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Morceaux choisis

Publié le 18 février 2011 par Bastienb

Morceaux choisisJe le dis tout de suite, les quelques lignes qui suivent ne font pas vraiment dans la dentelle. Mais toute information, quelle qu’elle soit,  fait  partie de la culture générale. J’avoue que j’aurais pu amener ça sous le label « information inutile du vendredi », mais à l’heure où vous lirez cela, on sera déjà presque samedi, alors…

Il est donc question de… Pénis. Voici 5 cas assez remarquables pour être évoqués ici et vous allez voir que certains n’étaient pas peu fiers de leur engin !

Lyndon Baines JOHNSON, vice président de J.F. KENNEDY fut affublé durant ses études supérieures du surnom de Jumbo. Qui explicitement indique qu’il en a une grosse (comme la trompe de Dumbo). Doté d’un humour assez particulier, comme réponse aux journalistes qui lui demandaient pour quelle raison les Etats-Unis faisaient la guerre au Vietnam, il  passait coquette par sa braguette et répondait « Voilà pourquoi ! ». De plus, à longueur de journée, il aimait à répéter ses phrases fétiches, je cite : « Je bande pour la présidence », « Chérie, dis bonjour à l’élu du peuple » ou encore « Je ne fais confiance qu’à l’homme dont j’ai mis la bite dans ma poche ». Du fin, du très fin je vous dis…

TOULOUSE-LAUTREC, « croqueur » du rythme de la débauche au Moulin Rouge, ne mesurait  que 1m52 à l’âge adulte, croissance contrariée par des os trop fragiles, notamment les fémurs. Cependant, si les os éprouvaient quelques difficultés au développement, il n’en était pas de même des organes et particulièrement du… Enfin, vous avez compris. Et ce petit homme était prompt à la besogne. Les prostituées et les danseuses l’adoraient (sans blague) et n’hésitaient pas à lui donner des petits noms comme « La cafetière au large bec », « Petit Priape » ou « Verge à pattes ». Tout un programme…

RASPOUTINE. Sorte de mystique-devin-moine-aventurier-alcoolique-roublard-hypnotique-rustre-sale-grossier-envoutant-hirsute et bien membré (rayez les mentions inutiles, ou pas) que le tsar Nicolas II, sa famille et son entourage aimaient à consulter pour des pseudos soins ou des révélations sur le futur. De stature moyenne, mais de carrure impressionnante, l’homme prouva qu’il fut d’une robustesse hors norme comme en témoignent les dernières heures de sa vie. En 1916, le prince Yussupov n’en pouvant plus de l’aura qu’exerce Raspoutine sur ses proches décide de le faire boire (pas le dernier à la picole le Titine) jusqu’à plus soif, comprenez par là que le vin est saturé de cyanure. Mais le cyanure, ça le gène pas le Raspoutine, tout au plus quelques brûlures à l’estomac. Passablement énervé, Yussupov lui tire alors une balle dans le buffet. Le moine s’écroule pour mieux se relever tout plein de rage quelques instants plus tard. Des potes de Yussupov rappliquent alors et truffent Raspoutine de pruneaux. Ce dernier s’effondre une nouvelle fois. Yussupov en profite pour castrer ce dernier et avec l’aide de ses amis providentiels, il jette le corps de Raspoutine dans le fleuve Neva. Après y avoir au préalable cassé la glace du fleuve gelé. Une botte oubliée fera ouvrir une enquête et une autopsie révèlera que Raspoutine était toujours vivant lors de sa mise à l’eau car la présence d’eau dans ses poumons prouvait qu’il respirait encore à ce moment là. Sacré gaillard tout de même ! En 1968, une ancienne domestique russe prétend détenir le sexe du bonhomme qui ressemblait alors à une grosse banane momifiée. De plus, selon sa fille Maria, Raspoutine possédait un pénis de 33 cm. Et là, j’ai envie de dire : Mais comment elle savait ça, sa fille ?

Errol FLYNN, acteur américain d’origine australienne dans les années 1930-40, n’était pas non plus en reste avec son tuyau. Si fier de sa dimension, il le sortait régulièrement en public. Lors de fêtes mondaines il l’utilisait pour jouer du piano. Dans les textes de ses rôles, il insistait pour qu’on ajoutât des allusions grivoises. Sous ses pantalons, il ne portait que des maillots de bain très moulants avec le sexe toujours placé en position verticale. Intrigués, plusieurs réalisateurs demandèrent à FLYNN de bien vouloir leur dévoiler ce qui semblait être un « monstre ». Errol ne se faisait jamais prier et les réalisateurs en étaient bons pour des complexes jusqu’à la fin de leurs jours. FLYNN fut l’un des premiers interprètes de Robin des Bois au cinéma. M’est avis qu’il ne bandait pas que son arc.

Et pour terminer, antithèse. A ce jour, la mort de Napoléon reste encore sujette à polémique. Cancer de l’estomac ou lent empoisonnement à l’arsenic ? L’empoisonnement semble cependant emporter l’affaire. A sa mort, on découvre que les organes génitaux du petit Corse sont rabougris à l’extrême ce qui confirme la prise d’arsenic. « Débarrassé » illégalement du corps de Napoléon pendant l’autopsie, son pénis est mis en vente, salle Drouot le 26 octobre 1977. C’est le lot 54 qui fait partie d’un ensemble « Tendons, cheveux et poils de barbe ». Mais là, le tendon désigne le pénis. D’une taille d’un peu plus de 2 cm, certains soupçonnent tout de même un petit bout de cote.

Voilà. Mais souvenez-vous surtout que ce n’est pas la taille qui compte, mais le goût !


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