Il y a d'abord le sport, du grand sport avec une Coupe du monde de dressage et une Coupe du monde de saut d'obstacles. Deux compétitions du plus haut niveau et qui ravissent non seulement les 6000 spectateurs de l'arène lyonnaise présents chaque soir mais aussi les cavaliers qui répètent chaque année combien ils apprécient ce rendez-vous. Vendredi soir, l'Allemande Ulla Salzgebber, victorieuse du dressage, reprit ainsi le micro après la conférence de presse pour remercier les organisateurs d'offrir aux participants une des plus belles épreuves au monde. Et pour une fois, cela semblait sincère (certains cavaliers, très démago, ont tendance à répéter ça dans tous les concours où ils passent). En 2014, Sylvie Robert, la grande organisatrice de cet événement (une femme admirable), a même décroché les finales des Coupes du monde de dressage et de saut d'obstacles.
Et puis il y a aussi tous les à-côtés avec le spectacle (cette année le Cadre Noir de Saumur accompagné par l'orchestre de Lyon), le salon où ça grouille de partout (gare à la surchauffe de la carte bleue), les sandwiches raclette incontournables, la soirée du samedi soir particulièrement charmante cette année... et "naturelle". Equita'Lyon, c'est aussi un point de rencontre. Ce fut encore un grand plaisir de croiser Maxime Collard, Cécilia des Etoiles de Pau, Barbara, Marlène, Marie, Amélie et plein d'autres. Pour résumer : à Equita'Lyon, on est heureux !
J'en profite pour remercier Camille Judet-Chéret, ma consultante en dressage, et Olivier Guillon consultant sur l’Equita Masters. Les vidéos de ces compétitions que j'ai eu le plaisir de commenter sont visibles ICI pour le dressage et ICI pour l'Equita Masters by Equidia. Le Grand Prix Coupe du monde de saut commenté par Kamel Boudra et où je recueillais les réactions en sortie de piste est ICI. (une fois sur la page, cliquer sur "accéder à equidiawatch" en haut à droite et ça marche)
Ce périple lyonnais fut aussi l’occasion de découvrir de nouvelles disciplines et en particulier
l’équitation western. Parce que le dada c’est un peu comme l’automobile. Vu de loin, on pourrait penser que tous les chevaux se ressemblent. Que nenni…
(comme disent les chevaux… (ok, je sors)...). Il y a par exemple autant de différences entre des chevaux de dressage, de saut d’obstacles ou de reining qu’entre une voiture de rallye, de F1 ou de stoke car.
La présence à Equita de ces différentes familles permet donc d’avoir un tableau très complet de toutes les « familles » du dada. Des familles qui ne se côtoient guère hélas. Peu de cowboys du côté du saut et inversement. Cela m’a un peu rappelé le
Roc d’Azur en VTT, avec d’un côté les adeptes du VTT « traditionnel » de cross-country et de l’autre les p’tits jeunes casse-cou qui font des galipettes sur les tas de sable avec leur VTT ou leur BMX, boostés par une sono poussée à fond, des animateurs survoltés, le tout sur fond de pom-pom girls court vêtues (pléonasme).
Pour en revenir à l'équitation western, je vous recommande les articles de Sophie Lebeuf parus sur le blog de la rédac des Sports équestres d'Equidia. Un grand merci à elle.
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Un peu de squash. Eh oui, cela faisait longtemps. Il y a quelques jours,
Greg Gaultier (ci-contre) a en effet remporté l’Open du Qatar l’un des plus gros tournois de la saison. Pour les nouveaux venus sur ce blog, le squash fut l’une de mes « boutiques » lors de ma vie précédente à L’Equipe. Peu de choses ont changé ces dernières années. A 35 ans,
Thierry Lincou (ci-dessous), « le Patron » comme le surnomme Framboise du site référence sitesquash, est toujours au plus haut niveau. Autrefois numéro 1 mondial, il est toujours membre du top 10. Et cela fait plus de dix ans que ça dure.
