Après plusieurs années passées à « critiquer » les autres, me voilà sur la sellette avec la sortie de mon premier livre, une enquête sur ceux qui ont choisi de ne pas enfanter. Pendant presque deux ans, j'ai rencontré des dizaines de femmes et d’hommespour qui le « devoir de procréer » sonne creux. Parmi eux, j'ai rencontré des amoureux exclusifs, des artistes, descarriéristes, des religieux, des traumatisés de l’enfance, d'éternelsadolescents, des écologistes, des malthusiens convaincus, ainsi quedes militantes féministes qui ont fait de leur refus d’enfanter unétendard, pour s’affirmer dans une société qui porte aux nuesla maternité et les valeurs familiales.
Aujourd'hui, je vous soumets le fruit de mon travail dans « Pas d'enfants, ça se défend ! » dont voici le pitch que vous trouverez en quatrième de couverture de l'ouvrage. Comme il n'est pas question que je critique mon propre livre, je vous laisse avec ces quelques mots. Merci d'avance à tous ceux qui s'en feront l'écho et nourriront le débat.
« Les enfants, c’est formidable. C’est une expérience unique quetout le monde devrait connaître. » Sauf qu’aujourd’hui, 1 Françaissur 20 refuse d’enfanter.Quelles sont les motivations de cette« infertilité volontaire » ? Au fond, sait-on vraiment pourquoi on fait des enfants ? N’est-cepas un obstacle à l’épanouissement personnel et professionnel ? Dansun monde surpeuplé et pollué, n’est-il pas égoïste de prendre trop deplace en fondant une famille ? Les enfants ne coûtent-ils pas trop cheraux individus et à la société ?
Jeu de briques
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