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L'armement scalaire soviétique (1 )

Publié le 16 janvier 2011 par Feydharkonnen

Les Armes Electromagnétiques Scalaires Soviétiques

Nous publions cet article intéressant, dont nous citons la source ci-dessous, parce que les bons articles ont la fâcheuse tendance à disparaïtre du WorldWide Web.

La destruction du sous-marin USS Tresher est livrée ci-dessous à une nouvelle interprétation.

Au lecteur d'en décider

Source et version originale en anglais introuvable actuellement.

Traduction française: José Frendelvel  

Source française AMESSI: clicquez ici

Ce dossier présente les concepts de bases des armes électromagnétiques scalaires soviétiques, parmi les principaux types disponibles, ainsi que les preuves et les indices de leur utilisation largement répandue.

L’Electromagnétisme scalaire, c’est l’Electrogravitation

L’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C’est une électrogravitation unifiée, et, ce qui est plus important, c’est une théorie unifiée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla.


Dans l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie de champ gravitationnel et vice et versa. Cette transformation peut être structurée et localisée, dans des zones ou objets spécifiques. Un tel passage contrôlé de l’électromagnétisme à la gravitation n’est pas possible dans l’EM normal ou la physique actuellement enseignée dans les manuels occidentaux.

Cependant des fragments et morceaux de cette théorie ont été éparpillés à travers la littérature de physique depuis quelques temps, mais aucun scientifique orthodoxe de l’Ouest ne semble avoir réalisé que ces portions anormales pouvaient être intégrées en une nouvelle physique étonnante. Des expérimentateurs non-orthodoxes, des inventeurs, et des scientifiques ont réalisés des découvertes dans cette arène depuis plusieurs décades, mais de nouveau personne n’a réalisé les implications exactes ou la manière précise dans laquelle leurs résultats pouvaient être combinés avec la physique électrique actuelle.

Fer-De-Lance

Une telle léthargie n’est certainement pas présente en Union Soviétique. Depuis au moins trois décennies, l’Union Soviétique a développé l’électrogravitation et l’a appliquée pour développer d’étranges nouvelles armes secrètes d’une capacité et d’une puissance incroyable. Ils ont poursuivi le plus grand programme de développement d’armes jamais lancé par aucune nation et, de manière efficace, ils l’ont tenu caché des yeux occidentaux indiscrets. J’ai appelé ce programme "Fer-De-Lance", d’après le serpent mortel d’Amérique du Sud du même nom.

Le redouté fer-de-lance est un serpent d’une grande agilité dont l’effet de la morsure est létale. Il dresse souvent une embuscade à sa proie infortunée, et frappe à l’improviste sans prévenir. Sa première frappe soudaine est habituellement mortelle à sa victime qui expire rapidement en se tordant de convulsions dans son agonie. Puisque le développement soviétique d’armes scalaires électromagnétiques a été prévu pour le même but, le nom semble approprié.

Un effort équivalent à environ sept projets Manhattan a été placé dans Fer-De-Lance par les soviétiques, et le programme a réussi presque au-delà de l’imagination. Les sinistres armes sont maintenant développées, déployées, et testées. L’embûche est complète ; Fer-De-Lance est enroulé et prêt à frapper.

Les armes "énergétiques" et "à énergie dirigée (DEWs)"

Le nom soviétique ordinaire pour ce type de science de l’armement est, "énergétiques". A l’Ouest ce terme est habituellement associé aux armes à énergie dirigée conventionnelle (DEW) [Directed Energy Weapons] comme les armes à faisceaux de particules, lasers, systèmes d’énergie dirigée en radio-fréquences (RF), etc. Les Soviétiques ne limitent pas le terme de cette façon.

Les scientifiques occidentaux se sont uniquement familiarisés avec les armes à énergie dirigée où, des fragments, des masses, des photons, ou des particules, parcourent l’espace et entrent en contact avec la cible pour délivrer leurs effets. A partir de là, dans leur pensée, ils limitent le terme soviétique "énergétiques" aux types d’armes qu’eux mêmes comprennent — armes exotiques mais normales c’est-à-dire utilisant une énergie ou une masse traversant l’espace et allant impacter une cible.

Cependant il est possible de focaliser un potentiel afin que les effets d’une arme aillent au travers de l’espace-temps lui-même, de manière que masses et énergies "ne parcourent pas l’espace" entre l’émetteur et la cible. Au lieu de cela, les ondulations et les structures dans la fabrique de l’espace-temps lui-même sont manipulées pour se rencontrer et interférer à, et dans, l’espace temps local depuis une quelconque distance de la cible. Là, l’interférence de ces structures ondulatoires crée l’effet énergétique désiré (d’où le terme "énergétiques") dans et à travers la cible elle-même, émergeant de l’espace-temps (du vide) dans lequel la cible est incorporée dans le lieu où elle se trouve à distance. "Énergétiques", comme les soviétiques l’utilise, se réfère à ces sinistres nouvelles armes, ainsi qu’aux plus banales DEW connues à l’ouest.

En conséquence de la découverte soviétique et de décennies de développement fébrile, des armes stratégiques monstrueuses insoupçonnées à l’ouest sont déjà dans les mains des Soviétiques. Un nœud coulant est lentement et fermement resserré sur nos gorges, et il est déjà la onzième heure.

