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L’enterrement du « Climategate » permet de maintenir ouverte la grande chasse aux milliards verts

Publié le 06 avril 2010 par Lecriducontribuable
L’idéologie anti-CO2 a eu beau être mise à mal ces derniers temps, par la révélation de multiples fraudes du GIEC et d’erreurs scientifiques que l’on peine à qualifier, elle reste encore politiquement dominante au niveau des décideurs. Non seulement les climato-sceptiques n’ont pas gagné la bataille du CO2, mais le camp réchauffiste vient de lui infliger un revers sévère avec l’enterrement de première classe du ClimateGate par le parlement britannique, qui recommande de permettre à Phil Jones (photo) de retrouver ses fonctions de directeur du CRU. Dans le même temps, de nouvelles révélations se font jour sur les intérêts bien compris de certaines ONG écologistes qui, derrière les bons sentiments, sont prêtes à toutes les bassesses pour participer à l’orgie des marchés d’échanges de permis d’émission du carbone, dont elles pourraient retirer jusqu’à 60 milliards de dollars de profits. Trop d’intérêts sont en jeu pour qu’un vulgaire « climate gate » puisse arrêter la pompe à fric réchauffiste. La question centrale du réchauffement climatique n’est pas la science. C’est l’argent.

L’idéologie anti-CO2 a eu beau être mise à mal ces derniers temps, par la révélation de multiples fraudes du GIEC et d’erreurs scientifiques que l’on peine à qualifier, elle reste encore politiquement dominante au niveau des décideurs. Non seulement les climato-sceptiques n’ont pas gagné la bataille du CO2, mais le camp réchauffiste vient de lui infliger un revers sévère avec l’enterrement de première classe du Climategate par le Parlement britannique, qui recommande de permettre à Phil Jones (photo) de retrouver ses fonctions de directeur du CRU.

Dans le même temps, de nouvelles révélations se font jour sur les intérêts bien compris de certaines ONG écologistes qui, derrière les bons sentiments, sont prêtes à toutes les bassesses pour participer à l’orgie des marchés d’échange de permis d’émission du dioxyde de carbone, dont elles pourraient retirer jusqu’à 60 milliards de dollars de profits. Trop d’intérêts sont en jeu pour qu’un vulgaire Climategate puisse arrêter la pompe à fric réchauffiste.

La question centrale du réchauffement climatique n’est pas la science. C’est l’argent.

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