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MIB - Les hommes en noir (article 121)

Publié le 29 septembre 2011 par Snorounanne

Veuillez faire jouer l'audio au moment que je le signalerai et pour les nouveaux lecteurs, lire le descriptif, merci.

En quoi l'homme croit?

Je crois en l'humain, je crois en l'humanité. Et je ne vous prouverai rien pour que vous me croyez quand je parle de ce cartable rouge dont le véritable nom à écrire, à dire serait: une reliure à anneaux. Je préfère, cartable rouge, ici, nous savons de quoi nous voulons parler. Parmi vous, les lecteurs, je doute que vous l'ayez vue, feuilletée. Mais... quelques personnes que j'ai connues par le biais de l'internet, l'ont vue, l'ont feuilletée. Ma famille est la première à l'avoir initiée.

J'en ai déjà parlé dans un autre article. Ne craignez rien, ces personnes ne sont pas mortes. Mais... oui le "mais" est essentiel à écrire. Le contact avec ces personnes s'est estompé.

Aujourd'hui, après avoir suivi les conseils de mon partenaire de travail, mon collaborateur, mon bras droit, mon collègue de travail, Dédé, je fais peu mention de ce cartable rouge contenant des écritures codées et symboliques. La raison est toute simple, mesdames et messieurs.  Personne ne les comprend. Sauf une dame qui était avancée dans la lecture de l'alphabet ancien, encore là, elle m'avait dit que pour les déchiffrer, cela allait être long.

Je lui avais fait confiance et je lui avais laissé ce cartable rouge à anneaux, ainsi que nous, les Québécois appelons ce matériel. Et, elle devait le scruter, analyser tous les week-ends, se pencher sur ce cas. Mais... oui! Voyez-vous combien de "mais" suis-je cachetée? Bref... mon quotidien est bourré de "si", de "mais".

Cette dame distançait... et plus elle distançait plus je m'en inquiétais. Elle ne retournait pas plus mes appels. Je la voyais connectée sur messenger, je lui écrivais en direct et elle ne répondait pas. Donc, j'ai dû utiliser la force des mots dans un courriel et seulement à ce moment, qu'elle avait décidé de me répondre. Je lui demandais de m'expédier le cartable rouge.

Elle l'avait fait mais s'était moquée tout de même de la façon que je m'étais exprimée. Toutes ces expériences avec les gens croisés me font réaliser que je ne peux mettre ces choses entre leur main. Dédé a raison. Le temps viendra.

Voici par divers témoins ce qu'ils ont décrit du comportement de ces MIB:

Les MIB semblent toujours posséder des informations précises sur les personnes auxquelles ils rendent visite, comme si ces personnes avaient été sous surveillance pendant une longue période. Ils sembleraient être désorientés par la nature des objets de la vie quotidienne (stylos, ustensiles, nourriture, etc.), et par l'utilisation d'un argot dépassé. Le comportement des hommes en noir varierait d'une personne à l'autre. Ils agiraient comme s'ils provenaient d'une agence cherchant à collecter des données sur les phénomènes inexpliqués, utilisant des instruments pour effacer les souvenirs de la mémoire, supprimant des informations, essayant de convaincre leurs sujets que les phénomènes dont ils ont été les témoins n'ont jamais existé. Un flash lumineux (d'allure photographique) précèderait ou accompagnerait parfois leur rencontre. Ce phénomène est expliqué dans le film par les Neuralyseurs (neuralyzers) dont se servent les MIB pour effacer sélectivement la mémoire des individus témoins de ces phénomènes.

 

Je dois être prudente. Et je le suis. Étant chez ma mère pour quelques temps. Ma maison était une perte totale. Je n'avais pas raté le coup de l'incendier. Nous allions en ce lundi 26 septembre au super marché, faire de l'épicerie.

Par bonheur, à cette heure, il n'y avait pas de bambins criards et braillards. Et par malheur, une dame parmi tant d'autres m'apostrophait par le bras en s'excusant m'ayant reconnue.

