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Une marque de confiance (article 101)

Publié le 12 mai 2011 par Snorounanne

veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai et pour les nouveaux lecteurs, prendre quelques secondes pour lire le descriptif, merci.

À tort ou à raison...

L'art d'avoir toujours raison, l'art de manipuler, l'art de détourner la conversation, l'art de l'art... Ça fait chier à la fin! On ne peut avoir raison sur tous les points de vue. On ne peut non plus avoir tort sur tous les points de vue. Alors, mesdames et messieurs, j'ai pensé à ceci:

On ne sait jamais qui a raison ou qui a tort. C'est difficile de juger. Moi, j'ai longtemps donné raison à tout le monde. Jusqu'au jour où je me suis aperçue que la plupart des gens à qui je donnais raison avaient tort! Donc, j'avais raison! Par conséquent, j'avait tort! Tort de donner raison à des gens qui avaient le tort de croire qu'ils avaient raison.

C'est-à-dire que moi qui n'avais pas tort, je n'avais aucune raison de ne pas donner tort à des gens qui prétendaient avoir raison, alors qu'ils avaient tort! J'ai raison, non?

Puisqu'ils avaient tort! Et sans raison, encore! Là, j'insiste, parce que... moi aussi, il arrive que j'aie tort. Mais quand j'ai tort, j'ai mes raisons, que je ne donne pas. Ce serait reconnaître mes tort! J'ai raison, non? Remarquez... il m'arrive aussi de donner raison à des gens qui ont raison aussi. Mais, là encore, c'est un tort.

C'est comme si je donnais tort à des gens qui ont tort. Il n'y a pas de raison! En résumé, je crois qu'on a toujours tort d'essayer d'avoir raison devant des gens qui ont toutes les bonnes raisons de croire qu'ils n'ont pas tort!

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Oh non! Je ne vous ai pas avisés que la scène changeait... j'ai eu tort?

Nous prenions l'air, Dédé et moi, en ce lundi matinal avec un beau soleil mais encore frais à l'heure que nous marchions sur une des rues de Montréal. Hier, dimanche, 8 mai, la fête des Mères a été de façon exécutive. Genny m'avait fait comprendre qu'il était dans mon intérêt de faire qu'une brève visite à sa mère n'ayant point encore nettoyé son intérieur de la mort de Marcy. Elle me tenait presque responsable.

Nous étions alors présentes pour 23 minutes et 47 secondes en lui offrant une gerbe de fleurs variés. Quoi qu'il y ait eu, ce jour-là, dans mon for intérieur, je me culpabliserai de ne pas avoir fait le bon geste de secours.

J'ouvre une parenthèse et je la fermerai. (Et... serais-je étonnée de savoir que certains d'entre vous, n'êtes même pas au courant de cet accident étant survenu à Marcy, la soeur de Genny? À vos lectures, à certains d'entre vous).

Mais, c'était impossible... les choses, les événements en cours devaient se passer ainsi. Par la suite, nous nous rendions chez ma mère, pour l'emmener au resto, la gâter pour ce jour spécial. Cré maman va! Elle a deux fêtes rapides, elle.  Le premier mai, son jour d'anniversaire et la fête des Mères. Cela a été très apprécié.

Marchant sur le trottoir, Dédé m'écoutait parler.

snorounanne - Et... et, et, une fraction de seconde s'interposait, j'ai su qui c'était. Mais là, vraiment qui c'était.

Dédé - Tu en as eu des nouvelles? Elle t'a appelée?

snorounanne - Non, on s'écrivait par la messagerie. Elle m'a répondue le lendemain. (regardant au loin) Dédé, il va falloir que ça cesse.

Dédé - (regardant lui aussi au loin) Les réparations des rues? Tu rêves...

snorounanne - Non. Pas ça. Je parle de ces visions.

Dédé - Ah, tu ne vas pas recommencer...

snorounanne - Tout cela me dépasse! Tout cela est, est... au-dessus de mes capacités.

Dédé - Faux. Tout cela fait partie de l'être, de ton être. Il te faut juste plus de temps, de confiance. Tu grandis hen? Alors ce don prend de l'espace, prend de l'ampleur. Il suffit que tu saches le contrôler.

snorounanne - Et puis y a... y a la police qui s'intéresserait à ce que je suis.