Les Soviétiques ont planifié une supercherie.

Parallèlement à ce programme de développement super-secret, les Soviétiques ont développé et mis en oeuvre un plan de mystification pour dissimuler ces armes étonnantes, ainsi que leur nature, des regards occidentaux jusqu’à ce qu’il soit trop tard. La mystification soviétique a si bien réussie que même lorsque les scientifiques occidentaux sont confrontés avec les tests réels de ces armes directement au dessus de leurs têtes, ils n’identifient pas l’arme de guerre ni la nature des effets produits.

Dès le début de janvier 1960, Nikita Khrouchtchev a annoncé le développement en Union Soviétique d’une nouvelle arme fantastique.

Le 10 avril 1963 l’une des premières nouvelles superarmes déployées opérationnellement a été utilisée pour détruire le sous-marin atomique U.S.S. Thresher en plongée, au large de la côte est des États-Unis. Le jour suivant, le 11 avril 1963, la même superarme déployée a été utilisée dans un mode différent pour produire une explosion sous-marine géante dans l’océan sur la Fosse de Porto Rico à 160 kilomètres au nord de Porto Rico.

Au fil des années, différents avions ont subi des interférences ou ont été descendus par les essais de ces armes soviétiques. Un cas particulier concernait la perte mystérieuse de plusieurs F-111 dans le conflit du Vietnam. Au moins un équipage de F-111 descendu a été récupéré dans les échanges de prisonniers de guerre qui ont suivi. Sur cet avion tous les systèmes électriques se sont trouvés en difficulté simultanément. Cela était probablement dû aux équipes soviétiques spéciales convertissant des systèmes radars de missile nord-vietnamien SA-2 au mode EM scalaire, et employant une interférence de "faisceau scalaire" pour produire des bruits EM parasites dans les systèmes électriques et électroniques de l’avion.

En fin avril/début mai 1985, l’armada entière des superarmes EM scalaires stratégiques soviétiques a été activée lors d’une célébration spéciale du 40ième anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale. L’activation de cette armada (qui comprenait probablement plus de 100 armes géantes), couplée à 27 générateurs géants et un grand nombre de commandes et de contrôles de transmissions, ont été surveillés sur un système de détection avancée appartenant à Frank Golden. Après le gigantesque exercice stratégique, qui a duré plusieurs jours, la plupart des armes et des sources d’énergie ont été désactivées pour se tenir prête à l’action.

Les lancements de la navette de la NASA ont fourni une opportunité de choix pour les tests soviétiques de ces superarmes en mode ABM dans la phase de lancement, là où un missile lancé peut être détecté et détruit peu de temps après le décollage [NDT : ABM pour anti-missile balistique]. Au début, les explosions de la pulsation électromagnétique (EMP) sur la trajectoire que la navette venait d’emprunter, ont été délibérément décalées dans le temps, pour empêcher en fait la destruction de la cible et éviter d’alerter les U.S.A. que quelque chose d’inhabituel était en train de se passer.

Le tir de navette du 26 novembre 1985 a vu un test particulièrement significatif dans ce domaine. Dans ce cas, une très forte explosion ou "boum sonique" a eu lieu sur le site de lancement 12 minutes après le décollage de la navette, tandis que la navette était déjà au loin sur sa trajectoire prévue. Au moins deux lancements précédents de la navette avaient été utilisés comme pseudo-cibles, avec sur le pas de tir des boums décalés dans le temps qui retentissaient bien en arrière des véhicules.

Après que l’absence de réaction américaine à ces tests ait montré que les U.S.A. n’avaient encore aucune connaissances de cette nouvelle technologie et n’identifiaient même pas son emploi, les soviétiques ont apparemment décidés d’effectuer des tests où la cible serait réellement détruite.

Le 12 décembre 1985 la même arme soviétique testée contre les lancements de la navette de la NASA a délibérément interféré avec les contrôles d’un DC-8 Arrow décollant de la base Gander Air Force à Newfoundland. A une altitude de 30 mètres, l’avion transportant plus de 250 soldats américains et les membres de l’équipage civil, a perdu sa puissance et s’est écrasé au sol, tuant tout le monde à bord. Trois Canadiens témoins du crash ont été interviewés aux informations télévisées de la Canadian Broadcast Corporation le 8 avril 1986 à 22 heures. Aucune flamme ou fumée n’est sortie de l’avion avant sa chute et son crash. Cependant l’avion a été vu mystérieusement illuminé d’une lueur jaune. Cela est la signature d’un obusier scalaire dans le mode "émergence EM continue", similaire à la manière dans laquelle les F-111 ont été descendus au Vietnam. En résumé, les systèmes électriques du DC-8 ont subi une interférence avec un bruit électromagnétique créé à travers l’espace-temps occupé par l’avion. La charge puissante créée dans et autour de l’avion a aussi causé apparemment la perte des deux moteurs, l’un après l’autre. Avec ses contrôles inopérants et sa puissance considérablement réduite, l’avion est retombé au sol, encore dans sa configuration de décollage "nez en l’air, queue en bas", et s’est crashé et a brûlé. La "lueur jaune" était un halo électrique dû à l’acquisition d’une haute charge électrique par la paroi de l’appareil.

