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L'Effet Papillon 2

Publié le 09 septembre 2011 par Olivier Walmacq

effet_papillon_2

genre: fantastique
année: 2006
durée: 1h30

l'histoire: Un jeune homme découvre qu'il peut voyager dans le temps et, alors qu'il transforme des événements du passé, il s'aperçoit que cela a des conséquences sur le présent.
la critique d'Alice In Oliver:

Il faut bien le reconnaître, Ashton Kutcher avait surpris tout le monde dans L'effet Papillon, premier du nom, dans lequel l'acteur prouvait que son talent se résumait pas seulement à cachetonner dans des comédies américaines sans intérêt.
D'ailleurs, il n'est pas très étonnant de ne plus revoir Ashton Kutcher dans cette suite toute aussi nulle qu'inutile, soit l'Effet Papillon 2, réalisé par John R. Leonetti, un cinéaste déjà responsable de Mortal Kombat Destruction Finale.

Premièrement, on pouvait légitiment se demander l'intérêt de porter un nouvel épisode à un premier opus de qualité. Oui mais voilà, le sujet est porteur et largement exploitable.
Malheureusement, et c'est bien le problème de l'Effet Papillon 2, cette suite n'apporte rien de plus au premier épisode. D'ailleurs, il n'a quasiment aucun rapport avec son prédécesseur.

Comme je l'ai déjà souligné, Ashton Kutcher n'est plus de la partie, c'est le fadasse Eric Lively qui le remplace et qui est lui aussi victime de voyages temporels à travers son propre passé.
Le pauvre jeune homme a perdu tragiquement sa fiancée mais la découverte de sa nouvelle capacité (à savoir les sauts dans le temps) lui permettent de rectifier cette erreur. Ce qui ne sera pas sans conséquence par la suite.

Malheureusement, l'ensemble ressemble à un téléfilm de seconde zone et ne parvient jamais à convaincre. Même les fans absolus du premier chapitre risquent de passer leur chemin, tant cet Effet Papilon 2 est un pétard mouillé: scénario nul, personnages lisses et peu attachants, sans compter une absence totale d'intrigue. Bref, à fuir ! Toutefois, conscients de l'échec artistique de ce second opus, les producteurs proposeront un troisième opus un peu plus intéressant (pas trop difficile en même temps...).

Note: 0/20
Note naveteuse: 16.5/20


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