 

dame au supermarché - Excusez-moi...

snorounanne - Oui?

dame au supermarché - Je ne voudrais pas vous importuner, mais vous êtes bien madame d'Humour celle qu'on voit à la télé?

snorounanne - Elle-même.

dame au supermarché - (fouillant dans le chariot d'épicerie) Alors, dans ce journal, il est question de vous, madame d'Humour. Je trouve cela très désolant. Je compatis avec vous et je prie Dieu pour que la police retrouve votre douce moitié. Je comprends votre geste de détresse. (elle dépliait le journal à mes yeux)

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Il fallait que l'insdustrie du journalisme en parle. Je m'y attendais.

snorounanne - Merci madame pour votre sollicitude. (Je rejoignais ma mère)

madame d'Humour - (comptoir de légumes) J'ai envie de faire un bon bouilli aux légumes avec des cubes de boeuf. Elles ont l'air appétissantes, ces carottes.

snorounanne - Ils en parlent dans les journaux. Je savais qu'ils en parleraient. Je ne chercherai pas à connaître l'identité du chroniqueur. Mais, je savais qu'ils allaient tôt au tard en parler.

madame d'Humour - Avons-nous perdu des minutes de temps? Je ne vois pas de quoi tu causes. À bien y penser, ce paquet est plus frais.

snorounanne - Cette dame qui est passée devant nous, tu la vois... eh bien, elle m'a fait voir le journal Allô Police... maman, tu ne m'écoutes pas! (elle me tournait le dos) maman? (quelque chose d'inusité se passait)

Inopinément toute ma vision s'embrouillait. Je n'ai eu le temps que de penser rapidement à: je suis dans un rêve! Et j'étais propulsée dans une sorte d'entonnoir, de tourbillon, d'un tunnel. J'entendais des sons, de la musique, des violons, je ne voyais plus mon corps. Seule une sensation d'être là, en pensée et étant attirée vers une force...

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 La lumière... cette lumière blanche. Un déjà vu.

Alors, je rêvais, donc, je dormais... et je n'arrivais pas à me réveiller. J'enfilais ce couloir à une vitesse vertigineuse. Puis! Les deux pieds touchant le sol, je venais de raccrocher le téléphone et c'en était un public. Je me tournais et faisais face à deux horreurs. Le coeur remontait à la gorge, les tempes sautaient, mon estomac chavirait. Ils étaient devant moi...

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 MIB - Hommes en noir.

Ma peur de les voir un jour en réel. Mais, je les ai sans doute déjà croisés et ils sont imprévisibles, ils peuvent traverser toutes les dimensions. Ce qui pour eux... s'infiltrer dans les rêves est un jeu d'enfant.

 

homme de gauche - Maison qui brûle, élémentaire. Qui vous a formée? De quel numéro d'identification figurez-vous?

snorounanne - Vous... vous êtes dans mon rêve. Je n'ai pas à répondre à vos  questions insolentes.

homme de droite - Dites-nous où est cachée la reliure?

snorounnane - La... (secouais la tête) Elle n'est pas cachée, elle a brûlé, elle est en cendres tout comme ma maison, crapule!

homme de droite - Donnez votre identification.

snorounanne - (des étourdissements dans ma tête) Je vais vomir, putain de merde...

homme de gauche - (regardait l'autre à sa droite) Impossible d'accéder à sa mémoire. Trop d'interférences.

 

Dès l'instant qu'ils quittaient, mon âme se détachait du corps et une fois de plus je me trouvais à être éjectée quelque part où cette lumière nous remplit d'immensité.

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Était-ce cet endroit où la lumière nous accueillait?

Je ne pouvais coïncider dans un rêve et en même temps littéralement être dans un phénomène extraordinaire étant celui de vivre l'accueil de la lumière une fois morte... était-ce possible?

Je discernais... une silhouette d'une femme face à moi, mais oui! C'était Genny! C'était elle, nom de dieu! Mais... mais qui était ce colosse à ses côtés? Silhouette d'un homme...

snorounanne - Genny, c'est toi? Je te sens. Je te sens, Genny. Dis-moi... dis-moi où tu es? Genny, tu m'entends? Je ne sais pas ce qui m'arrive, en ce moment. Et peut-être que si... (regardant tout autour) Merde... je ne suis pas morte et pourtant... (j'entendais une voix m'interpellant) Genny, je ne te perçois pas très bien. Tu essaies de me parler? Dis-moi seulement que tu vas bien... dis-moi, bordel, où tu es!

