Il y a quelques mois, Sony annonçait officiellement la mort du baladeur. Autant dire, la fin d’un mythe puisque l’on a tous ou presque au moins un souvenir avec un walkman en main ou en poche !
Et c’est récemment que nous apprenions qu’un autre appareil historique avait lui aussi droit à sa fin de production par manque de commandes. Petit indice avec la vidéo suivante pour ceux et celles qui ne sont pas au courant.
Hé oui, il s’agit bel et bien de la machine à écrire, l’outil des écrivains (oui je sais, ça fait gros cliché mais en même temps, la vidéo est là pour me défendre…).
Rien de tel qu’une petite vidéo d’Arabesque pour se rebooster le moral hein :^D
Je ne pense pas faire plus long pour ce billet, juste vous laisser imaginer toutes les histoires qui ont pu être écrites sur ces machines, mais aussi les rapports militaires et j’en passe… Elle fût l’outil indispensable en son temps, la voilà maintenant relayer au rang d’artefact bon à ranger dans son placard. En même temps, à part ceux/celles qui font partis de la vieille école, je pense vraiment qu’il faut vivre avec son temps, s’adapter et se servir des (nouveaux) outils mis à notre disposition. C’est donc une fin logique de la machine à écrire si l’on suit mon raisonnement.
Quelques actuchiffres quand même
Ce blog ne serait pas sans les chiffres qui me servent à l’alimenter, je ne peux donc déroger à la règle et ne vous proposer de billets sans actuchiffres.
- Le dernier constructeur de machines à écrire produisait environ 400 machines à écrire par an.
- Jusqu’en 2009, la manufacture produisait de 10 000 à 12 000 machines par an.
- Le 25 novembre 1998, l’Australien Les Mudjimba a terminé de taper tous les nombres de 1 à 1 000 000 en toutes lettres sur sa machine à écrire. Pour établir ce record, il lui aura fallu consacrer/dépenser 16 années, sept machines à écrire, 10 rubans encreurs et 19 890 feuilles.
Source : http://www.bestofmicro.com/actualite/28968-machine-a-ecrire.html
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