Ecologie de la guerre!

15 avril 2010

Ecologie de la guerre!

Rats.

La guerre est le caractère permenent de la nature, son expression, sa réalité. J'ai toujurs eu le vague projet d'écrire sur l'extermination des rats blancs par les rats noirs, cette espèce de génocide. Mais il y a tant d'autres guerres animales, tant de massacres, d'esclavagisme, de viols et de meurtres. Seuls les humains luttent contre cet état de fait et ceux, parmi les humlains, qui sont encore proche de la nature, éloignés de la culture, se comportent comme des bêtes et guerroient, torturent, tuent. Ils constituent une catégorie particulière d'écologistes!

Oiseaux.

Dans une forêt, un jungle, les oiseaux ont arrêté de chanter. Un groups d'homm armés se balaed par là. Des résistants? Des guerilleros? Ces derniers se terrent et attendent. Ouf, les oiseaux se remettent à chanter, s'habituant à leur présence. Il n'y a qu'à attendre... Et voici que les oiseaux arrêtent à nouveau de chanter. On est prêt: ça veut dire que l'ennemi approche et que l'embuscade va sas doute réussir... Sauf qu'il hésite, l'ennemi... Il a noté l'arrêt du chant des oiseaux... Il sait ce que ça signifie...Trop tard: on tire, on massacre, on tue et on les finit à l'arme blanche, succédannés des becs et griffes, des dents et corrnes des bêtes...

Déshumanisation.

La guerre offre la plus profonde communion avec la nature qu'on puisse rêver: on y vit comme une bête, avec la trouille au ventre, la méfiance, la menace continuelle d'un prédateur qui peut venir de n'importe où. On apprend la haine, la cruauté, la déshumanisation.On prie  beaucoup: c'est l'intellectualisation de la trouille sur un mode émotif...

Connaître.

Car pour être pacifiste, il serait bon d'envisager la guerre, de la connaître, du moins d'une façon culturelle, de la comprendre. Non pas de la, rejeter avec dégoût sans se demander pourquoi elle demeure un besoin. En quoi elle est de nature. Et aussi comment elle peut devenir expérience intérieure. Car elle a sa spiritualité. Forcément: elel rapproche de la merde, de la pisse,du vomi, de la sueur fétide venue de la panique, de la terreur... Elle fait vivre en symbiose avec la mort, la décompositon des cadavres, les épidémies... Ces saloperies sont un mysticisme du corps et la putréfaction correspond au mysticisme, à la religion comme le fumier à la rose.

Efficace.

Cette spiritualité a ses chantres.Les Nazis, bien sûr, si voisin et en rapport avec l'esprit immonde du zen... Sun Tzu, si l'on veut.L'admirable Clausewitz, certes...Mais aussi Ernst Junger, plus profond, plus vrai. Qui en fut pas nazi. Certes, il n'était pas gauchiste.Mais La guerre comme expérience intérieure est un livre à lire (avec Clausewitz) avant de se dire pacifiste et surtout écolo. Etre soi-même commence par penser l'autre au lieu de bêtement se dépersonnaliser en suivant les idéologies à la mode sans réfléchir! Qui se dit de gazuche sans jmais lire la presse de droite est un jeanfoutre: il ne connaît pas l'ennemi, il ne sait pas ce qu'il combat, ça nuit à son efficacité, il part perdant! Et d'ailleurs, il a perdu! Un médecin qui ignorerait tout des maladies aurait du mal à être efficace. Bien sûr, il peut se faire naturopathe, comme ça, on s'en fout... Moins on comprend, plus on pérore! Mais on peut être plus digne et vouloir savoir ce qu'on combat! Etre efficace!

Communion.

En dehors de Junger, il y a un livre qui nos renseigne bien sur la vraie communion avec la nature. PAs la randonnée, la voile, les sports ou la pratique écolo! La guerre, la nature vraie et crue! Il s'intitule quand l'Histoire balbutie, il est de Eric-Charles Dégoute (beau nom! Pseudo?)... Ce livre montre comment la survie, la vie, c'est d'abord agir.. Et tuer si l'on peut! Il donne des témoignages, des journaux intimes, des récits de guerre au quotidien de toutes les époques, de l'ancienne Grèce à avant-hier. Il parle se Spartacus et de Napoléon, raconte une embuscade par Guvara, il évoque la résistance espagnole contre les impériaux, la guerilla vietnamienne... Et l'on voit comment la nature n'est pas seulement "envrinnement" comme osent dire les écolos... Quel mot répugnant! Et faux!

Naturelle.

Ca vous défrise? Normal si vous êtes écolo: c'est du réel... Pas du bidon planplan. c'est de l'être et de la mort.et ça peut aussi aider à se comprendre so-même et à refuser la guerre, à la combatte non pas en planplan connardisant à la sauce gentillette à la mode écolo, mais en adulte, en humain fort et énergique car refusatn la soumission à la nture tut en sachant l'éprouve la vivre! Le tout menant à se méfier des écolos comme de la peste, cette horreur naturelle! Trop naturelle. Ayons au passage une pensée émue pour cet habile commerçant qui stocka des voiles de veuve en juillet 1914! Tout bénef, la guerre. Comment voulez-vous qu'Obama l'arrête?

Résistance!