Puis la voix me disait: "Ma chérie, tu es là?"

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Elle figurait dans mon rêve. Je rêvais...

J'ouvrais mes yeux avec la sensation d'avoir voyagé des heures et des heures. Et une tristesse insondable me noyait. Je pleurais et les larmes ne coulaient pas. Est-ce que ces rêves signifiaient clairement que Genny n'était plus du monde des vivants? Et cet homme... était-ce une simple projection d'image pour me faire comprendre que le tueur était, lui aussi, mort?

En ce lundi 26 septembre 2011, après l'heure du dîner, un appel téléphonique de haute importance. L'appel était déjà en vigueur depuis une dizaine de minutes.

snorounanne - Monsieur Péladeau, je demande une semaine de vacances tout au plus. (il me l'accordait) Oh! Je vous suis reconnaissante. J'ai besoin de me ressourcer. Et je connais un endroit tout à fait à point pour me reposer. Merci, monsieur Péladeau. Je reviendrai toute fraîche, d'ici lundi prochain. (raccrochais le téléphone)

madame d'Humour - C'est fait? Alors, tu t'en iras me laissant avec tes deux chats, leur soin quotidien, le nettoyage du bac.

snorounanne - Maman, ce ne sera juste que pour une semaine. Je dois faire quelque chose pour moi, pour mon bien. J'ai un autre appel à faire, tu m'excuseras.

madame d'Humour - Si tu as besoin de moi, je serai dehors, dans la cour, autour des fleurs.

snorounanne - Entendu. (déroulais le répertoire des numéros de téléphones et composais le bon)

madame d'Humour - Oh... pendant que j'y pense... Une certaine Emily a téléphoné tout à l'heure. Tu étais occupée.

snorounanne - A-t-elle laissé un message?

madame d'Humour - Oui. De la rappeler, s'il te plaît.

snorounanne - Merci maman. (la sonnerie du téléphone, trois fois et on décrochait) Allô Jodie?

Jodie Foster - Tiens, tiens! Ma belle adorée des iles! Comment vas-tu? SI je peux me permettre de le demander... pas tous les jours qu'on voit une femme épandre de l'essence dans toutes les pièces de la maison et craquer une allumette. C'est un coup de maître.

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 Aussi belle qu'au cinéma.

snorounanne - Tu as fini de m'enfoncer le clou dans la plaie?

Jodie Foster - On dit le fer dans la plaie. Alors, tu as décidé?

snorounanne - Oui.

Jodie Foster - (petit silence) Oui et quoi?

snorounanne - Oui, j'accepte. Mais je n'ai rien prévu pour le billet d'avion, l'autobus.

Jodie Foster - T'inquiète, j'ai tout prévu. Tu n'as qu'à te présenter à l'aéroport, leur donner mon nom véritable. Pas celui de la vedette, pour les vérifications, tu comprends? Et tout est payé, ma chérie. Ne te soucie de rien. Je serai au terminus, demain à l'heure convenue. Tu es rassurée?

snorounanne - Oui. Surprise mais rassurée. Dans ce cas, à demain, Jodie. Et merci pour tout. (raccrochais la ligne)

 

Eh oui, comme vous le voyez, je partirai demain pour Los Angeles. Pour moins d'une semaine puisqu'il faut revenir pour lundi prochain et nous serons en début d'octobre, mesdames et messieurs. Que le temps passe vite!

Ne vous écartez pas trop de la lecture... car... on fait un grand bond, en soirée!

 

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Emily et moi marchions sur les rues de Sainte-Rose, chacune un café à la main, après avoir pris un bon petit souper au restaurant.

Emily Bordeleau - Toute une compilation de rêves étranges pour une seule nuit. Je ne m'y connais pas trop dans les interprétations, il y a sous cela, des signes évidents, des réponses évidentes. Que seule toi découvriras.

snorounanne - Je suis passée avec ma mère hier, voir ce qu'il en restait de ma maison. Ça sentait encore le calciné. Un policier m'a permis de circuler, je devais m'identifier et...

