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Test de Assassin's Creed Revelations

Publié le 31 janvier 2012 par Axime
Test de Assassin's Creed Revelations

Avec un Assassin's Creed III qui peine à pointer le bout de son nez et un nouveau titre faisant suite au deuxième opus tous les ans, on peut se demander si la saga Assassin's Creed n'est pas en train de s'essouffler. Cette série apparue en 2007 avait apporté un petit vent de fraicheur dans l'univers du jeu vidéo, forte d'une expérience de jeu novatrice et surtout d'un univers extrêmement riche. Le deuxième volet nous transportait de l'ancestrale cité des assassins nommée Masyaf et dans laquelle on incarnait Altaïr à la ville de Rome en pleine période de la Renaissance dans la peau d'Ezio Auditore. S'en est suivi Assassin's Creed Brotherhood, reprenant le personnage de notre Don Juan meurtrier dans de nouvelles aventures, faisant directement suite au deuxième opus de la série. Cette année, on retrouve pour la dernière fois Ezio dans le dernier-né de la saga, estampillé Revelations. Alors que vaut ce titre, sorti à peine un an près Brotherhood ? Les révélations sont-elles bien au rendez-vous ? Ubisoft est-il en train de sombrer dans une politique de surexploitation d'une de ses sagas phare ?
Constantinople, un nom plus classe qu'Istanbul ou Byzance
Entrons dans le vif du sujet et ceux qui prennent le train en route réviseront plus tard. Après les événements de Brotherhood, Desmond est sous le choc et il est maintenu dans l'Animus. Impossible pour lui d'en sortir et son seul contact avec une entité réelle se fait avec le sujet 16, la personne choisie par la société Abstergo avant lui pour explorer le passé, coincé lui aussi dans le programme. C'est grâce à ce dernier que Desmond va pouvoir retourner sans encombre dans les souvenirs de son ancêtre italien afin de découvrir ce qu'il a découvert bien des années après ses péripéties à Rome.
Sur les traces d'Altaïr, Ezio quitte l'Italie pour se rendre à Masyaf et découvrir quels secrets sont restés cachés entre les murs de la forteresse des assassins. Durant ses courtes recherches, notre protagoniste apprend que pour accéder à la bibliothèque de la forteresse, il lui faut récupérer cinq clés disséminées dans Constantinople, dont une déjà trouvée par les Templiers. Ainsi, l'aventure va se décomposer en deux fils conducteurs. Le premier sera de retrouver les clés cachées par Niccolo Polo pour Altaïr dans toute la ville, bien souvent sous terre à la manière des tombeaux dans Brotherhood. Notre héros sera pour cela aidé par la charmante Sofia, venue par bateau avec notre playboy italien pour ouvrir sa librairie. L'autre partie de l'aventure consistera à récolter des renseignements sur les templiers, dont les activités sont étrangement liées à celle de l'oncle du sultan Sulimane. Pour cela, Ezio pourra compter sur l'aide des assassins de la ville, dirigés par Yusuf. Assassin's Creed Revelations propose ainsi une aventure en deux temps, proposant d'un côté des missions plutôt tournées vers le combat et l'action et d'un autre de l'exploration et des phases de grimpette dans des environnements bien souvent magnifiques. En plus, diverses missions permettent de jouer avec Altaïr après avoir trouvé une clé, nous permettant de découvrir les dernières années de la vie de cet excellent assassin. Outre le fait que ces séquences titillent la nostalgie des fans de la saga, cela apporte une expérience de jeu variée qui détruit littéralement la répétitivité que l'on pouvait reprocher au premier volet de la série. On ne peut néanmoins pas cacher que l'expérience de jeu est très proche de celle proposée par Brotherhood et il était peut-être temps qu'Ezio prenne sa retraite. Malgré cela, Revelations mêle adroitement des phases de plateforme avec des combats dynamiques et efficaces, le tout agrémenté par des missions d'infiltration ou même de course de vitesse sur les toits de la ville. Pour ceux qui s'interrogent sur le sous-titre du soft, sachez que les Révélations s’avèrent finalement moins nombreuses que ce qui était escompté et que le peu qui nous est offert ouvre sur encore plus de questions...
Bien entendu, les développeurs ne nous proposent pas un copier/coller de Brotherhood avec simplement un terrain de jeu différent. Quelques nouveautés viennent enrichir l'expérience Assassin's Creed, déjà très efficace après trois opus.
Lorsqu'Ezio rencontre pour la première fois Yusuf, ce dernier est interpelé par l'absence de lame crochet au bras du héros. L'assassin italien ignore tout de cette invention mais il est rapidement introduit à l'art de cette arme pratique mais non moins meurtrière. Grâce à sa lame crochet, Ezio peut s'accrocher à à peu près tout. Cela s'avère pratique durant une chute lorsqu'une petite séance d'escalade tourne mal, mais aussi pour emprunter les tyroliennes, disséminées un peu partout dans la ville et s'avérant être un moyen de transport rapide, pratique et beaucoup plus grisant que le métro, vous en conviendrez. Grâce à cette arme, notre protagoniste peut parer des ennemis en s'accrochant à leurs vêtements et en passant au dessus d'eux, mais il peut aussi effectuer des exécutions plus violentes. Avec de nombreuses années de combat derrière lui, Ezio n'est pas gêné le moins du monde lorsqu'il plante son crochet dans la gorge d'un ennemi afin de le faire passer au dessus de lui, ou bien quand il décapite à moitié un adversaire, le tout pour notre plus grand plaisir.. Les combats au corps-à-corps, réalisés par notre assassin italien préféré, sont quant à eux encore plus palpitants qu'avant. Il est désormais possible de voler son adversaire tout en parant son attaque, un mouvement des plus classes à exécuter et après avoir récolté un peu d'argent, il est aussi possible d'acheter un fourreau renforcé qui permet de disposer d'une arme lourde en permanence, chose bienvenue contre les gardes en armure, plus résistants que les autres.Cependant, ces petites nouveautés ne seront au final que peu utilisées au combat et les tyroliennes seront utiles lorsqu'on en voit une qui se dresse devant nous. sinon, il est plus rapide de se rendre à destination de toits en toit plutôt que de faire un détour pour aller chercher une corde qui ne nous fera que traverser quelques rues.
Dans Assassin's Creed II, il était déjà possible d'utiliser des bombes fumigènes pour se défaire de situations délicates. Mais à Constantinople, on est passé à la vitesse supérieure et il est désormais possible de fabriquer toutes sortes de bombes personnalisées. Cela va de la simple fumigène à la bombe à fragmentation, en passant par celle qui envoie du sang animal pour effrayer la foule. Des petits établis ont été placés un peu partout dans la ville pour pouvoir fabriquer des explosifs. Il suffit de placer de la poudre au champ d'action plus ou moins élevé avec un accessoire comme des billes en plomb ou du poison dans sa bombe pour que ça soit près. Trois catégories existent : les fragmentations, les fumigènes et celles de diversion, qui permettent d'éloigner les gardes d'un certain point ou de les attirer dans un piège. Les explosifs peuvent bien entendu exploser au contact, mais il existe aussi des détonateurs, voire des mines de proximité. Au joueur de choisir ce qu'il préfère en fonction du type de bombe qu'il fabrique. Les ingrédients peuvent être facilement trouvés dans des coffres, placés dans les rues de Constantinople, ou sur les cadavres des gardes, ce qui fait qu'on n'aura jamais grand mal à en trouver. Grâce aux bombes, de très nombreuses possibilités de combat font leur apparition. Il est par exemple possible d'éloigner des gardes d'une porte avec une bombe bruyante, alors qu'un explosif dispersant des pièces rendra la foule complètement hystérique. Les mines seront très utiles associées avec le Sens de l'Aigle d'Ezio, dévoilant désormais la ronde décrite par les gardes. L'aspect infiltration n'en est ainsi que plus poussé avec ces quelques possibilités qui s'offre désormais à nous. Néanmoins, Revelations nous laisse tout de même un goût de déjà vu dans la bouche après avoir bouclé l'aventure. Les nouveautés, même si elles sont bienvenues, ne sont pas révolutionnaires pour autant, même si l'expérience de jeu n'en est du coup que plus complète.