D’autres facteurs ont pu contribuer au crash en perturbant le décollage, la faiblesse de la maintenance des moteurs, le poids accru de l’avion dû à la glace et à la forte charge. Jusqu’à présent personne n’a identifié la "lueur jaune" ou ce qu’elle implique, ou la possible connexion entre la perte de l’avion et le test soviétique précédent d’un système ABM en Phase de Lancement contre les tirs de navette américaines...

En septembre 1987, les deux derniers missiles Titan 34-D de l’Air Force mis à feux à la base de Vandenburg Air Force en Californie se sont désintégrés peu après le lancement. Le premier s’est désintégré le 28 août 1985 juste après le décollage. Cette perte a été attribuée a une panne d’une pompe de carburant haute puissance, provoquant une fuite massive de comburant et une fuite moindre de carburant. La seconde perte de Titan a eu lieu le 18 avril 1986 quand le missile s’est désintégré 5 secondes après le décollage. Son échec est encore sous investigation et aucune cause n’a été déterminée. Apparemment la navette et le Titan sont actuellement les seuls lanceurs viables pour le lancement des satellites américains "spy". La perte de ces satellites sensitifs — si vraiment ils constituaient les charges utiles — n’aide pas mais peut être dommageable à notre capacité stratégique. Selon le Los Angeles Times (en 1986) l’unique rescapé, le satellite KH-11 a été lancé en décembre 1984 et, avec une espérance de vie de deux à trois ans, pourrait arrêter de fonctionner à la fin de cette année.

Pour le moment nous ne savons pas s’il a existé ou non une activité significative de la grille/réseau "Pivert" dans le voisinage du lancement du Titan en août 1985. Cependant, une activité significative a eu lieu manifestement dans le réseau avant le désastre du Titan du 18 avril et le jour même.

Le dimanche de Pâques 30 mars 1986, l’ingénieur Ron Cole a observé une interférence significative qui corrélait avec les mesures du Pivert soviétique. Le 18 avril, T.E. Bearden, peut-être le chef de recherche SEM aujourd’hui, a observé des traces d’un nuage radial sur Huntsville en Alabama et en a pris des photographies. Des rapports préliminaires de Thousand Oaks en Californie indique à nouveau une activité importante du réseau le 18 avril, le jour où le second Titan a explosé.

La seconde au moins de ces deux destructions de missiles peu après le décollage est suspicieuse, puisque le réseau était positivement actif à ce moment là. Il y a également une preuve claire de l’existence de systèmes ABM en Phase de Lancement, depuis le grand exercice scalaire d’avril/mai 1985. Donc la première explosion de Titan en août 1985 tombe dans la période soviétique "maintenant testons les contre les lanceurs américains". La perte du second Titan suit les pertes hautement suspicieuses du DC-8 Arrow du 12 décembre et de Challenger du 28 janvier 1986. La même arme soviétique qui a détruit ces cibles peut aussi avoir détruit l’un ou les deux Titans incriminés.

Les Soviétiques furent capables également de manipuler significativement le climat sur l’Amérique du Nord depuis plus de dix ans sans être découvert. Ils ont testé une gamme fantastique d’armes de défense anti-missiles balistiques (ABM) depuis plus de deux décennies, et personne n’est plus avisé dans l’Ouest.

Comme cela a été dit précédemment, avant la fin novembre 1985, au moins trois essais "tirs à blanc" soviétique d’un "système ABM en phase de lancement" contre les lancements réels de la navette américaine avaient été effectués directement sur Cap Canaveral lui-même et personne encore n’avait identifié ce qui se passait ou quelle sorte d’arme était en train d’être testée. Le 12 décembre, la destruction du DC-8 Arrow à Newfoundland n’à apporter aucun indice que les américains et les canadiens savaient quelque chose sur la nature de l’arme probablement employée.

Par conséquent, après un temps d’attente suffisant pour tester nos réactions (s’il y en avait), les soviétiques se sont préparés à détruire réellement une navette après son lancement...

Destruction de Challenger, Janvier 1986

Comme le monde entier le sait, la navette Challenger a été lancé de Cap Canaveral en Floride après exposition à des conditions climatiques défavorables, et a explosée désastreusement peu après le décollage. L’évidence semble indiquer que, alors que le véhicule était en train de s’élever en condition difficile, une extrémité de son booster droit s’est brisée, a été projetée contre le réservoir principal provoquant sa rupture, une fuite importante de carburant, et une explosion catastrophique. Plusieurs autres anomalies existe encore cependant, et il est clair qu’un problème a existé avec au moins un des joints de booster. Les sept astronautes à bord du vol ont tous été tués dans la destruction violente du véhicule.

