Maison de Steve Jobs à Palo Alto (juillet 2007) © knsk
Palo Alto est une réplique ultra-aseptisée de Fairview (le cocon de « Desperate Housewives »). Dans cette ville de 60 000 âmes, à 50 kilomètres de San Francisco, les déjeuners bio sont de rigueur et la distraction principale consiste à suivre les Cardinals, l'équipe de basket de Stanford, la fac voisine, où l'on se rend en 4 x 4 hybride. A la table d'Il Fornaio, un Fouquet's pour geeks, on croise aussi bien Mark Zuckerberg, le créateur de Facebook, que John Doerr, l'investisseur qui a « fait » Amazon. Ici, Jobs a tout du citoyen ordinaire.
Depuis qu'il a annoncé qu'il quittait son poste de PDG de l'entreprise Apple, on a brossé maints portraits de Steve Jobs, l'homme d'affaires. Une de ses voisines a une toute autre vision de l'homme.
«Tout cela est vrai, mais ici à Palo Alto, Steve Jobs n'est pas uniquement une icône, c'est aussi le gars qui vit au bout de la rue», écrit Lisen Stromberg.
Dans son texte, la femme décrit un voisin ordinaire, qui nage dans la piscine avec ses enfants lors d'une fête de voisins et qui assiste aux réunions scolaires, où les autres parents «sont assis en faisant semblant qu'avoir Steve Jobs dans la pièce est tout à fait normal».
Elle raconte aussi, Halloween où Steve Jobs est déguisé en Frankenstein et qu'avec l'aide sa femme, ils transforment leur demeure en ''maison hantée'' ...
Mais aussi ces réunions de quartier et un tas de choses qui nous fais dire que Steve Jobs est finalement un voisin ordinaire...
À lire sur le blog de Lisen Stromberg
Vous pouvez nous suivre sur:
Google+
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble