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Le petit coin des mélomanes : les belles chansons de notre enfance N°8

Publié le 29 avril 2011 par Hongkongfoufou

Par GoudurixYZ

On a tous un banc, un arbre ou une rue
Où l'on a bercé nos rêves
On a tous un banc, un arbre ou une rue
Une enfance trop brève

  

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Eddie Argos, chanteur à mèche dans la longue tradition des chanteurs à mèche (Bryan Ferry, David Sylvian, David Bowie, Martin Fry, Billy Macenzie, Brett Anderson, Jarvis Cocker, Mark E. Smith, eh ouais !) a un problème. A la Tate Gallery il a repéré un tableau. La première chose qu’il regarde chez lui c’est… le bleu.

Voyons, ensuite qu’est ce qu’il y avait ? Jarvis Cocker, chanteur à mèche dans la longue tradition des chanteurs à mèche (Bryan Ferry, David Sylvian, David Bowie, Martin Fry, Billy Macenzie, Brett Anderson, Eddie Argos, Mark E Smith, eh ouais !) a un problème. A l’école Saint Martin, il a repéré une fille. La première chose qu’il regarde chez elle c’est… ses yeux. Chacun son truc…

Chacun son truc… Ouais. Je vais quand même pas recopier jusqu’à la fin celle du mois dernier. Personne s’en apercevra, mais bon, j’ai une conscience. Professionnelle. Va falloir trouver autre chose. Voyons, essayons ça : prendre le lecteur à témoin, instaurer une connivence…

Imaginez, comme ça au hasard, que l’art moderne ça vous fasse un effet pas possible. Un truc de malade. Eddie Argos le chanteur… D’Art brut, lui c’est pareil. C’est pour ça que je disais ça. Qu’est ce que vous feriez à sa place ? Surtout ne pas vous en approcher. Logique. Problème, il trouve rien de mieux à faire que d’aller à la Tate. Lui il dit comme ça. Et là ça rate pas. Quand il voit un tableau d’Hockney il can’t help (him)self comme les Destiny’s child. Il want to rock out comme Lemmy de Motorhead. (Sauf que moi m’est d’avis que Lemmy c’est plutôt les Destiny’s child qui lui feraient cet effet.) Et quand il step outside comme les Housemartins il en peut plus. Il transpire, il palpite. Moi à sa place je me jetterais dans la Tamise, c’est juste à côté.

Comme ça lui suffit pas, il part à Paris avec sa valise. Sa valise Argos. Et là, c’est reparti comme en 40. Il va au Pompidou. Lui, il dit comme ça. Là, il y a un tableau de Matisse. Il prend trois pas d’élan… J’espère que c’est pas Jazz, pour les prochains disques ça serait pas gagné. Bref, on sait pas comment ça finit, comme dans ces films ou on sait pas comment ça finit. M’est d’avis que ça finit pas trop mal, sinon il pourrait plus nous chanter sa chanson en concert. En plus, chaque fois, il descend dans le public. Comme si on était un tableau, quoi.

Moi je sais pas si j’aimerais bien ça, être un tableau. Tous ces gens qui vous regardent tout le temps. Un peu ça va mais…En tous cas, pas un Hockney ou un Matisse. Un Liechtenstein peut-être. Avec une fille qui me répéterait sans cesse  The melody haunts my réverie. Oui, après tout, je crois que j’aimerai bien être un tableau………………….. Où en étais-je ? J’ai la mélodie de Modern art dans la tête… Ah oui, le concert. Là c’est plus rigolo. Un concept quoi ! C’est vrai qu’à chaque fois il transpire beaucoup. Mais ça se termine bien. Il remonte sur scène et il chante Good Weekend et Bad Weekend. Bon, on est vendredi. C’est pas tout mais…



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