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Triathlon semi-indoor à Meudon !

Publié le 20 janvier 2011 par Pascal Boutreau

164098_10150098548939593_558654592_5861133_7706372_n Me revoilà. ça y est j'en ai fini de ma Régate Virtuelle sur le Tour du monde à la voile (Trophée Jules Verne). Après 62 jours et 4 minutes, j'ai bouclé mon tour virtuel de la planète. Et figurez-vous que sur 95000 concurrents, je suis actuellement 18e à l'équivalent de seulement 7,4km du premier (j'étais même 7e à un moment) ! Je vais encore reculer un peu au classement puisque s'agissant d'un record, d'autres concurrents partis derrière moi peuvent encore faire mieux, mais je ne suis pas mécontent. Surtout sans avoir acheté la moindre option de pilote automatique ou de jeu de voiles supplémentaires.  Va falloir que j'essaie en vrai...

En parlant de voile, ce jeudi avait lieu à L'Equipe la vacation radio de la Barcelona Race (merci Stéphanie). Etonnant de pouvoir dialoguer et voir Desjoyaux ou Peyron, en direct en pleine mer au large du Brésil. C'est quand même dingue la technologie, non ?

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Elle n'est pas belle notre affiche ci-contre ? Eh oui, le Meudon Triathlon, mon club de triathlon qui va dépasser cette année les 100 membres, va innover le 13 mars prochain avec le premier triathlon "semi-indoor" où la natation se fera en piscine, le vélo sur un Wattbike (vélo d'intérieur) et la course à pied dans le parc juste à côté de la piscine de Meudon. Les distances : 300m de natation, 7 km sur le vélo d'intérieur et 2,5km à pied. Des séries qualificatives et une finale. Un format innovant avec ce Wattbike. Attention, les places seront limitées à 96... Tous les renseignements sur le blog du club http://meudontri.canalblog.com

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 Mercredi soir, je suis allé faire un tour au Camp des Loges à Saint-Germain-en-Laye pour voir le match entre le PSG et Lyon en championnat de foot fifilles. Un vrai choc au sommet entre la meilleure équipe de France... et peut-être même d'Europe (Lyon) et l'une des valeurs sûres de la D1 (le PSG). Des internationales de partout, bref, une belle affiche idéale pour la promo du foot féminin. Sauf que je ne sais pas trop qui a eu l'idée de faire jouer ce match au fin fond du Camp des Loges, à la lisière de la forêt. Un terrain synthétique (passe encore, il y en a bien en Ligue 1), mais surtout des buts sur la largeur utilisés par les petits repliés le long de la main courante comme pour un match de district, évidemment pas de tribune, juste scandaleux et indigne. Comment voulez-vous attirer des médias et des spectateurs en les accueillant dans de telles conditions ? Le moindre journaliste qui aurait la curiosité de venir voir repartirait aussitôt. Et pourtant le match fut de très bon niveau, l'armada lyonnaise ayant même beaucoup de mal à empocher son treizième succès en autant  de rencontres (résumé du match sur lequipe.fr,  ICI ). Mais tout le monde s'accordait à trouver ce contexte juste pitoyable pour le développement du foot féminin.  

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Quelques liens sur les news parues ces derniers jours sur lequipe.fr. Sachant que j'étais censé être en vacances, ce n'est pas trop mal...

Sans titre
. Beaucoup de handisport avec notamment les Championnats du monde de ski alpin. Eh oui, j'ai décidé de passer la vitesse supérieure avec le handisport. Après tout, il n'y a pas de raison que ces athlètes à part entière soient relégués dans les oubliettes des médias. A lire ICI, ICI, ICI ou encore ICI.Possibilité de voir en vidéo toutes les courses des Français www.youtube.com/user/FederationHandisport

A suivre dès ce samedi les Championnats du monde d'athlé qui se disputent en Nouvelle-Zélande. Pour tout savoir, le site de la fédé handisport ou encore www.sportethandicaps.com/fr/.

. Je vous ai livré aussi un peu de hockey sur gazon comme tous les lundis ICI et évidemment le résumé de la journée de D1 de foot fifilles ICI.