Bien sûr personne n’avait pris conscience que les Soviétiques avaient déjà testé un système anti-missile balistique en phase de lancement (LPABM) contre trois de nos précédents lancements de navettes. Ces "tirs à blanc" ont utilisé délibérément un "time-offset" pour décaler l’émergence explosive de l’énergie électromagnétique dans un lieu situé sur la trajectoire de la navette qui venait de décoller. Les tirs des tests décalés ont eu pour résultats un très grand "boum" au dessus du site de lancement après que la navette soit sortie indemne de la zone, mais n’ont pas détruit les navettes elles-mêmes. Par exemple, le boum du tir décalé a eu lieu 12 minutes après le lancement au soir du 26 novembre 1985. Un faisceau traçant (grande lumière dans le ciel) a même été utilisé sur ce lancement peu après le décollage. Le faisceau traçant a été photographié. De plus une autre photographie prise d’une séquence montre un autre éclair de lumière soudain, descendant et se terminant dans une explosion de lumière. C’était probablement un test déplacé spatialement du "mode pulsé" pour la destruction de la navette. L"explosion lumineuse" a dû être détectée en Union Soviétique et repérée par rapport à sa position déplacée intentionnellement. Cependant, un autre mécanisme a été utilisé pour provoquer la destruction de la navette elle-même.

Le 1er janvier 1986 la présence d’un signal réduisant la résistance des métaux, rajouté sur les émissions EM scalaires des systèmes LPABM soviétiques, a été détectée par un Frank Golden tout surpris. Il a lui-même vérifié expérimentalement à ce moment-là, la capacité du signal détecté de réduire la résistance des métaux. Golden a également annulé localement l’action du signal EM scalaire dans un test assez concluant en établissant (1) qu’il a existé et (2) ce que c’était. Le signal avait été apparemment préparé pour être utilisé contre un lancé de navette imminent.

Juste avant le lancé de la navette en fin janvier 1986, les soviétiques avaient accompli une manipulation climatique significative sur les U.S.A. Le Jet Stream avait été sévèrement détourné vers le sud dans le milieu des Etats Unis, se détournant encore vers la droite pour traverser le "panhandle" de la Floride. De l’air froid glacé du Canada a été aspiré très bas, en Floride sur l’emplacement de Challenger sur son aire de lancement. Cette exposition au froid en deçà de ses limites testées, fut probablement un facteur additionnel qui a contribué à la faillite de Challenger. Des signatures positives de la modification du climat et de la manipulation du Jet Stream par les Soviétiques ont été observées et photographiées par plusieurs personnes, particulièrement en Alabama et en Californie...

Le 28 janvier 1986, le système d’arme EM scalaire soviétique a été soudainement localisé dans la zone de lancement. La localisation impliquait que des fréquences plus élevées étaient présentes ; celles ci sont absolument douloureuses pour les petits cerveaux tels que ceux des oiseaux, dont les hémisphères fonctionnent comme un détecteur et un interféromètre scalaire. Comme cela a été commenté par les présentateurs des informations nationales, étrangement les oiseaux ne volaient pas ce matin-là. Au lieu de cela, ils restaient au sol ou évitaient la zone, puisque le ciel au dessus de la zone leur était néfaste.

Alors que Challenger s’élevait, le signal réduisant la résistance des métaux a dû s’exprimer dans et autour des boosters peu après la mise à feu, puisque, la flamme du booster agit comme un détecteur/tuner spécial à "ion-plasma" pour le signal scalaire. L’effet de ce signal local est de "charger la masse dans le voisinage immédiat" avec le signal de résonance scalaire spécifique.

L’infortunée Challenger était vouée à l’échec. Après la mise à feu, la flamme du booster a agit comme un détecteur/amplificateur de plasma pour le signal réduisant la résistance des métaux du réseau soviétique "Pivert". Le métal dans et autour de la flamme du booster s’est lentement et progressivement affaibli en raison de l’acquisition des caractéristiques visant à réduire sa résistance. Cela a contribué à la fuite du booster à partir de l’étanchéité déjà mise à mal par le froid. De la fumée s’est échappée puis des flammes, contribuant au désastre imminent.

Des vents substantiels et des turbulences d’air au dessus du site ont accru le stress sur Challenger alors qu’il s’élevait dans cette zone. Cela aussi a contribué au désastre et a peut-être été créé délibérément par la manipulation soviétique du climat.

Comme Challenger était stressée, en fait un ou plusieurs étriers fragilisés ont cédé, libérant partiellement l’extrémité du booster droit. Une autre flamme ou lumière anormale a été observée sur le véhicule, et peut avoir représenté une petite "forme d’énergie en mode pulsée" supplémentaire produite par l’arme qui attaquait déjà Challenger. Le booster a oscillé, pivotant dans le réservoir et le fracturant. Une violente explosion a résulté du contact de la flamme avec l’épanchement du carburant liquide, détruisant le véhicule et tuant ceux qui étaient à bord...

En créant une exposition excessive de la navette au froid, en induisant une diminution de la résistance des métaux dans et autour des boosters mis à feux, et en ajoutant un "point intensivement chaud", les Soviétiques ont provoqué la fragilisation et l’autodestruction de Challenger peu après le décollage, d’une manière si subtile que les scientifiques de la NASA ne suspecteraient pas ce qui a provoqué réellement la mésaventure. Les Soviétiques avaient également reculé auparavant tous leurs chalutiers et navires qui normalement espionnent un tir de navette, pour prévenir une quelconque suggestion de présence proche ou implication soviétique dans l’accident catastrophique.

Quelques jours plus tard, des "signaux dans une gamme de haute fréquence", sporadiquement intenses, étaient encore présents sur le réseau, au moins un "hinge-point( ?)" à Birmingham en Alabama a confirmé cela. Du 1 au 4 février 1986, de nombreux oiseaux volaient par inadvertance dans la zone lorsqu’une explosion intense eut lieu, et les oiseaux sont tombés morts du ciel en nombre important....