Emily Bordeleau - Et?

snorounanne - Excuse-moi. (des sons, des chuchotements je percevais en moi) Je vais rentrer. Je suis un peu fatiguée et demain, je dois être prête. L'avion décollera pour 9 heures.

Emily Bordeleau - Tu me manqueras. (puis un sourire) À tous!

snorounanne - À tous, j'en doute. (dirigeant nos pas vers la voiture) J'ai passé une chouette soirée. Merci.

Emily Bordeleau - Pareil pour moi. Tu es une personne de bonne compagnie. Il me sera difficile ces jours-ci de ne pas te savoir au travail ou de ne pas te voir déambuler les couloirs. Je vais m'ennuyer.

snorounanne - Je te laisserai des textos. (mince clin d'oeil)

Emily Bordeleau - Non. N'en fais rien. Prends ces jours pour toi. (arrivaient à la voiture) Tu sais? Tu as de la chance d'avoir une amie comme Jodie. Je suis certaine qu'elle est une femme formidable et là-bas, tu te videras pour mieux te remplir d'énergie.

snorounanne - En vérité, je vais là-bas pour me ressourcer. Elle a un splendide domaine avec une vue magnifique naturelle. La seule personne qui me faisait sentir merveilleusement bien... (ouvrant la portière de la voiture) je ne sais plus si je la reverrai.

Emily Bordeleau - (montait dans la voiture) Geneviève est une femme très forte et très courageuse. Je... je ne la connais pas pour autant. Mais, chez certaines personnes, certaines valeurs se détectent plus facilement. 

 

Mardi 27 septembre, heure: 14:10 à Montréal et 11:10 à Los Angeles.

 

L'autocar communément appelé par chez nous, l'autobus faisait une halte au terminus et ce terminus où je descendais.

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Nous y voilà!

J'y étais, là, assise, sagement, calmement, paisiblement, tranquillement, sereinement mais diable! Que faisait-elle?

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Il n'était pas trop tôt. Misère!

Jodie Foster - (sortait de la voiture) Désolée, ma p'tite chérie! J'ai brûlé un feu rouge et on m'a collé une contravention que j'suis pas prête d'oublier.

snorounanne - Tu es là, c'est tout ce qui compte. (Trimballais mon chariot)

Jodie Foster - (s'approchait et m'embrassait sur la joue) Laisse-moi le tirer. Et puis, l'avion, c'était bien?

snorounanne - Oui.

Jodie Foster - (ouvrait le coffret de la voiture) Et, et, l'autobus?

snorounanne - Oui.

Jodie Foster - (déposait le tout et fermait le coffret) Bien! Allons maintenant à la maison. Tout est prêt pour t'accueillir, ma jolie. Ta chambre, ta salle de bain. Mes enfants sont chez une tante.

snorounanne - Et tu n'as plus de petite amie, je sais.

Jodie Foster - Je vois que tu t'intéresses toujours à moi. (sourire moqueur)

snorounanne - (Jodie m'ouvrait la portière) Ça fait partie de mon boulot. Merci. (montais dans l'auto)

Jodie Foster - (montait, s'asseyait, bouclait la ceinture et démarrait l'auto) Tu seras libre de faire ce que tu voudras. Je saurai être discrète. La discrétion, ça me connaît. En route!

Le lendemain matin, mercredi 28 septembre, Jodie et moi étions allée dans un gym pour exercer notre endurance. J'avais la langue à terre. J'ai fait des choses que jamais encore je n'avais faite. Nous sortions de l'établissement après presque deux heures de torture. Pour moi, c'en était une et pour Jodie, c'était un bel entraînement. Nous avions reçu des brochures, des cahiers, enfin, tout ce que ces entraîneurs pouvaient trouver à nous offrir pour en faire un brin de lecture.

snorounanne - Je crois pas faire cette activité régulièrement.

Jodie Foster - Mais il faut, ma cocotte. Pour ton cardio, c'est excellent. Tu en prendras l'habitude.

snorounanne - Non. Je deviendrai grosse, lâche, paresseuse et je finirai amorphe dans mon lit avec 400 livres en trop.

 

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 Pire que d'aller à l'école...

