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Les médicaments qui tuent... et le système dans lequel nous vivons...

Publié le 21 février 2011 par Philippejandrok

Lorsque les états n’auront plus les moyens de contrôler la colère des populations, ils utiliseront des moyens sordides pour les calmer. Ces moyens seront :

-la prolifération des virus

- la chute de la bourse

- la pollution volontaire de l’eau

- la famine

- les déclarations de guerre pour diminuer les populations et enrichir les marchands d’armes

- …

Tous ces moyens sont dores et déjà en marche, pour les virus, nous en avons été témoins avec la campagne abusive du ministère de la santé et les incohérences de notre illustre ministre concernant le virus H5N1, mais pourquoi notre état se préoccupe-t-il autant des grippes saisonnières ?

Pour permettre à nos ministres actionnaires des laboratoires fabricant les vaccins de les vendre et de s’enrichir ?

Depuis quand l’État se soucie-t-il sincèrement de la condition des citoyens ? Qu’il donne du travail aux chômeurs, ils seront moins malades, qu’il mène des campagnes cohérentes sur l’alimentation, ils seront moins malades…

Aujourd’hui, enfin, suite aux scandales portant sur la consommation de médicaments sensés guérir les patients et qui leur met un pied dans la tombe, on prend soudain conscience de la manipulation organisée par des personnes particulièrement mal intentionnées qui ont détruit la vie de milliers de familles ayant perdu un être cher, un être que des imbéciles de médecins ignorants ont mis sous Médiator ou je en sais quelle autre molécule assassine en croyant naïvement leur faire du bien.

Une question se pose dans ce cas précis, les médecins sont-ils responsables d’une faute professionnelle grave ?

Oui, ils le sont, car souvent arrogants, ils se prennent pour dieu et prescrivent sans connaître la molécule en question et ses effets, en prenant leurs « clients » pour des cobayes de laboratoire pour voir si cela fonctionne sur eux ou pas. Si un patient devient suicidaire à la suite de la consommation de son anti-dépresseur, ce n’est pas le problème du médecin, c’était le patient, jamais il ne s’interroge sur la prescription ou sur le médicament, le patient seul est reponsable alors qu'il est le pantin d'un médecin et d'un médicament qui altère son jugement.

Pourquoi les médecins n’essayent-ils pas eux-mêmes les médicaments avant de les prescrire, pourquoi ne subissent-ils pas eux-mêmes une ponction lombaire avant de prétendre que cela ne fait pas mal…

Il faudrait leur foutre des baffes et les rendre également responsables, car si le laboratoire fabricant est la Mort, le médecin est sans le savoir ou le vouloir, son bras armé.

Alors oui, il faut se méfier des médecins, et surtout de ceux qui sont séduits par les promesses de guérisons irréversibles des labos, ces médecins qui favorisent davantage telle molécule de tel labo plutôt que telle autre sans vraiment faire les recherches nécessaires.

Lorsqu’un criminel assassine un individu il est jugé et condamné par la justice, lorsqu’un médecin assassine son patient à cause d’une erreur de diagnostique, d’une faute chirurgicale, il est relaxé, qu’en est-il de tous les médecins qui ont prescrit durant des années des médicament meurtriers ????

Ah ! Mais ils ne savaient pas, me répondra-t-on. Mais s’ils ne savaient pas, ils ne devraient pas prescrire, parce qu’ils ne savent pas !

Nous avons tous rencontré des médecins arrogants, spécialistes, des « je sais tout de je ne sais rien » incapables de soigner correctement et d’obtenir des résultats probants, des incompétents arrogants qui reprochent au patient d’être un mauvais patient, parce que sa fausse volonté de guérir masque une incapacité, voire une incompétence crasse.

Lorsque j’étais enfant, dans mon village, dès qu’un enfant avait mal au ventre, il était envoyé à l’hôpital pour une appendicite, dès lors si nous avions des symptômes au niveau de l’estomac, il fallait éviter ce médecin incapable, qui avait l’appendicite aigue implémenté dans le cerveau, un véritable docteur Knock, qui confondait grippe intestinale et appendicite. La probabilité que la moitié des enfants du village furent victimes de ce symptôme fut une monumentale erreur de diagnostique, de la part d’un autre « je sais tout de je ne sais rien ».