Malheureusement, la suffisance bureaucratique des scientifiques orthodoxes d’occident a matériellement renforcé le processus de duperie soviétique. La plupart des cadres scientifiques d’occident - particulièrement dans les activités de développement des armes - ont continué à voir les Soviétiques comme des paysans ignorants, encore en train d’essayer de nettoyer la boue de leurs bottes. Ce point de vue est, bien sûr, totalement faux et injustifié.

Quelques exemples suffisent pour réfuter cette attitude. Dans les mathématiques non-linéaires, l’ingénierie et la science, les Soviétiques ont devancé leurs homologues occidentaux depuis le début. L’effet (EMP) d’impulsion électromagnétique d’une explosion nucléaire est apparu dans la littérature scientifique ordinaire soviétique avant même que les scientifiques occidentaux soient conscients que l’effet existait. Les soviétiques continuent à être en tête au niveau mondial dans la soudure explosive, l’usinage et la soudure du titane, etc. Tandis que les scientifiques soviétiques montrent peu d’inclinaison à fabriquer des bonnes machines à laver, ils produisent certainement des chefs d’œuvre de technologie — et au-delà — dans n’importe quel domaine dans lequel ils ont focalisé leurs efforts principaux. (On devance les soviétiques dans certains domaines tels que le matériel informatique, les logiciels informatiques, miniaturisation, etc.).

Une fois auparavant, une nation moderne, les Etats-Unis, avait développé secrètement une arme de grande capacité et l’a utilisée pour mettre à genoux un adversaire puissant, le Japon... Les frappes atomiques incroyables à Hiroshima, et Nagasaki, ont montré une fois pour toutes que dans l’age moderne la surprise technologique peut s’avérer désastreuse instantanément. Donc dans notre arrogance scientifique, nous avons présumé que cela ne pourrait jamais se passer pour nous, et que le scénario "arme secrète" ne sera jamais répété. Au contraire, il A EU LIEU de nouveau, quelqu’un d’autre l’a fait, et cela s’est passé pour nous.

Il est également de bon ton à l’Ouest de croire que toutes les lois de la physique sont déjà découvertes. Nous affirmons que nous les connaissons toutes. Pendant que nous étions en train de chanter orgueilleusement cette mélodie, les soviétiques étaient en train de découvrir progressivement de nouvelles lois en secret, ainsi que de nouveaux moyens de faire échouer les anciennes lois. Notre défense est stratégique, nous comptons sur nos capacités d’attaque, notre énorme arsenal nucléaire... Si cette capacité d’attaque était annihilée ou détruite par les armes secrètes soviétiques, nous serions impuissants à prévenir notre propre destruction et la domination soviétique sur le monde.

Nous nous sommes vu comme indestructible, confiant dans la force de notre défense. Donc littéralement nous avons été dépouillé de notre défense. Les armes énergétiques soviétiques sont maintenant vraiment capable de détruire notre défense, notre contrée, nos forces armées sur le champ de bataille, et notre population, rapidement et efficacement. Nous avons une nouvelle lacune de proportions monumentales : pas une lacune de missile, pas une lacune de bombardier ou de sous-marin, ni même une lacune de laser ou de rayon de particule. Nous avons une lacune "d’Electromagnétismes scalaires ou d’Electrogravitation".....

Après 1895, les physiciens ne pouvaient plus utiliser les mathématiques des déplacements physiques continus pour modéliser l’Univers. La théorie quantique exigeait ce qui était alors des changements radicaux dans les hypothèses de causalité. Les atomes émettaient, ou n’émettaient pas, des radiations non sur des bases déterminées mais selon des probabilités ; les constituants basiques de la matière et de l’énergie étaient soit des particules ayant des propriétés semblables aux ondes, soit des ondes ayant des propriétés semblables aux particules, selon comment et quand vous les mesuriez ; position et vitesse ne pouvaient pas être mesurées simultanément à un degré de précision quelconque ; l’état d’une particule est déterminé uniquement quand vous la mesurez, et cette mesure détermine aussi immédiatement l’état d’une particule reliée qui est si éloignée que l’information ne peut lui parvenir depuis la première particule. Ces difficultés ne signifient pas que la théorie quantique est imprécise ; elle est hautement précise. Mais, à la différence de la théorie de la relativité, elle n’explique pas l’Univers par la voie déterministe classique.

L’un des problèmes des physiciens pour la compréhension et l’assimilation de la théorie quantique était dû au fait que l’interprétation de toutes les mesures est complètement liée aux hypothèses théoriques concernant ces mesures. Si les hypothèses qu’on établi à propos des mesures au niveau microphysique (quantique) étaient des hypothèses classiques, les mesures n’auraient aucun sens. Eisenbud (8) disait cela.

Finalement, la théorie devient si familière que nous ne réalisons plus vraiment son importance dans l’interprétation de l’observation... Lorsque la théorie échoue, cependant, les connections familières entre ses constructions mentales et ce qui est observé sont brisées. Nous devons retourner alors aux observations pures et à leurs interrelations observées, et essayer de construire à partir d’elles de nouvelles structures théoriques adaptées.

