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Si c’est pas IAB, ce n’est pas kasher

Publié le 05 décembre 2007 par Yannick Manuri

Il y a quelques jours, j’écrivais le billet La majorité des annonceurs et éditeurs ne suivraient pas les standards IAB. Pour vous faire une histoire courte, ce billet racontait que très peu d’annonceurs et d’éditeurs suivaient les standards IAB (Interactive Advertising Bureau). La grande majorité osaient aller plus loin que ce standard minimum. Merci d’ailleurs pour la contribution de Martin Ouellette, Claude Marchand et Francois Haguel pour avoir alimenté le débat.

Quoiqu’il en soit, je me retrouvais en mandat client cette semaine et je faisais le tour des éditeurs afin de leur faire approuver un format hors norme IAB. L’ouverture des éditeurs était assez bonne, sauf pour un site. Les dirigeants du site en question étaient catégoriques: si ce n’est pas IAB, ce n’est pas kasher, on en veut pas.

Je n’en ai rien contre la décision de l’éditeur, cependant je réalise de plus en plus que plusieurs éditeurs et annonceurs ont une conception différente et erronée de l’objectif du IAB avec la création des standards CUAP.

L’objectif visé par le IAB n’est pas de limiter les annonceurs, mais de simplifier la production et l’insertion de la publicité sur les sites Web canadiens en créant des dimensions uniformes pour chaque catégorie et d’éliminer les freins à la création publicitaire interactive. Pour les formats hors norme, c’est à la discrétion de l’éditeur.

Question espresso
Est-ce que le IAB devrait réitérer sa position et son rôle auprès des annonceurs et éditeurs quant à la création des standards IAB ?


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