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De la Maiko à la Geisha de Kyoto

Publié le 25 juin 2010 par Tazar

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Lors de ses études, la maiko (jeune apprentie geisha) accompagne ses aînées dans les maisons de thé, les réceptions et les banquets ce qui lui permet d’apprendre le métier sur le tas sans débourser un rond.

Puis, elle devient une geisha, une dame raffinée  d’excellente compagnie réservée à une clientèle très aisée qui a bien de la chance.

La geisha est passée maîtresse dans l’art de servir le thé sans ébouillanter le monsieur et est capable de résoudre une grille de sudoku force 4 en moins de 5 minutes. Elle danse le bugaku (danse traditionnelle du genre théâtrale) mieux que Shakira le foxtrot andalous et sans jamais mettre en péril sa coiffure aussi raffinée que remontée. De manière plus générale, elle excelle dans les arts traditionnels japonais ce qui peut se révéler fort utile pour impressionner Julien Leppers.

Elle porte un kimono de soie fait main dont le prix peut varier de 12 000 à 23 000 €, ce qui permet de la distinguer sans peine d’un sumotori de 280 kg, et n’hésite pas à s’enduire le visage de maquillage blanc, en signe de distinction.

Femme de goût, elle ne sort que très rarement avec les footballeurs de l’équipe de France.
A suivre...

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