L’Électromagnétisme scalaire c’est l’Electrogravitation

L’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C’est une électrogravitation unifiée et, ce qui est plus important, c’est une théorie unifiée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla.

Que ceux qui ont des oreilles entendent.

Voici le secret de l’antigravité.

La "charge électrique" d’une particule chargée — comme celle des particules chargées d’un atome ou celle des protons de son noyau — représente une différence d’intensité (potentiel) de flux entre la particule locale et son vide environnant. C’est l’épanchement continuel de la charge gravitationnelle ainsi que de la charge électrique. Si cet épanchement est inversé ou arrêté, il s’ensuit un effet radical sur la charge gravitationnelle. Le potentiel-5 et la charge-5 sont devenus un potentiel-4-G et une charge-4-d respectivement. Donc "charger" un objet avec sa structure EM scalaire revient à le charger gravitationnellement. Maintenant le seul "canal d’épanchement" est à travers le champ de force 4-G. De plus, dans un noyau les nucléons vont et viennent continuellement entre proton et neutron, ce qui fait que la charge électrique est "éparpillée" à travers le noyau et partagée par tous les nucléons.

On peut rajouter que chaque élément (en fait chaque isotope) a son propre et unique "pattern d’ensemble" de fréquences scalaires d’expansion de Fourier, d’amplitudes, etc. Ce pattern peut, bien sûr, être reproduit artificiellement et être émis par des émetteurs EM modifiés. Il y a, cependant, une sorte de pattern (EG) d’EM scalaire "clef maîtresse" pour les nucléons (protons et nucléons s’intervertissent en échangeant des courants de charge virtuels).

Si on inverse la charge par l’inversion de cette structure, et puis on applique cette "charge inversée à une masse", pour l’observateur externe la masse ainsi chargée devient de plus en plus légère, et son inertie de moins en moins importante. En fait cela semble (à l’observateur) acquérir une masse négative et une inertie négative, et donc subit une accélération l’éloignant de la Terre. L’objet tombe vers le haut au lieu de tomber vers le bas.

Il y a aussi des effets de temps étranges ; cette objet peut se déplacer plus lentement à travers le temps que l’observateur dans le laboratoire, ou même se déplacer en arrière dans le temps par rapport à l’observateur dans le laboratoire. Ne croyez pas tout ce qu’on vous enseigne sur la relativité ; aucune de ces personnes n’a jamais fabriqué une seule situation de relativité générale, et rien de ce qu’ils enseignent en relativité générale n’est basée sur l’expérience directe. Il a déjà été prouvé expérimentalement que ce qu’ils enseignent est erronée.

Voici le concept d’un détecteur EG scalaire pour des ondes EG scalaires. Voici le détecteur d’onde scalaire Bendini, adapté d’un concept original par Dea et Faretto.

L’idée est vraiment simple : installez une puissante barre aimantée à l’intérieur d’une cage de Faraday reliée à la terre. Ensuite installez une bobine ouverte aux extrémités longitudinalement au dessus de l’aimant de façon qu’une ligne qui traverse l’axe longitudinal de l’aimant passe au travers de l’axe longitudinal de la bobine au dessus de lui. L’extrémité ouverte de la bobine ne doit pas toucher l’aimant.

Connectez l’autre extrémité de la bobine à un condensateur variable, afin que la bobine et le condensateur forment un circuit oscillateur-L-C-série réglable. La sortie du condensateur est connectée à un préamplificateur à l’intérieur de la cage. Une tige de réglage pour le condensateur est très soigneusement placée à travers un petit trou de la cage pour permettre le réglage depuis l’extérieur.

La sortie du préampli est un câble blindé qui passe à travers un petit trou de la cage vers un oscilloscope adjacent. Le blindage du câble est aussi mis à la terre au potentiel de référence du sol.

La théorie est celle qui suit : Supposez qu’une onde électromagnétique normale apparaisse à l’intérieur de la cage, au dessus de l’aimant ou juste à proximité, dans ce cas une oscillation accouplée apparaît dans le champ de l’aimant, et cette oscillation est transférée à la bobine qui est juste au dessus de lui. Si l’oscillation est à l’intérieur de la fourchette de fréquences sur laquelle le circuit oscillateur LC est accordé, une détection a lieu, celle-ci est amplifiée par le préampli puis elle arrive à l’oscilloscope, où elle est affichée sur l’écran.

Remarquez que le détecteur détecte une onde EM normale. Maintenant notre problème est : Comment faire en sorte qu’une onde EG soit détectée ? Et comment s’assurer que nous ne détectons pas une onde EM ordinaire venant de l’extérieur ? En fait cela est simple. Les ondes ordinaires (excepté pour les très basses fréquences) seront mises à la terre par le bouclier Faraday, et ne pénètreront pas la cage. Donc ces ondes EM normales ne peuvent pas entrer dans la cage et apparaître au dessus de l’aimant, elles ne seront pas détectées. Les ondes EG scalaires, à l’inverse, pénétreront dans la cage puisqu’elles ne se couplent pas avec les électrons conducteurs dans le métal de la cage. Au dessus du pôle de l’aimant, l’espace-temps est localement courbé, après tout, un pôle est un potentiel scalaire magnétostatique, qui est une partie du conglomérat appelé "potentiel-G". Le pôle représente une augmentation (ou une diminution, selon que ce soit un pôle nord ou un pôle sud) dans la composante magnétostatique du potentiel-G local. C’est une courbure de l’espace-temps. Une onde EG entrant dans cette région amène une variation de la composante du potentiel-G magnétostatique, qui s’épanche dans la bobine comme une onde EM ordinaire.

