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L’ecologie radicale serait-elle dangereuse?

Par Citoyenhmida

Un de mes beaufrère préféré, citadin impénitent, n’aimant ni la forêt, ni la mer, ni les animaux, me dit souvent que les terroristes les plus dangeureux se recrutent chez les écologistes radicaux!

Je souriais à ses affirmations, que je trouvais aussi radicales que les convictions de ces écologistes militants, pour la naïve conviction j’avais, je l’avoue, une certaine admiration!

Essayer d’arrêter un cargo chargé de déchets radioactifs avec trois zodiacs relève du courage autant de que l’insconcience!

Tenter de s’interposer à l’avancée d’un convoi ferroviaire en route vers une usine de pesticides est une action qui n’est pas à la portée du premier militant venu!

 Défendre les crapauds qui font crowaa-crowaaa ou les petis oiseuax qui font cui-cui au risque de sa liberté individuelle ou de sa sécurité physique, peut sembler puérile mais relève d’une certaine témérité intellectuelle qui manque manifestement à beaucoup de militants politiques.

Pourtant, depuis que j’ai lu LE PARFUM D’ADAM, publié par Jean-Christophe RUFFIN, chez Flamarion en 2007, mon regard sur les militants écologistes, activistes manipulateurs et surtout manipulés, a changé.

L’ECOLOGIE RADICALE SERAIT-ELLE DANGEREUSE?

L’auteur, ancien membre actif d’O.N.G.qui a battu le terrain à travaers le monde, nous a déjà entrainé dans des histoires assez fantastiques dans ses romans précédents, comme LA SALAMANDRE, ROUGE BRESIL ou GLOBALIA.

 Avec cet opus, il nous fait découvrir le monde de l’écologie radicale consitutant selon le FBI la deuxième source de terrorisme mondial. Et cela fait fropid dans le dos! En neffety, les radicaux de quelbord qu’ils soient se ressemblent!

Je ne peux résister à l’envie de vous faire lire un passage de ce livre, pour situer en l’ambiance :

“La majorité des personnes qui se préoccupent des bêtes sont des militants à l’ancienne. Ils se battent pacifiquement pour améliorer le sort des animaux.Mais vous savez comme moi que le terrorisme n’est pas une question de nombre. Sa violence est souvent en proportion inverse de sa représentativité. Le noyau d’activiste du FLA (Front de libération des animaux) est réduit mais extrêment dangereux.”

Ou celui encore plus édifiant :

“Pendnant la guerre du Kosovo, vous vous souvenez que près d’un million de personnes s’étaient refugiées en Albanie pour fuir les bombardements de l’Otan? Eh bien, des militants du FLA sont entrès clandestinement dans les zones désertées pour aller s’occuper du bétail abondionné dans les fers.

- Sous es bombardements?

- Parfaitement. Ils n’ont pas hésité à risquer leur peau pour sauver cette des vaches!……Quand on a si peu de cas de sa vie, on n’a pas plus d’égard pour celle des autres.”

Bien sûr ce n’est qu’une fiction, qu’un roman, mais les questions posées par Jean-Christophe RUFFIN sont bien réelles et les réposnes qu’il donne, aussi romaneques soient-elles, ne peuvent nous laissr indifférents.

Que cela ne vous fache pas pour autan avec la nature, les animaux et leurs défenseurs!

Profitez de vos vacances et lisez ce roman! Autant bronzer en vous divertissant!


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