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Rétro: Die Hard Trilogy

Publié le 11 septembre 2010 par Poisseman @Poisseman
Rétro: Die Hard Trilogy
Rétro: Die Hard TrilogyIncarner John McClane, un rêve devenu réalité en 1996 avec le jeu Die Hard Trilogy sur Playstation et Saturn. Et pas qu'une fois en plus, mais trois fois avec en l'occurrence plusieurs jeux différents se basant sur la trilogie sortie alors: de l'action-infiltration, du shoot them up, et de la bagnole. La classe!
Piège de Cristal. En vue à la troisième personne, vous devez parcourir Nakatomi Plazza (la tour du film) depuis le parking au sous-sol jusqu'au toit, en passant par les bureaux et autres salons du building. Etages après étages, vous éliminez les bandits présents en zone - action et furtivité sont vos armes - en utilisant divers objets éparpillés dans le décor. Très long, ce périple de fou furieux est pour moi le meilleur des trois jeux.
Rétro: Die Hard Trilogy
58 Minutes pour Vivre. Jeu au pistolet à la Time Crisis ou autre Virtua Cop, vous parcourez l'aéroport de Washington et ses alentours en dégommant chaque ennemi présent à l'écran. Très classique mais aussi très réussi dans sa mise en scène, ce jeu souffre malheureusement d'une durée de vie bien courte. Jouable au Guncon pour les possesseurs de l'accessoire (et à la manette pour les autres).
Rétro: Die Hard Trilogy
Une Journée en Enfer. Ici, tout se joue depuis les véhicules, et vous conduisez de manière effrénée dans tout New-York City. Votre ennemi est le temps, dont les chronos ultra chauds vous font recommencer encore et encore les missions. Très pixelisé mais tout de même sympa techniquement, ce dernier jeu à la maniabilité au poil et doté d'une difficulté terrifiante est néanmoins aussi réussi que les deux autres.
Rétro: Die Hard Trilogy
Aujourd'hui pas très beau, Die Hard Trilogy a été lors de sa sortie une excellent surprise pour un jeu à licence. Trois aventures différentes, autant de gameplay variés et peaufinés à chaque fois, les amateurs de tous genres y trouvaient leur compte durant de nombreuses heures. Pour moi, un formidable souvenir d'une autre époque qui connu une suite aussi pitoyable que celui-ci était bon. Un classique à garder en mémoire.

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