Une autre façon de voir le détecteur est de modeler l’onde EG comme une onde longitudinale, et une onde EM ordinaire comme une onde transverse. Lorsque l’onde EG pénètre la région de l’espace-temps courbé au dessus de l’aimant, pour la bobine ("l’observateur" dans ce cas !) l’aspect longitudinal de l’onde EG apparaît comme un mouvement rotatif alterné, de telle sorte qu’une composante d’oscillation transversale est présente. Cette composante transversale apparaît à la bobine comme un champ EM ordinaire, et donc le circuit LC le détecte s’il est dans sa propre bande de fréquence.

Une autre manière de voir la situation c’est de réaliser qu’une onde EG approchant l’aimant induit une oscillation qui a augmenté le potentiel scalaire magnétostatique (force polaire) de l’aimant. Par conséquent, l’aimant est un receveur pour les ondes scalaires, lesquelles sont détectées lors de leur propagation, comme une oscillation de la puissance du champ magnétique de l’aimant. Le couplage de la bobine au champ magnétique oscillant crée un flux de courant oscillant dans le condensateur, cela fait osciller le voltage d’entrée au préampli, qui amplifie et génère le signal pour l’affichage à l’oscilloscope.

Il est important de se rappeler qu’un potentiel magnétostatique et un potentiel électrostatique peuvent être mis en oscillation par une onde EG scalaire. En plaçant un matériel magnétique dans une cage Faraday, l’oscillation du potentiel scalaire magnétostatique (puissance polaire de l’aimant) peut être utilisée en tant que mécanisme de détection EG. En plaçant un matériel chargeable (électriquement) dans une cage de Faraday, l’oscillation du potentiel scalaire électrostatique peut être détectée. (Des exemples possibles des derniers types de détecteurs ont été donnés par Hodowanec, "Radio Electronics", Avril 1986.)

Remarquez aussi qu’on peut détecter des ondes à un niveau de référence et pas à un autre. Le changement de potentiel de la référence zéro de la mise à la masse du détecteur Bendini affecte la détection. Pour regarder à l’intérieur d’une porteuse EM normale (telle que la porteuse du "Pivert" soviétique) et voir quels signaux scalaires elle apporte, la porteuse peut être utilisée pour référencer la mise à la masse du détecteur Bendini. Pour produire un analyseur de spectre, utilisez simplement des séries supplémentaires de circuits d’accords LC en parallèle (mettez plusieurs cosses de connexions sur la bobine, et reliez chaque cosse à un condensateur d’accord séparé de capacité différente). A nouveau, la variation du niveau de référence zéro est importante, tout comme la variation de la puissance de l’aimant. Frank Golden a aussi inventé une excellente série de détecteurs d’ondes scalaire basés sur des principes déposés complètement différents.

Le résultat est : on peut vraiment détecter et mesurer rigoureusement des ondes scalaires EG, quand on considère les grandes sommes d’argent actuellement affectées pour enterrer de grands cylindres d’aluminium, on se demande pourquoi quelques fonds ne peuvent être alloués à quelques chercheurs non-orthodoxes par l’Académie Nationale des Sciences pour financer la détection et la création prouvées des ondes électrogravitationnelles...

Voici expliqué un nouveau genre de résonance : la résonance électromagnétique scalaire, ou résonance électrogravitationnelle.

En premier, imaginez que vous ayez une cavité résonnante standard, dans cette cavité on a une onde EM résonnante qui va et vient, selon les conventions, le vecteur de champ-E et le vecteur de champ-B sont à angle droit dans ce front d’onde en mouvement. Lorsque l’onde va et vient, les vecteurs varient en allant et venant ; cependant, à n’importe quel point entre les parois, les deux vecteurs ont toujours la même valeur. Donc notre onde EM résonnante forme une onde stationnaire dans la cavité.

Maintenant imaginez qu’un second front d’onde, précisément comme le premier et de la même fréquence, est superposé au premier et voyage avec lui. Cette seconde onde — "l’anti-onde" — a ses vecteurs forces déphasés de 180 degrés d’avec les vecteurs forces de l’onde de référence. En conséquence la somme des champs-E et des champs-B des deux ondes superposées est toujours égale à zéro, en n’importe quel point de la cavité. Pour un observateur externe, la cavité contient des champs de forces électromagnétiques non-ordinaires, d’où une énergie EM non-ordinaire.

Cependant la densité d’énergie d’une onde sinusoïdale EM dans le vide est donnée par :

Densité 2 [E + B] / 8 Pi

Cette densité d’énergie est toujours positive, de là la densité d’énergie des deux ondes en n’importe quel point entre les murs est égale à :

2 2 [E +B] / 4 Pi

où E = E(x) ; B = B(x)

Ainsi la densité d’énergie du vide varie avec X, rigoureusement, puisque la résultante des champs E et B est de zéro, cela décrit une onde gravitationnelle stationnaire. En conséquence nous avons une onde EG stationnaire existant dans la cavité, voici un exemple de résonance scalaire. Rigoureusement la cavité a une masse et une inertie, pour un observateur extérieur, en résultat des deux courbures d’espaces-temps qu’elle contient.

