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Fusillade sur le pont du Wouri : Aucun suspect arrêté

Publié le 03 octobre 2011 par 237online @237online
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Fusillade sur le pont du Wouri : Aucun suspect arrêtéLe dispositif de sécurité a été néanmoins renforcé autour du pont. La première observation lorsqu'on traverse le pont sur le Wouri, c'est que le nombre d'hommes en tenue habituellement présent a triplée depuis la fusillade de jeudi dernier. Mais aussi qu'aucun corps n'a été repêché ni sur les eaux du fleuve ou sur les environs jusqu'à hier dimanche 2 octobre 2011. Et le jeudi 29 septembre 2011 au soir, une réunion de sécurité s'est tenue dans les services du Gouverneur de la région du Littoral. Le principal sujet était la fusillade qui a crée la panique dans la ville de Douala parce qu'un homme armé à bloqué la circulation sur le pont sur le Wouri pendant plus de 2 heures. Aucune remonté à la surface 72 heures après la plongée de «assaillants» armés dans le fleuve. De selon une source policière, le rassemblement des troupes, le pointage des armes et le nombre de munitions et du matériels par unité a été effectué. Une réunion de sécurité a suivi dans les services du gouverneur de la région du Littoral. Les éléments de la Direction générale des renseignements (Dgre) venus de Yaoundé y ont pris part. Surtout que le même jeudi 29 septembre 2011, une grenade a été découverte dans un bureau d'Elecam dans la Région du Sud-ouest. Et pour couronner le tout un autre incident d'un groupe d'assaillants qui se préparaient à barrer le pont sur la Dibamba aurait également été signalé. De quoi susciter des inquiétudes. La première mesure observée c'est ce sont les militaires qui régulent la circulation sur le pont qui traverse le fleuve Wouri. Ils se relayent à longueur de journées et y veillent de jour comme de nuit. Il y'a un prolongement de sécurité jusqu'à Bonassama à la sortie du pont et jusqu'au marché Sandaga à l'entrée. Contrairement à ce qui était observé les jours calmes, les militaires se retrouvent même dans les bosquets de la base. Elf L'attaque qui a été revendiqué par Bertin Kisob leader du «Cameroon For Social Justice» n'a pas fait de morts. Pourtant de source policière, Bertin Kisob n'est pas un novice dans les milieux militaires, il aurait faits ses études en Israël, fils d'un haut gradé dans l'armée camerounaise, il aurait été arrêté lors du cinquantenaire des armées à Bamenda pour «trouble et détention d'armes de guerre». En rappel, le temps a suspendu son cours le jeudi 29 septembre 2011 à Douala. Au point que la circulation s'est interrompue à partir du rond point Deïdo. De nombreux coups de feu ont été tirés en l'air et sur les véhicules par un homme armé arborant une tenue militaire. Ce dernier et ses complices avaient pris la peine de barrer l'une des entrées du pont sur le fleuve Wouri. Après son forfait, des témoins soutiennent que le mis en cause a sauté dans les eaux. Une situation qui a crée un vent de panique. Des embarcations du bataillon d'intervention rapide (Bir), les gendarmes et policiers ont investi les lieux. Un communiqué signé du gouverneur de la région du Littoral est venu rassurer les populations. Et depuis lors plus rien n'a filtré. On sait tout juste que l'enquête suit son cours
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