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VRM ou l’inversion de contrôle

Publié le 20 avril 2010 par Kflieger

Un des constats qui a amené à définir le framework de l’Assembled Web est celui de l’inversion progressive du contrôle de l’information du fournisseur vers le consommateur. Avec l’ eCommerce social, le contrôle du contenu est réparti entre fournisseur (description de l’article) et consommateur (commentaire, évaluation). Sur les réseaux sociaux, l’utilisateur contrôle le contenu affiché, parfois initié par une entité commerciale (concept viral). Cette inversion s’applique également dans les domaines réputés plus traditionnels de l’informatique: du CRM (Customer Relationship Management, on passe au VRM (Vendor Relationship management). Le VRM fournit aux consommateurs les outils pour trouver les produits et services les plus adaptés à leurs attentes en se basant sur les offres des fournisseurs. Certains voient arriver avec cela la fin des courriers indésirables et des détestables appels téléphoniques marketing pendant les heures de repas. Mais c’est aussi et d’abord pour les entreprises une formidable opportunité d’être perçu en fournisseur de service plutôt qu’en polluposteur et de promouvoir ses produits vers des gens à priori intéressés par ceux-ci. Certes, les standards qui supporteront le VRM sont encore à définir, mais c’est aujourd’hui que les entreprises doivent préparer leurs systèmes d’information à supporter ces concepts, afin ne ne pas manquer la fenêtre d’opportunité. Une entreprise proposant déjà l’accès à des informations ou à des services sous forme de services webs disponibles sur internet est prête pour ce virage. L’êtes-vous?

Plus d’infos sur le VRM sur le site de Harvard: http://projectvrm.org.



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