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Rien n'est vrai, tout est permis
Outre ces petites nouveautés, on retrouve ce qui a fait la gloire de la saga Assassin's Creed ces dernières années. Le système d'escalade des bâtiments est toujours très efficace et il est des plus plaisant de se balader de toit en toit dans Constantinople. La lame-crochet permet en plus de grimper plus rapidement et pour atteindre des points légèrement plus hauts. On atteint ainsi plus vite le haut des tours qui permettent de se synchroniser et de dévoiler la mini-carte ce qui permet de voir où se trouvent les échoppes à rénover. En payant pour ouvrir ces dernières, on accroit sa domination de la ville et donc ses revenus, transférés automatiquement toutes les 20 minutes dans la banque de la ville. A noter que chaque bâtiment acheté fait grimper d'un quart la jauge de vigilance des gardes. Lorsque celle-ci est entièrement remplie, Ezio est beaucoup plus vite repéré lorsqu'il exécute des cabrioles et les repères repris aux mains des assassins peuvent être attaqués par des templiers. En effet, tout comme dans Brotherhood, les méchants surveillent certains quartiers de la cité, empêchant à notre protagoniste de pouvoir débloquer quelques échoppes. Il faut alors tuer le capitaine du repère pour le conquérir. Si Ezio est activement recherché, les templiers lancent l'assaut sur un repaire capturé et il faut alors s'y rendre pour le défendre dans une petite session de Tower Defense. Cette dernière s'avère assez bien pensée. Elle consiste à placer des barricades dans la rue qui mène directement à la tour des assassins, et de disposer ses troupes sur les toits. Ezio peut aussi ordonner des coups de canon, qui se rechargent au bout du court laps de temps. Tout ce beau monde coûte du moral, gagné en tuant des assaillants ou en ordonnant la fouille de leurs cadavres. Les fusiliers, avec une cadence de tir plus lente mais une puissance de feu plus importante sont ainsi plus chers que de simples archers. Au fur et à mesure des parties, de nouvelles unités et barrières défensives se débloquent. Cela donne envie de parcourir plus longuement ce mode, même si on essayera de ne pas y jouer plusieurs fois à la suite, tant il s'avère finalement répétitif. De plus, la vue depuis Ezio positionné sur un toit n'est pas tout le temps des plus pratiques, les emplacements pour unités étant parfois assez difficilement visibles, surtout lorsqu'on doit s’occuper de regarder les ennemis en même temps. Mais cette petite nouveauté est néanmoins bienvenue pour quelques sessions.
Bien entendu, les parachutes sont toujours de la partie et les grands absents sont finalement les chevaux, les rues de Constantinople se révélant peu pratiques pour de folles chevauchées. On préfèrera ainsi le réseau souterrain pour se déplacer rapidement, même s'ils entrainent un chargement. Ceux-ci sont d'ailleurs parfois un peu trop nombreux et assez longs.
Assassin's Creed Revelations va aussi combler les collectionneurs en herbe. Il est en effet possible de récolter dix pages d'un manuscrit dans toute la ville de Constantinople, ainsi que 100 fragments de l'Animus. Ces derniers, une fois retourné dans la peau virtuelle de Desmond, donnent accès à des passages spéciaux en vue à la première personne. Assez étranges, ces niveaux se présentent sous la forme de grandes salles à l'esthétique épurée dans lesquelles il faut avancer en faisant apparaître des blocs. Plutôt faciles au premier abord, certains passages demandent une certaine dextérité, des flux pouvant dévier les blocs ou les supprimer. Cette expérience novatrice dans la série permet surtout d'en apprendre plus sur la jeunesse de Desmond et sur sa famille, mais aussi de débloquer des éléments pour le multijoueur. Mention spéciale au passage de la discothèque, dans lequel la musique et les lasers forment un très joli spectacle.
De nouvelles armures se débloquent aussi dans les forges, ainsi que des tenues chez les couturiers, permettant de personnaliser Ezio des pieds à la tête afin de créer son assassin idéal. Lorsque l'on recrute des assassins en sauvant un citoyen attaqué par des gardes, il rejoint alors la confrérie et il est possible de lui fait revêtir une capuche ou un masque. Il est alors possible de les envoyer en mission dans le bassin méditerranéen. Ces missions sont de difficultés variées et demandent un certain sens de la stratégie. En effet, envoyer trois assassins sur une mission corsée les récompensera avec plus d'expérience qu'ils s'ils partaient tous dans une quête plus facile chacun de leur côté. Il faut donc savoir gérer son équipe, ces missions étant essentielles, ces dernières permettant de débloquer des armes plus puissantes pour ses acolytes. C'est véritablement un bonheur lorsque l'on arpente les rues d'ordonner l'assassinat d'un groupe de gardes placés devant soi par ses petits assassins. En appelant ses alliés en plein combat, ils pourront aussi aider Ezio à combattre.