Dédé - Les fantômes?

snorounanne - Non. Genny, le soir même du souper à trois, chez toi, m'a parlée que monsieur Tétreault, chef de police de son district aimerait ma participation en tant que médium pour découvrir des faits, des situations, pour trouver... les disparus, entre autre.

Dédé - Et toi, tu ne le sens pas.

snorounanne - Non. Aucunement.

Dédé - Tu ne peux faire des choses n'étant pas ancrées dans ton évolution.

snorounanne - C'est bien ce que je sens. Mais dis-moi, toi Dédé... jusqu'où cela peut me mener? Ces sortes de... de visions?

Dédé - Tu as les clés, je ne peux avoir les réponses. C'est sur ce chemin que tu accomplis l'avancement. Ne le nie pas et ne l'abandonne pas.

La scène se transférait chez la big boss. Ne venez pas dire que j'ai oublié de vous aviser, mesdames et messieurs, et cette scène se déroulait dans son bureau aussi charmant que le boss.

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Dédé avait gardé ses lunettes de soleil prétextant que ses yeux brûlaient

madame Seadoo - Comment... (cherchant évidemment à comprendre) Comment est-ce possible? Comment a-t-elle pu savoir? Personne de la famille, aucune connaissance sait ce qui m'est arrivée, ce soir-là. Je n'ai rien dit, et... (soupirant) vous êtes le premier, Dédé à qui j'en parle en tête à tête. J'ai une confiance remarquable en vous et Dieu sait combien je vous apprécie et Dieu sait combien j'appréciais Albert.

Dédé - C'était un homme consciencieux dans son travail.

madame Seadoo - Le soir... le soir où j'ai voulu en finir... j'étais dans une déprime. La seule pensée me traversant l'esprit a été de me noyer dans la baignoire. Et je me rappelle clairement de m'avoir laissée caler la tête et... (faisant une légère pause) je n'ai vu personne, Dédé... y a eu quelque chose, oui quelque chose à ce moment. J'ai senti une force... une force que je ne peux décrire.

Dédé - Une sorte de silhouette ou une sorte de lumière?

madame Seadoo - Telle une force en douceur vous transportant hors du danger. Je m'étais surprise à voir ma tête hors de l'eau et mes cheveux étaient bien mouillés. Et j'ai senti... cette douceur pendant quelques secondes. 

Dédé - C'est tout à fait sublime.

madame Seadoo - Snorounanne a décrit la scène comme je l'ai vécue. Dans le message, je pouvais sentir ses inquiétudes, ses craintes, elle ne voulait pas déranger, nuire, offenser à la lecture de son texte. Mais... tout ce qu'elle a écrit... je ne pouvais pas en être indifférente. Ça m'a touchée. Elle m'a touchée, émue. Et c'est ce qui s'était passée.

Dédé - Est-ce que je peux dire une chose pour elle?

madame Seadoo- Oui, allez-y.

Dédé - Ne lui demandez pas pourquoi, comment. Ou... ou... n'insistez pas. Elle chemine vers le spirituel. On lui donnerait l'impression qu'elle ne connaît rien car, en général, elle n'a pas les réponses à toutes les questions et par contre, elle les a... à l'exception... à l'exception qu'elle doit s'ouvrir à chaque porte car elle y fait sa propre ouverture.

madame Seadoo - Je vois et je comprends ce que vous me dites à son sujet. J'ai la foi. Quoique... je m'en départissais de plus en plus. Et en cet instant-là, elle n'a fait que la remettre en moi. C'est ce que j'ai senti.

Dédé - C'est un ange terrestre, physique. (souriant) Je vous sers un café?

madame Seadoo - Ah seigneur! Comme je suis maladroite. Je vous oubliais. Vous... vous en voulez un?

Dédé - Venant de la grande boss, je ne peux refuser.

madame Seadoo - (se levant du canapé) Je vous reviens. Et... ce serait acceptable si nous prenions une bonne tarte au citron avec ce café?

Dédé - Je ne refuserai jamais ce p'tit délice, madame Seadoo. Merci.

Vous, mesdames et messieurs, ne pouvez vous mettre dans ma peau et capter, percevoir tout l'effet que j'ai eu en lisant le retour du message de madame Seadoo attestant la description telle quelle. Premièrement, vous vous demandez si cela est possible comme madame Seadoo se demandait. Deuxièmement, vous vous demandez si cela fait partie des péripéties à base d'humour et non de vérités.