A 28 ans, Greg Gaultier revient lui aussi comme le prouve donc son succès au Qatar. Numéro 1 mondial lui aussi en novembre 2009 avant de tomber dans une sorte de dépression, le Vosgien, six fois champion d’Europe, est aujourd’hui n°5 et revient fort. Les deux hommes disputent cette semaine le World Open, à savoir le Championnat du monde. Greg en fut finaliste en 2006 et 2007. Et si c’était la bonne année pour voir le premier français champion du monde dans un sport dominé depuis quelques années par l’Egypte 5’ dans le top 8) même si c’est actuellement le Britannique Nick Matthew qui est le n°1 planétaire.
Chez les femmes, la meilleure française est actuellement
Camille Serme. A 22 ans, la Cristolienne pointe actuellement au 9e rang mondial d’un classement dominé depuis une éternité (sans interruption depuis août 2006) par la Malaisienne Nicol David. Autrefois dans le Top 10 (en 2009), Isa Stoehr, membre du club des chouchoutes de ce blog, est toujours n°57. La faute à toute une série de maudites blessures qui la privent une fois encore des Championnats du monde.
En ce mardi soir, Greg, Titi et Camille sont tous les trois en huitième de finale des Mondiaux qui se disputent cette semaine à Rotterdam
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Ce week-end aura lieu le
Marathon de New York. J’ai eu la chance d’y participer à deux reprises et cela reste à chaque fois comme un grand moment. L’entrée sur Manhattan, avec l'arrivée sur la 1re avenue reste aujourd’hui encore comme
ma plus grosse émotion de « sportif » juste devant la montée du Solarberg à l’Ironman de Roth ou le départ de l’UTMB à Chamonix.
Quelle sensation, après avoir quitté Brooklyn puis le Queens par le Queensborough de se retrouver dans un tel décor de film. Un virage en épingle à la descente du pont et l’impression d’entrer dans une arène, encouragé par des milliers de spectateurs entassés sur plusieurs rangs le long des barrières. La sensation de ne même plus entendre son souffle. Et à l’horizon, cette première avenue avec un faux plat montant qui offre l’impression de voir une immense vague animée, telle la houle, par le rythme des foulées des coureurs. Magique. Alors une grosse pensée pour tous ceux qui vont à leur tour connaître ce moment unique ou la redécouvrir.
Les habitué(e)s de ce blog sont prié(e)s de ne pas rire aux lignes qui vont suivre. Equita’Lyon marquant la fin d’une intensive période de travail, je vais essayer de reprendre un entraînement digne de ce nom dans les semaines à venir. Eh oui, une fois encore... J’étais plutôt bien reparti au mois d’août
(des semaines entre 8 et 10 heures) avant de devoir mettre le sport entre parenthèses ces dernières semaines because trop de taf. Il est donc temps de s’y recoller. Une fois encore… Evidemment, la Saintélyon un temps évoquée est oubliée depuis un moment. 69km de trail, ça ne s’improvise pas et avec le peu d’entraînement sérieux depuis plus d’un mois, j’imagine bien la galère… Mais comme j’ai besoin d’objectifs pour avancer, on va dire que les 80km de l’Ecotrail de Paris, le 24 mars
(www.traildeparis.com), pourraient constituer un bon point de mire pour se faire un peu violence cet
hiver. Mais contrairement aux années précédentes, objectif trail ne signifiera pas entraînement trail. Pour le gros gabarit que je suis, la course à pied est relativement traumatisante et je suis aujourd’hui convaincu que je dois plutôt m’orienter vers un entraînement davantage typé triathlon que trail proprement dit. Vélo et natation sont à mon avis d’excellents compléments à la course qui, si elle demeure bien évidemment la base, ne doit pas être exclusive. Et puis quelque chose me dit que je devrais assez vite tester les séances d’Urban Challenge que je vous présentais la dernière fois.
Alors histoire de reprendre les bonnes vielles habitudes, je vais retenter de mettre ici le détail de mes séances. Façon aussi de me mettre la pression et de me bouger le c…
Mardi
Course à pied : 1 heure cool
Après une très agréable et charmante prolongation lyonnaise (un grand merci pour tout Béné), de retour d’Equita’Lyon, THE concours indoor de la saison. Plus de 100 000 visiteurs en cinq jours, un salon de 10 000m2 et surtout une ambiance à nulle autre pareille. C’est, je le répète chaque année, mon concours préféré.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble