Voici enfin la suite du premier billet consacré au RSS. L’image illustrant le principe du RSS mérite une explication sommaire, même si elle peut paraître évidente pour nous, développeurs et professionnels du web.
Le RSS renverse le principe de la newsletter
Pour une newsletter, les internautes/prospects/clients doivent communiquer leur adresse email afin d’être contacté ultérieurement par l’intermédiaire d’un email envoyé à la base d’inscrits. Le contenu du message est alors généralement informatif des nouveaux produits, de l’actualité et prochaines manifestations de l’entreprise…
L’inconvénient fondamental de la newsletter réside dans la gestion de la base d’adresses. Collecte, suivi, mise à jour, non délivrabilité, etc. constituent des éléments problématiques. D’un point de vue pratique, la newsletter est aussi plus lourde à gérer, puisqu’elle implique une démarche de collecte des informations à communiquer aux contacts puis la concaténation des adresses et enfin l’envoi de l’information.
Avec le RSS, adieu cette procédure rigide !
A l’inverse de la newsletter, vous n’envoyez plus rien. Les internautes/prospects/clients s’abonnent à votre flux d’informations. Dénommé « RSS », « Syndication » ou, le plus souvent, symbolisé par le logo qui suit :
Source : iStokPhoto
le RSS suppose une démarche d’affiliation de la part du destinaire. En cela, peu de différence avec la newsletter, qui implique la communication d’une adresse email.
La facilité du RSS réside dans la notification directe des mises à jour aux abonnés et dans la portabilité du flux d’informations, que vous pourrez « repiquer » sur les réseaux sociaux, sur vos profils, etc.
Jeu de briques
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Pacman
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