. Il va falloir vous y habituer, on se met aussi au rink hockey ICI.

. Quelques productions de Miss Auriana avec de l'escalade of course et du ski-alpinisme. ICI et ICI. D'ailleurs si vous êtes dans les environs de Gavarnie, dans les Pyrénées, les meilleurs spécialistes de ski-alpinisme disputent ce week-end la seconde manche de la Coupe du monde. Spectacle garanti.

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Un peu de recyclage avec la chronique actuellement en ligne sur lequipe.fr et consaqcrée au bobsleigh. J'ai eu la chance de suivre cette discipline quelques saisons et en particulier Bruno Mingeon, un vrai bon mec.C'est d'ailleurs lui qui m'a appelé il y a quelques semaines pour me signaler les bonnes performances du bob monégasque dont il s'occupe depuis cinq ans. D'où cette chronique sur un sport qui a hélas été quasiment rayé du paysage français. Et merci à tous ceux qui ont la gentillesse de laisser un commentaire sur le site du journal. Plus de 30 pour une news de bob, c'est plus qu'inespéré...

Bob-monaco
Monaco descend... et vite !
Qui a dit que tout allait mal à Monaco ? Un mariage du Prince Albert avec la belle Charlene en juillet et surtout un équipage de bob piloté par Patrice Servelle et entraîné par le champion du monde français Bruno Mingeon, qui joue les premiers rôles en Coupe du monde.
Désolé les footeux arrivés ici en raison du titre de la chronique, mais pas question de parler de ballon (vous pouvez rester quand même...). Car Monaco ce n'est pas seulement une équipe de foot, des casinos, des princesses ou de la Formule 1. Monaco c'est aussi une équipe de bobsleigh. Associer bob et Monaco fait bien évidemment aussitôt penser au Prince Albert, longtemps friand des frissons d'une descente (cinq participations aux Jeux olympiques d'hiver de 1988 à 2002 comme pilote du bob monégasque). Son Altesse a pourtant raccroché sa combinaison depuis neuf ans et a été remplacé aux commandes de l'engin par Patrice Servelle.

Pourquoi s'intéresser au bob de Monaco plutôt qu'à celui de la France me direz-vous ? Eh bien d'abord parce que malgré la présence d'une piste à La Plagne, le bob a pratiquement disparu du paysage français. Seuls quelques équipages tentent de faire leurs armes sur le circuit européen (meilleur tricolore, Thibault Godefroy, 25 ans, est actuellement 16e). Et puis surtout, Monaco est entraîné depuis cinq ans par le Français Bruno Mingeon, un sacré bon mec, porte-drapeau aux Jeux de Turin en 2006, champion du monde de bob à 4 en 1999 avec le regretté Emmanuel Hostache, Eric Le Chanony et Max Robert à Cortina d'Ampezzo, un an après la médaille de bronze olympique décrochée à Nagano. C'était l'époque où le bob faisait la Une de L'Equipe (si si c'est possible avec en titre : « Chapeau le bob »).
« Bruno, c'est tout d'abord un ami, confie le pilote monégasque, lui aussi porte-drapeau à Turin. Je lui avais déjà demandé de nous rejoindre en 2002 puis en 2006, mais il avait donné la priorité à l'équipe de France. Comme rien ne s'est fait, il est finalement venu avec nous. Bruno partage nos joies mais reste toujours en retrait. Il a tout traversé dans sa carrière, aussi bien dans les joies que dans les déceptions. C'est rare de trouver un tel vécu sur le circuit. Et techniquement, il est capable de régler le bob, de définir les bonnes lignes et de gérer les émotions. »

