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Virginie Despentes - Apocalypse Bébé

Par Clarac
Virginie Despentes - Apocalypse BébéEditeur : GRASSET- Date de parution : 18/08/2010 - 343 pages
Présentation de d'éditeur:
Valentine Galtan, adolescente énigmatique et difficile, a disparu. La narratrice, Lucie, anti-héroïne trentenaire, détective privée sans conviction ni talent engagée par la grand-mère de Valentine pour surveiller ses faits et gestes, l’a perdue sur un quai de métro parisien. Comment la retrouver ? Que faire des édifiantes photos de Valentine qui la montrent si expérimentée avec les garçons ? Aurait-elle rejoint sa mère, qu’elle n’a jamais connue, à Barcelone ? Le mieux pour Lucie serait de faire équipe avec la Hyène, une « privée » aux méthodes radicales, une femme puissante, au corps souple, plein d’une violence qui s’exprime par saccades : moyennant finances, et aussi par amusement, La Hyène accepte le marché. Voici les collègues mal appariées, l’une lesbienne volcanique, l’autre hétéro à basse fréquence, qui traversent la France et l’Espagne jusqu’à Barcelone à la recherche d’une petite fugueuse, une gosse mal grandie, une fille de la bourgeoisie qui finira – on ne vous en dit pas plus – par rejoindre le camp des irréductibles....
Et oui, encore un billet sur ce livre, je sais… PriceMinister m’ayant proposé de lire soit Michel Houellebecq soit Virginie Despentes, j’avais opté pour faire connaissance avec cette auteure. J’avais commencé ce livre et bout d’un trentaine de pages, je l’avais refermé pour deux raisons : l’histoire à laquelle je n’arrivais pas vraiment à accrocher mais surtout à cause du langage de Virginie Despentes. Vu toutes les critiques élogieuses, je l’ai ré-ouvert et je l’ai fini. Alors, non ce n’est pas un coup de cœur, et non, je n’ai pas aimé ce livre. J’ai trouvé l’écriture de l’auteure trash et provocante. Toutes les deux ou trois pages, les mots sont crus surtout de la part de la Hyène qui elle joue aussi sur carte de la provocation. A part le personnage du père de Valentine dont j’ai trouvé les descriptions assez crédibles, les autres m’ont semblé tendre vers la caricature. Et pour ce qui est de l’histoire, malheureusement, je n’y ai pas été sensible. Merci cependant à PriceMinister.Antoine lui aussi n’a pas aimé ( on est au moins deux…).

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