Troisièmement, les gens qui ont en commun de vivre certaines choses dans le paranormal, ne se seront pas donnés ce niveau de difficulté à se questionner. Mais pour certains gens qui ne vivent en rien dans cette trajectoire, tout peut leur sembler sceptique. Et, je n'ai pas à vous convaincre de quoi que ce soit.

Mardi 10 mai 2011. Heure- 20:01

À mon plus grand plaisir et le vôtre... j'abordais l'émission "snorounanne reçoit ce soir" Je vous confierai que tous les invités ont l'air, et jusqu'ici, d'aimer la grande métropole. Nous sommes reconnus pour être accueillants, chaleureux et loin d'être achalants. Cette émission a été traduite en langue française canadienne.

snorounanne - Pour vous tous, accueillons la talentueuse et jolie Shania Twain! (applaudissements sous la chanson "From this moment on")

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L'originalité et l'authenticité chez cette dame

snorounanne - Bonsoir Shania! Je suis très heureuse de vous recevoir et que pourrait-on ajouter avec un si bel accueil par le public, ici, ce soir? Ne sont-ils pas supers?

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 Je serais demeurée de longues minutes dans ses bras. Mais, faut pas exagérer...

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Bon public, bonne écoute

Nous nous sommes assises en même temps et chacune le sourire se transmettait.

snorounanne - Café?

Shania Twain - Merci bien. Je suis un p'tit peu tendue.

snorounanne - Alors, la caféine va vous détendre ou vous redonner de la tension. (Elle prenait sa tasse de café)

Shania Twain - (buvant) Oh, il est... il est corsé!

snorounanne - Vous trouvez? C'est regrettable de vous servir un café qui n'est pas à votre goût. Attendez. Je vais exiger qu'on en prépare d'autre. Votre goût serait?

Shania Twain - Velouté. Comme votre sourire, snorounanne.

snorounanne - Ah oui? J'ai un sourire caféiné? (Elle pouffait de rire)

Shania Twain - Non. Un sourire velouté.

snorounanne - Simon? (C'était un des techniciens sur le plateau) Demandez à notre gentille demoiselle de derrière de refaire du café et cette fois-ci velouté, s'il vous plaît. Entendu? Merci.

Shania Twain - Allons donc...

snorounanne - Ne vous en faites pas. Ici, on ne calcule pas les dépenses. Juste avant de commencer les grandes lignes, Shania, nous prendrons ces quelques pauses commanditaires et allons revenir, tout de suite.

Shania Twain - Comme vous voulez.

Les pauses commanditaires de trois minutes et l'émission revenait en ondes.

snorounanne - Nous sommes de retour, mesdames et messieurs et comme invitée, ce soir, Shania Twain. Êtes-vous maintenant heureuse? On sait que vous avez eu une terrible période à passer à travers.

Shania Twain - Eh bien, après l'effondrement de mon mariage, j'ai cru ne plus pouvoir chanter de nouveau. Je n'avais plus envie de vivre après mon divorce. Vous voyez l'impact que ça créé en moi.

snorounanne - Vous avez eu trois disques de diamants, je tiens à le mentionner pour le public et vous reprenez le contrôle de votre vie peu à peu. Racontez-nous un peu... Shania. On est ici, en famille. Pas de secret... ou presque.

Shania Twain - Après ce divorce douloureux d'avec mon producteur de l'époque, Robert John Mutt Lange, après que celui-ci m'aie trompée avec ma meilleure amie, Marie-Anne Thiebaud, je vous confierai, snorounanne, ne plus pouvoir chanter de nouveau un jour à cause du stress engendré par ma séparation.

Au cours de cette interview, la deuxième accordée à la télévision en l'espace de cinq ans, Shania parle d'elle-même comme étant "un désordre émotionnel" quand elle a découvert la liaison des deux amants terribles, en 2008, et confie qu'elle souffre aujourd'hui de dysphonie, une maladie où les muscles compriment la boîte vocale.

Shania Twain - Mes peurs et mes angoisses me serraient la voix peu à peu, je l'ai perdue lentement et progressivement.

snorounanne -  Vous avez sorti votre autobiographie et je pense, la semaine dernière, si je ne me trompe pas. Elle est intitulée From this moment on, dans laquelle vous racontez vos quatorze ans de mariage avec votre producteur et comment vous avez failli perdre votre don le plus précieux, votre voix. 