Pas un bob richard

Et ça marche. Renforcé par l'arrivée comme pousseur de son bob à 2 de Lascelles Brown, Jamaïcain naturalisé canadien (médaillé d'argent olympique en 2006), et de plusieurs pousseurs français comme Elly Lefort (également lanceur de disque associé à Brown et Joffrey Tocant dans le bob à 4), Monaco s'est offert le premier podium de son histoire début décembre à Calgary. Une deuxième place (avec en bonus le meilleur temps de la seconde manche) venue récompenser la ténacité de l'équipe du Rocher, mal en point les deux saisons précédentes.
« Après Vancouver, j'ai été opéré du tendon d'Achille et je n'étais pas au top physiquement, raconte Servelle, 36 ans. C'était très frustrant. Je ne voulais pas rester sur ce goût amer qui gâchait tant de belles années. Je voulais terminer sur une bonne saison. Il est possible que l'on finisse là-dessus pour éviter de faire celle de trop. On verra. Je ne suis pas le seul à décider. » Du côté du palais princier où Albert reste très concerné (« le bob reste sa passion », dit Mingeon. « Il donne toujours un coup de téléphone avant les compétitions pour nous souhaiter bonne chance », poursuit Servelle), l'idée est toute autre. « La volonté du Prince est que ça continue, explique Servelle. Il faudrait trouver des jeunes. Ce serait dommage d'avoir tant investi financièrement mais surtout humainement pour s'arrêter là. Avec Bruno, nous disposons en plus de quelqu'un de grande qualité et d'une grande expérience. »

Un Mingeon qui à 43 ans, a retrouvé tout l'enthousiasme qui semblait s'être un peu dissipé lors de ses dernières années en bleu. « Je m'éclate, éclaire-t-il. On joue avec les Allemands et nous réussissons à nous faufiler entre les grosses nations. Tout le monde est content pour nous. Nous avons notre propre identité sans rien avoir à envier aux autres. Même si nous disposons de moyens pour bien travailler nous ne souhaitons pas dépenser à tout va. Un bob à quatre peut aujourd'hui coûter 90 000 euros. C'est devenu n'importe quoi. Nous avons préféré travailler sur notre propre matériel. On peut faire des choses à moindre coût. »

La Coupe du monde reprend ce week-end à Igls, en Autriche. Mais Monaco a déjà le regard tournée vers Königssee, en Allemagne où se dérouleront dans un mois les Championnats du monde. Servelle s'élancera sans complexe à l'assaut des 1250 m de descente et des 13 virages (plus de 125km/h en fin de piste). « Quand on a notre poussée, on peut viser une médaille », prévient-il.

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L'opération Embrun se poursuit à un bon rythme. La nouveauté de la semaine, ce sont de nouvelles semelles. Nouveau podologue aussi. Un podologue à l'ancienne comme j'aime. Pas 50 000 machines pour faire genre, juste un coup d'oeil, quelques notes et le tour est joué. Un peu comme les kinés à l'ancienne et pas comme ceux d'aujourd'hui qui vous branchent des machines de partout et filent voir d'autres clients (oups pardon, ça s'appelle un patient en théorie) tout aussi appareillés...

Et les premiers footings avec ces semelles sont plutôt convaincants. Quelques ajustements aussi au programme prévisionnel mais je vous en parlerai plus tard... Juste un indice : pour la résolution : "je vais être raisonnable en 2011", oubliez tout de suite... On n'a qu'une vie !

Jeudi 13.- Course : 1 h footing
Vendredi 14.- Vélo :
50 km (Longchamp)
Lundi 17.
- Course : 1 h footing
Mardi 18.- Vélo : 65 km Chevreuse (Les Loges, Magny, Gif, Homme mort)
Mercredi 19.- Natation (3500 m - 500 pull, 500, 1000 éduc, 1000 plaq-pull, 500 cool) + Course : 1 h footing
Vendredi 21.- Vélo : xx km + Natation (3000 m)

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Un mot pour finir avec le film "Le fils à Jo" de Philippe Guillard, ancien rugbyman de haut niveau. Après vingt premières minutes qui m'ont fait peur avec l'accumulation des clichés sur les fameuses valeurs du rugby, je me suis laissé prendre par les personnages pour finalement ressortir de la salle plutôt content du moment passé.  Et cela essentiellement grâce à des bonnes interprétations de Gérard Lanvin of course mais surtout de Vincent Moscato, parfait dans le rôle de Pompom, ou Olivier Marchal. A voir.


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