Notez que dans un demi cycle la densité d’énergie du vide est plus grande qu’en ambiance, et dans l’autre demi cycle elle est moins grande ; dans la zone d’un demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus rapide que pour l’observateur ambiant, et dans l’autre demi cycle le temps s’écoule à un rythme plus lent que pour l’observateur ambiant. Une moitié du cycle semble contenir la charge électrique et l’autre semble contenir la charge positive. Un demi cycle semble contenir un pôle nord (potentiel scalaire magnétostatique positif), et l’autre demi cycle semble contenir un pôle sud (potentiel scalaire magnétostatique négatif).

Peut-être que maintenant on peut commencer à comprendre pourquoi un électron en continuelle accélération sur son orbite atomique n’émet pas d’énergie EM, en complète violation des équations de Maxwell, l’électron n’est pas comme tel mais un aspect complexe.

La résonance scalaire n’est pas dans les manuels conventionnels.

La résonance scalaire est une muli-résonance électromagnétique particulière de somme zéro, de sorte qu’elle n’agit pas d’une façon électromagnétique. Une résonance scalaire est une onde électromagnétique stationnaire, elle peut être produite électriquement, mais elle n’est pas électrique dans son comportement. Dans n’importe quelle résonance scalaire, l’espace-temps est courbé et c’est l’ampleur (et direction) de cette courbure d’espace-temps qui oscille sous forme « d’onde stationnaire ». Par rapport au stress du vide moyen, la moitié d’une onde sinusoïdale stationnaire est extensible, l’autre moitié est compressible. Cependant, cela est par rapport au stress ambiant local du vide. La « masse » d’une particule est juste une caractéristique exhibée par une résonance scalaire piégée, en fait ce piégeage est fait par le « spin » de la particule individuelle. Le concept de « masse » peut être comparé avec le concept de « capacité ». Ce qui signifie qu’une masse est un accumulateur d’ondes scalaires ; c’est-à-dire de résonances scalaires. Elle se « charge » et « décharge » continuellement par absorption et émission d’ondes scalaires depuis et vers le flux d’ondes scalaires du vide ambiant. En conséquence la magnitude d’une masse peut être définie en terme de valeur absolue de ce taux de « commutation » (absorption = flux entrant ; émission = flux sortant). Pour des détails sur cela voir (Bearden, T.E. « Quinton/Perception Physics : A Theory of Existence, Perception, and Physical Phenomena, » Mars 1973, AD 763210, disponible à NTIS).

Dans l’espace-temps linéaire normal, « charge » et « décharge » sont égales dans toutes les directions ; donc la masse exhibée est identique dans n’importe quelle direction. Par rapport à l’équilibre du flux de « l’observateur externe », un objet en mouvement rencontre une quantité accrue de taux de flux le long de sa ligne de mouvement, exactement comme un objet se déplaçant sous une pluie torrentielle rencontre plus de gouttes de pluie par seconde dans la direction de sa trajectoire, que ne le fait un objet stationnaire. La rencontre d’un flux accru d’ondes scalaire (par rapport à l’observateur externe) force l’objet en mouvement à absorber et émettre des ondes scalaires à un taux plus élevé le long de sa direction de mouvement que lorsqu’il ne bougeait pas. Donc pour l’observateur externe, la masse de l’objet s’est accrue, en ce qui concerne n’importe quelle force perturbante le long de sa ligne de mouvement.

Cependant, orthogonalement à sa ligne de mouvement, le taux de flux est précisément le même que quand l’objet est au repos, donc, vu par l’observateur externe, la masse de l’objet en mouvement n’a pas changé par rapport aux forces perturbantes orthogonales. Ainsi se trouve expliqué les deux parties de l’un des grands mystères de tous les temps, la relativité : (1) comment la masse d’un objet s’accroît selon son mouvement et, (2) pourquoi la masse s’accroît par rapport à sa ligne de mouvement et pas orthogonalement à elle.

L’inertie d’une particule est due à sa masse, c’est-à-dire à la magnitude totale de sa résonance scalaire piégée. L’attraction gravitationnelle entre deux masses est due à leur courbure d’espace-temps, de plus, la masse est comme une capacité, elle peut capturer des ondes scalaires complémentaires en tant que résonance piégée et de là accroître sa magnitude ou « charge inertielle » ; ou bien elle peut se décharger de plus d’ondes scalaire qu’elle n’en absorbe et de là diminuer sa magnitude ou « charge interne »...

Ces ondes scalaires émises par la résonance sont émises comme un ensemble de patterns de la résonance, elles peuvent donc être considérées comme constituant un courant de résonances scalaires quittant l’objet accumulateur de masse. Les ondes scalaires absorbées dans une résonance piégée peuvent être considérées comme constituant un courant de résonance scalaire pénétrant l’objet accumulateur de masse, donc il est approprié de dire qu’une résonance scalaire est capable de « couler ».

Suite dans "l'armement scalaire soviétique (2)"


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