ! ! !

QUI  vous a donc fait juge du Bien et du Mal absolus sur Terre pour décréter ce qu’il est bon ou mauvais de penser et de dire, donc de verrouiller ainsi la liberté d’opinion et d’expression, alors que vous avez sans cesse le mot « liberté » à la bouche ? Evidemment, cette contradiction flagrante ne peut être source d’un discours cohérent, et je ne peux mieux faire pour l’illustrer que citer ce propos croquignolet de Jean-Louis Bianco, alors directeur de campagne de Ségolène Royal, déclarant sur RMC Info, au micro de soi-disant « Grandes Gueules » : « On peut tout dire, mais il y a des limites. » (SIC !) – vous avez dit « débilité intellectuelle » ? ! OUI, je persiste et je signe - sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, d’établir la cohérence du propos ! ! !

Cette incohérence tenant à la prétendue coexistence de deux absolus (Bien et Mal) entraîne pour vous et vos semblables la division artificielle des humains en deux catégories, à savoir les bons, les « vertueux », les antiracistes aujourd’hui – nous ! -, et les méchants, les « salauds », les racistes – eux ! -, comme le confirme ce propos de Daniel Vaillant, alors ministre de l’Intérieur, déclarant : « Eux (le personnel politique de droite) se battent pour leurs intérêts, nous nous battons pour des valeurs. » - SIC ! Contre quoi, trivialement parlant, d’aucuns seraient tentés de lui rétorquer : « Et mon cul, c’est du poulet ? ! »

Pour conclure sur le moralisme, j’affirme qu’il n’y a ni Bien ni Mal absolus, et pas davantage les bons et les mauvais par nature, puisque chacun se comporte, au gré de l’intensité de ses aspirations et intérêts égoïstes, tantôt bien, tantôt mal – sauf à vous-même ou à quiconque, évidemment, de démontrer le contraire ! Ainsi, face à l’Idéal, chacun est-il forcément coupable, coupable de crime de lèse-Idéal, car il n’y a pas, il n’y a jamais eu et il n’y aura jamais, d’individus ni de groupes d’individus, « TOUS » critères d’appartenance confondus, réellement « irréprochables », à commencer par moi et les donneurs de leçons de morale aux Autres, dont vous faites partie pour votre plus grand profit, mais sans avoir l’honnêteté et le courage intellectuels de confronter vos points de vue relatifs partisans à LA Vérité éternelle absolue !

Je vous offre une excellente occasion de le faire en soulevant vos éventuelles objections sur des points très précis de désaccord et en avançant vos arguments contraires, intellectuellement et philosophiquement étayés, portant sur l’intégralité de ce courrier, document annexé compris.

Dans cette éventualité, à défaut de quoi vous confirmeriez votre intention délibérée de continuer à colporter les mensonges et les « croyances au miracle » du monde, donc à tromper et à manipuler l’opinion, je vous remercie de votre attention et vous prie d’agréer, Monsieur, mes salutations distinguées.

Annexe : Texte, Mensonges et lâcheté des élites 


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