- Et, on découvre dans votre livre que votre beau-père battait régulièrement votre mère et lui enfonçait la tête dans la cuvette des toilettes. Parallèlement, cet homme, un certain Jerry Twain, pour ne pas le nommer... vous abusait... sexuellement.

Shania Twain - (les yeux plein d'eau) C'est vrai. Et c'est un traumatisme dont j'avoue ne m’être jamais tout à fait remis.

snorounanne -  Vous apparaîtrez également dans une série documentaire intitulée Why not, qui fera bientôt ses débuts sur la chaîne d'Oprah Winfrey. Vous raconterez votre histoire, comment vous avez grandi dans la pauvreté et le jour où vous avez perdu votre mère et votre beau-père dans un tragique accident de voiture, vous laissant vouée à vous-même pour élever vos frères et soeurs.

Shania Twain - Oui, c'est exact.

snorounanne - (lisant mes notes) Et à noter qu'à 45 ans, vous avez retrouvé le bonheur avec un homme, votre nouveau mari Frédéric Thiebaud, épousé le 1er janvier 2011, qui n'est autre que l'ex-mari de votre meilleure amie. Le monde est étrangement petit, non?

Shania Twain - On jurerait vivre un roman-savon  digne d'une chose invraisemblable mais vraie!

snorounanne - Vous êtes heureuse et c'est tout ce qui compte. Les qu'en dira-t-on, on s'en fout! Shania? On a eu notre nouveau café velouté, on vous a servi pendant que la caméra vous focalisait, ma jolie. Et nous ne pourrions survivre sans commanditaires, alors, on y va et soyez de retour en même temps que nous, mesdames et messieurs! À plus!

snorounanne - (de retour à l'antenne) Ce soir, à mes côtés, Shania Twain. (appplaudissements nécessaires pour la survie)

Shania Twain - Vous êtes épatants, les gens de Montréal. J'aime beaucoup!

snorounanne - Vous affirmez que la fin de votre mariage, en 2008, vous a complètement dévastée, mais vous a ensuite donné encore plus de force et de courage.

Shania Twain - Il a fallu, un moment donné, que je me reprenne en main. J'étais inactive, inerte, sans vie. En quelques mots, je faisais peur.

snorounanne - Vous affirmez maintenant que ce divorce a eu un effet positif?

Shania Twain - Oui. J'avais besoin de ce coup de pied. Même si je ne sais pas tous les détails de cette aventure, j'affirme avoir essayé d'obtenir des réponses et j'avoue même avoir voulu récupérer son mari.

snorounanne - Vous admettez d'avoir écrit à votre meilleure amie, Marie-Anne Thiébaud.

Shania Twain - Je ne le cache pas, je l'admets. Je lui ai écrit lui demandant: Pourquoi me tortures-tu? Lâche prise, s'il te plaît. Va trouver l'amour ailleurs.

snorounanne - Et... et, elle vous a écoutée?

Shania Twain - Je sais, c'était pathétique. Mais nous vivons tous des moments pathétiques. Personne n'est au-dessus de ce genre de faiblesse. J'ai réussi à tourner la page. Et puis, j'ai un fils de 9 ans, Eja, à prendre soin. Donc... il était temps que je me relève.

snorounanne - Vous avez été sujette à du harcèlement? Ce que rapporte le magazine People.

Shania Twain - (hochant la tête) Lors de remises de prix des Juno, oui.

snorounanne - Un médecin a été accusé de harcèlement criminel, du nom de John Palumbo, agé de 50 ans, envers vous. L’homme a été arrêté  ce dimanche 27 mars à l’extérieur du Centre Air Canada de Toronto où se déroulait la cérémonie de remise de prix des Juno, durant laquelle vous avez été intronisée au Canadian Music Hall of Fame.

Shania Twain - C'est exact. Et ce soir-là, je ne m'étais aperçue de rien. Le 7 mars dernier, lors d’une audience, un juge avait ordonné à ce docteur de demeurer à au moins 500 mètres de moi.

snorounanne - Ce médecin aurait une obsession de longue date envers vous.

Shania Twain - À ce qu'il paraît, oui.

snorounanne - Et tout cela, vous en parlé dans votre livre, cette autobiographie, "From this moment on"

Shania Twain - Écrire ce livre m'a énormément sortie de cette torpeur, de ce néant, si je peux dire. J'espère qu'il sera traduit en français et que tout le monde pourra en bénéficier.

snorounanne - Assurément. On le souhaite. (regardant le régisseur) On me fait des signes insupportables. Shania, ma jolie, on prend un autre petit répit et on vous revient tout de suite après. Ne quittez pas!