Le Vidal est la bible des médecins, l’encyclopédie des médicaments que seuls les médecins peuvent posséder, si vous regardez dans le Vidal, n’importe quel médicament à la page des effets indésirables, vous avez souvent entre deux et quatre pages d’effets indésirables possibles, des effets souvent graves qui ont des effet sur d’autres parties vitales de votre corps. En clair, un médicament utilisé pour une pathologie en réveille une autre et ainsi de suite, c’est comme un fait exprès, vous guérissez d’un mal pour en développer un autre, vous guérissez l’autre pour en développer un troisième et ainsi de suite, jusqu’à la mort, et puisque le corps n’en peut plus, il vous lâche.

C’est la logique économique des labos.

Le premier responsable est la société qui décide de bâtir un mode essentiellement basé sur le profit et pas sur les règles chrétiennes humanitaires. L’enrichissement et le système boursier sont totalement responsables, c’est pourquoi si nous souhaitons vivre dans de bonnes conditions, nous devons nous battre pour vivre dans une société meilleure, gouvernée par des êtres ayant un sens profond du service public, et pas des profiteurs du système comme ceux que nous avons en place et qui ne pensent qu’à s’enrichir.

Moralité :

-   la moralité de cette histoire est de rendre les consommateurs de médicaments beaucoup plus attentifs à ce qu’ils consomment, de reprendre confiance en eux et de ne pas faire une confiance aveugle à leurs praticiens médicaux qui ne sont en fait que des pompes à fric (pour eux, pour les labos, les hôpitaux) ; il suffit de fréquenter les chirurgiens pour s’en rendre compte, avec des honoraires officiels, puis officieux, c’est une véritable mafia insupportable.

-  

Cela vous coutera tant et vous serez remboursé de tant, mais à cela s’ajoute des honoraires personnels pas pris en compte par la sécu, donc vous voulez être soigné, vous payez le prix, sinon, vous vous trouvez comme le tout venant sur la liste d’attente et malheureusement, elle est longue, très longue, mais c’est à vous de choisir.

Il y a là une attitude généralisée mafieuse, scandaleuse que nous permettons en étant complice de ce comportement insupportable.

 

-   Comment dans une démocratie en sommes-nous arrivé à ce point ?

 

-   Comment les médecins qui ont prêté le serment d’hypocrate se retrouvent parjures en ayant juré un véritable serment d’hypocrites ! Ils ont vendu leur âme au diable, ils ont vendu leur âme pour de l’argent, pour s’enrichir aux dépens de millions de patients.

C’est à s’arracher les cheveux, mais que faisons nous ? Nous sommes ici victimes de notre ignorance et nous acceptons des conditions ordurières pour avoir la possibilité de guérir mieux, mais pensez un instant, et si les diagnostiques étaient faux, s’ils étaient fait pour faire fonctionner la machine ?

J’ai été opéré du dos, comme des millions d’autres, une opération parfaitement inutile qui aurait pu être évité par quelques séances de chiropratique, mais non, ce n’est pas rentable pour le système, il faut dépenser de l’argent, il faut donc vous vous ouvrir et nourrir la pompe à fric et ces médecins, comme des loups aux dents longues ne voient en vous qu’un compte en banque.

Ah ! Mais où se trouve le mythique bon médecin qui aide son prochain en dispensant sa science pour le bien de tous ?

Et bien celui-là, vous le trouvez souvent sur le banc des accusés, car il est contre le système et sa corruption, car les autres, ses confrères ne supportent pas l’idée qu’un des leur soit le miroir de leurs erreurs, il faut donc l’éliminer.

Voilà la société qui nous gouverne et que nous n’avons pas choisie, voilà le système que l’on doit considérer comme honteux, car fuyant l’essentiel même d’une civilisation, son humanité, cette humanité bafouée par les démons de l’argent et de la finance qui poussent une machine à s’enrichir coûte que coûte, et surtout au dépens de la vie.

Nous vivons une époque formidable…


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