Jodie Foster - Si c'est ça que tu veux. Je t'apporterai chaque jour de petits gâteaux au caramel et je t'encouragerai à manger pour refouler tes émotions.

snorounanne - Ah, je sais que je dis des bêtises. Je dois prendre soin de mon corps. Mais, je refuse d'être diriger par des mâles musclés des pectoraux et des femelles minces et sveltes et qui ont subis des transformations extrêmes... (riais de bon coeur) Tu les as vus? Non, c'est pas croyable. Barbie et Ken en personne!

Jodie Foster - Maintenant et ce n'est que maintenant, nous prendrons un bon déjeuner à la maison. Avec tout plein de fruits comme tu aimes, ma belle petite chérie. (s'arrêtait promptement) pardon. Je n'ai pas à t'appeler ma petite chérie. J'oubliais... j'en oubliais presque le mal que tu as.

snorounanne - Ça passera. On dit que tout finit par passer avec le temps.

 

Chez Jodie à la maison. Je venais de lui conter ces bizarres de rêves. Elle semblait sidérée, figée.

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La peine se lisait sur son visage à elle aussi.

Jodie Foster - J'aimerais que ce cauchemar que tu vis prenne fin, snorounanne. Tu dois... tu dois te battre. Ne pas baisser les bras. Ne jamais abandonner. Ta force est unique, ultime. Sers-t-en.

snorounanne - Elle essaie de communiquer quelque chose par tous les moyens. J'y suis presque parvenue l'autre nuit. Je devrais mieux me sentir, non? Ce merdier de cartable rouge, je l'ai détruit! Et ces crapules de... ces êtres... merde! Est-ce que je deviens folle? Est-ce que tout ça n'est que mon imagination? Jodie...

Jodie Foster - (sortait de sa bulle de réflexion) non. Bien sûr que non. Tu es parfaitement lucide. Et je crois que ces êtres existent. On en parle dans les journaux, les magazines, des émissions spéciales à la télé, sur le net. Ils sont réels.

snorounanne - Pourquoi ne viennent-ils pas frapper à la porte et me dire de me taire, sinon... pourquoi ne sont-ils jamais venus pour quelque raison que ce soit? Pourquoi ne les vois-je seulement quand dans des visions... des rêves? Pourquoi n'ont-ils pas fait les mêmes choses à moi qu'ils ont fait à ces autres personnes qui ont vu, entendu? Pourquoi Jodie... pourquoi...?

Jodie Foster - (me prenait dans ses bras) Parce que tout simplement, je crois qu'ils savent que tu as une forte perception et que tu en es protégée. (voyait que je tremblais) Tu trembles... pauvre amour... tu trembles. (me serrait fort contre elle)

snorounanne - (me laissais aller, je pleurais et je tremblais) Je ne sais plus où j'en suis... je ne sais pas ce que je dois faire... je me sens si seule!

 

Les heures s'estompaient au fil de cette journée. Vous en êtes rendu compte... il n'y avait pas de reportage ni d'émission. Il n'y avait que ce fond de l'âme en lecture, mesdames et messieurs. pour une des rares fois, je me suis abandonnée.

Samedi, dernier soir que je dormais chez Jodie. Chaque jour me remplissait d'amour et de tendresse. Chaque jour mon état d'être et d'âme s'équilibrait. Il était aux environs de 23 heures 11. Jodie n'était pas encore au lit. Dans le sien, n'allez pas croire qu'il y avait eu des nuits torrides. Et Emily, au retour d'une soirée recevait un colis mystérieux. Une livraison express... avais-je commis? Je vous dirais que oui.

C'est ainsi que les rideaux vont baisser sur ces images que vous verrez en appliquant votre doigté sur le bouton jouer pour l'audio. Une chanson qu'interprète Mary J. Blige le titre: Sorry seems to be the hardest word. Bonne écoute! Et merci d'avoir cette gentillesse de passer et de lire ces chroniques grandissant de semaine en semaine. À bientôt! Bisous!

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Sexy... troublante mais je dormais, je ne pouvais le savoir.

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Qui donnerait une si belle fleur unique en son genre à une femme unique en son genre?

J'avais écrit un petit mot: "Pour une personne unique en son genre. D'une amie à une amie".


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