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Pub et désintox !

Publié le 03 décembre 2007 par Chantal Doumont

Pub et désintox !

À lire tous les sites racontant les désintox des stars de Hollywood, on pourrait presque dire que c’est devenu une grosse mode. Une façon d’obtenir le maximum de publicité sans avoir à débourser un sou. On fait une cure pour ressusciter une carrière sur le déclin. Comme l’a fait Liza Minelli il y a quelques années. Elle crevait de faim à sa résidence de Boca Raton en Floride. Il aura fallu quelques cures pour booster sa carrière et trouver un semblant de mari qui abusera d’elle durant des mois avant que, comme la Belle au Bois Dormant, elle se réveille et le mette dehors. 

La cure de déxintox, c’est ce qu’il y a de mieux. Ça fait jaser tout le monde, ça fait vendre des journaux, ça attire la pitié ou encore ça fait sourire. Au lieu de se trouver une bonne cause à défendre, les stars prennent un coup pour ensuite entrer en déxintox et profiter de la publicité, bonne ou mauvaise que la cure apporte. 

Avant les Amy Winehouse, Lindsay Lohan, Courtney Love, Britney Spears, Anna-Nicole Smith, Pete Doherty, Robin William, Mel Gibson, Robert Downey Jr., Miss USA Tara Conner, Charlie Sheen, Keith Urban, Ozzie Osbourne, Nick Nolte, Kate Moss, Winona Ryder, Andy Dick, Matthew Perry, David Hasselhoff, Ben Affleck, Mickey Rourke, les frères Baldwin, Naomi Campbell, il y en avait eu bien d’autres. Mais, comme à l’époque, Internet n’existait à peu près pas, on n’en parlait jamais. Pourtant, personne n’a oublié que la belle Elizabeth Taylor a trouvé son énième mari au Centre Betty Ford, que Jamie Lee Curtis y a séjourné longtemps avec son père Tony Curtis et que le Centre Betty Ford est justement l’œuvre de la First Lady américaine Betty Ford, épouse de Gerald Ford. On n’a pas oublié non plus que Drew Barrymore était en désintox à l’âge de 13 ans. 

Nommer toutes les personnalités de Hollywood qui ont suivi une cure serait un travail fastidieux. On ne les compte même plus tellement ils sont nombreux.

planete.qc.ca


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