Magazine Cinéma

Seventh Moon

Publié le 11 septembre 2010 par Olivier Walmacq

seventh_moon

genre: horreur (interdit aux - 12 ans)
année: 2009
durée: 1h30

l'histoire: Deux américains en lune de miel se retrouvent confrontés à des morts-vivants lors de la septième pleine Lune, période de la fête des morts en Chine.

la critique de Eelsoliver:

Le nom d'Eduardo Sanchez ne doit pas vous évoquer grand chose. Pourtant, ce dernier faisait partie du duo de réalisateurs qui avait signé un certain Projet Blair Witch.
Depuis ce film d'épouvante, Eduardo a réalisé d'autres films d'horreur, mais toujours dans l'ombre, comme si le succès du Projet Blair Witch l'avait complètement dépassé.

Eduardo Sanchez revient donc avec une série B horrifique, Seventh Moon, très inspiré par un certain The Descent, même si l'action ne se déroule pas du tout dans des grottes paumées.
Le synopsis est classique. Attention, SPOILERS ! Deux américains vont passer leur lune de miel en Chine. Sur la route, ils se perdent dans un endroit isolé et qui semble clôturé par de nombreux champs sans fin.

Ils sont alors attaqués par des créatures cannibales. Seul moyen de s'en sortir: trouver un abri et le plus rapidement possible. Mais même une fois enfermés à double tour dans une maison, ils ne sont pas tranquilles. Les créatures ont faim, très faim et il leur faut quelque chose à manger.
Le couple tentera alors de trouver un animal pour essayer de disperser les monstres qui semblent apparaître tous les soirs de la pleine Lune.

Conscients qu'ils n'ont presque aucune chance de s'en sortir, le couple décidera de prendre la fuite et sera évidemment poursuivi par les créatures qui ne font aucun détail.
Le mari se sacrifiera pour sauver sa toute nouvelle épouse. Seventh Moon délivre donc largement la marchandise sans jamais surprendre non plus.
Comme je l'ai déjà souligné, le long-métrage d'Eduardo Sanchez fait vraiment penser à The Descent. D'autant plus que les créatures ressemblent également à des goules.
Ensuite, l'action n'est pas toujours visible, la faute revient à la réalisation qui veut rendre les séquences de carnage les plus réalistes possibles.
Mais dans l'ensemble, ça reste vraiment efficace, à défaut d'être réellement surprenant.

Note: 13/20


Retour à La Une de Logo Paperblog

A propos de l’auteur


Olivier Walmacq 11545 partages Voir son blog

l'auteur n'a pas encore renseigné son compte l'auteur n'a pas encore renseigné son compte

Dossiers Paperblog

Magazines