Les réseaux sociaux tels que linkedln, viadeo, ou encore facebook, my space, ect. commencent à être utilisés comme outils de recrutement, autant par les candidats que par les recruteurs, qui peuvent tous deux en tirer profit.
Pour les responsables RH, plus de la moitié estiment que ces réseaux seront « une priorité stratégique » à l’horizon 2012[1]. Ainsi, si les réseaux sont seulement à l’origine de 2 % des recrutements actuellement, cette part devrait monter à 10 % d’ici deux ans. Les réseaux professionnels ainsi que les moteurs de recherche de personnes permettent effectivement de cibler les compétences dans un domaine, et de repérer des experts bien identifiés au sein d’une communauté professionnelle.
Du côté des candidats, les blogs ou autres nouveautés du Web 2.0 peuvent être utilisés comme outils de « marketing » personnel par un candidat. Travailler son e-réputation et maitriser son identité numérique permettent en effet de confirmer ses compétences aux recruteurs, qui n’a plus seulement un CV en main, mais qui « googlisent » de plus en plus les candidats. Aussi, si cette identité numérique est travaillée, cela permet à un candidat d’assoir la légitimité de sa candidature en montrant par le net son intérêt réel pour des domaines d’expertise qu’il revendique sur son CV. Encore faut il ne pas laisser trainer sur le Web quelques photos ou autres commentaires festifs qui tendent à discréditer un candidat…
[1] Source : « baromètre Novamétrie/Digital Jobs », réalisé auprès de 27 DRH et dirigeants et 261 collaborateurs, établi en 2009
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