Le mot de la fin et nous permettions à Shania Twain de nous chanter, cette chanson que tous et toutes se rappellent, from this moment on.

Passé les 22 heures, j'étais rentrée chez moi et grâce à Dédé. Puisque Genny ayant cette nouvelle profession, nouvelle carrière, nouvelle position aussi enrichissante, elle ne pouvait plus terminer à des heures régulières. Des enquêtes criminelles se prolongeaient. Et moi, bien, j'ai eu une journée mouvementée, émouvante et enrichissante.

Nous avions les samedis et dimanches à s'enrichir l'une et l'autre. À compléter nos humeurs, nos humours et notre amour.

Samedi soir 14 mai 2011

Elle m'avait prévenue en début de semaine, qu'elle allait recevoir des amis à manger. Oui... avec moi, il vaut mieux m'en parler à l'avance des projets, de certains projets. Je suis une rumineuse. La visite est bien mais faut-il vous remémoriser, mesdames et messieurs, que toute petite, la visite, pour moi, m'était une coupure à... je ne sais trop quoi.

Il faut juste que je m'y fasse et à l'âge que j'ai... ce n'est pas diable mieux, sauf que je ne le démontre peut-être moins que toute petite. Mais... un coup bien ancrée dans l'action, c'est un sentiment de plaisir et de bien-être. Je suis... ce qu'on appellerait communément "sauvage".

snorounanne - Oh! Du tonnerre! Nous avons le frigo entièrement vide. À part un contenant de six bouteilles de Stella Artois. Serons-nous plus que six personnes pour le souper, de ce soir, trésor?

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On se soûlera, c'est mieux que rien.

Geneviève Dubois - Je cours à l'épicerie acheter ce qu'il faut pour le souper. Ne te fais pas de souci à ce sujet. J'ai tout planifié. Tu n'auras qu'à servir les gars et les filles avec ton plus beau sourire sexy! J'y vais! À tout à l'heure, ma chérie.

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La bouffe... sans la bouffe, on ne peut survivre... bien longtemps

snorounanne - Comment pourrais-je aider, je ne sais pas ce qu'elle a l'intention de faire pour ce soir? Et pis... j'ai d'autres bonnes armes à mon attirail que je maîtrise. Je leur servirai du bon café... voilà.

Une soirée divinement loyale! Ses amis, tous des couples, sont des personnes très plaisantes. Les heures ont circulé sans longueur. Il passait 23 heures quand les invités avaient tous pris la porte.

Je rangeais ici et là, souriante, les plats, les ustensiles dans le lave-vaisselle, agréablement amusée d'avoir eu autant de chimie avec eux.

Et Genny avait cette délicatesse de m'intégrer et de me faire bien sentir avec les gens présents. Oui... comment, en quelque sorte, apprivoiser un animal sauvage? Je n'étais pas si sauvage... Il y a que tout mon être se sent différent à la première rencontre. C'est naturel, dira-t-on. Des questions se transfigurent. Va-t-on plaire? Va-t-on être apprécié? Va-t-on s'accommoder? Va-t-on s'amuser? Et cela est réciproque.

Alors... c'est naturel de se sentir comme ça. Mais il y a des gens qui se tracassent si peu, se soucient si peu... alors, est-ce aussi naturel? 

Je m'en fais trop... je pense trop... Et cela fait partie de mon être, même si j'apporte des corrections. Il faut simplement bien mesurer les doses sans en devenir excessif.

Eh bien nous y voilà! Pour clore le tout de ce chapître, je vous inviterais à appuyer sur le bouton "jouer" de l'audio et écouter Daniela Tell, elle peut être tracée sur youtube, interprétant la chanson de: From this moment on.

Il y a un petit bout que je n'avais pas déniché sur youtube, une personne ayant une voix aussi agréable que les chanteuses originales. Alors, vous serez servis. En l'écoutant, prenez soin de faire véhiculer des images qui vagueront avec les paroles, le sens des paroles de cette chanson. J'aurai mes images proprement dites.

Je vous remercie à chacun de vous pour la lecture. Passez de beaux instants et on se donne rendez-vous d'ici une semaine. À bientôt! Bisous!

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 tendrement, passionnément

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Une soirée qui se termine et une nuit qui commence

 
 


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