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Constantinople, la ville de toutes les folies
Constantinople est un terrain de jeu gigantesque mais elle n'en fourmille pas moins de détails. Escalader une tour et apercevoir le ciel rempli d'oiseaux au crépuscule est un pur bonheur. On passe sans cesse de quartiers pauvres aux maisons de bois à de grandes places avec des fontaines et des buissons fleuris le long de chemins pavés. A chaque coin de rue, on trouve des gens en train de fumer assis sur des coussins ou bien un héraut criant à la foule que les assassins sont un mal pour la ville. Heureusement, le soudoyer ne coûte pas bien cher pour qu'il chante vos louanges et fasse baisser la jauge de vigilance d'Ezio d'un quart. Car mieux vaut ne pas s'attirer la fureur des gardes byzantins. Même si les plus faibles seront vaincus facilement, de nouveaux soldats en armure font leur apparition et ils nécessitent d'être blessés/parés trois fois pour mourir. Malheureusement, le challenge sera peu souvent présent tant l'intelligence artificielle des ennemis laisse parfois à désirer. Il n'est ainsi pas rare d'être en train de se battre avec deux gardes et d'attendre que l'un attaque pendant plusieurs minutes ! Il faut alors l'attaquer pour espérer le voir réagir et ainsi lui envoyer une belle parade.
La foule affichée durant les sessions de jeu est toujours aussi dense et sera des plus utiles lorsqu'il faut se dissimuler. La quantité d'éléments à l'écran impressionne, surtout quand on voit la taille de Constantinople, mettant 15 minutes en moyenne à être traversée du Nord au Sud en courant. Malheureusement, on retrouve un défaut présent dans tous les opus de la saga qui sont les problèmes de collision. Il n'est en effet pas rare de planter sa lame secrète dans le vent alors que l'ennemi est bel et bien tué. Certaines exécutions se font complètement à côté de la cible et les vêtements transpercent les corps. Des petits défauts qui viennent entacher des animations pourtant fluides et bien réalisées. Malheureusement, les environnements grandioses dans lesquels on évolue pour trouver les clés de la bibliothèque de Masyaf ne nous feront pas oublier ce moteur graphique qui commence à dater. On passe de souterrains sombres et humides habités uniquement par des chauves-souris à un fleuve à moitié couvert par des arches en pierre survolé par des petits papillons et qui laisse filtrer de magnifiques jeux de lumière. C'est dans ses sessions malheureusement trop courtes qu'on sera le plus impressionné par la direction artistique du titre qui, même si elle s'avère très efficace par la quantité de détails affichés et la taille de la cité, n'est finalement qu'une reprise du moteur graphique d'Assassin's Creed II.
Un effort a aussi été réalisé sur la bande-son, plus présente qu'auparavant. La musique plutôt dynamique durant les phases d'action fait place à des mélodies douces le reste du temps. Ce sont des morceaux plus épiques qui sont proposés durant les phases de recherche des clés, faisant encore plus ressortir la majesté des scènes. Les passages dans les souvenirs de Desmond proposent quant à eux une bande-son aux tonalités plus modernes pour un décor qui l'est tout autant.
On retrouve la voix de tombeur de notre ami Ezio dans des dialogues de qualité, même en version française et certaines répliques des citoyens sont très drôles comme ''Drôle d'accoutrement, ça doit être un français'' ou ''Il est impressionnant pour son âge'', lancé par une voix féminine et sensuelle.

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Ezio Auditore et les 40 voleurs
La grande nouveauté avec Brotherhood était l'apparition du multijoueur dans la saga. Révélations propose lui aussi un mode online histoire de s'assassiner gaiement entre amis. De nouveaux modes viennent se greffer au multi comme la Capture de relique, dans lequel celui qui détient le trésor devient la cible de tous, ou bien Corruption, consistant en une bataille entre corrompus et combattants encore sains. Mais ce qui retient plus particulièrement l'attention ce sont les modes Deathmatch, aussi bien en équipe qu'en solitaire. En début de partie, on sélectionne un personnage et les compétences qui vont avec. Ces dernières se débloquent au fur et à mesure des niveaux gagnés et les skins se déverrouillent en terminant le solo. Les capacités spéciales peuvent être personnalisées dans le menu afin de créer son assassin parfait. Ensuite, une cible nous est assignée. Une petite boussole apparaît alors en bas de l'écran, se remplissant en fonction de la distance entre le joueur et sa proie. Une fois repéré parce qu'il court ou marche d'une façon peu naturelle, on assassine sa cible. Contrairement à la plupart des jeux multijoueurs actuels, ce n'est pas le nombre de kills qui importe mais le style. Repérer sa cible depuis un toit puis l'assassiner depuis un tas de foin rapportera beaucoup plus de points que de foncer en sprintant sur sa proie et de l'exterminer comme un barbare. L'exercice est difficile car on est nous-même la cible d'un autre joueur. Il faut donc savoir rester discret, tout en pourchassant assez rapidement et efficacement son contrat. De nombreuses compétences peuvent nous venir en aide comme la capacité de déguisement, consistant à modifier temporairement l'apparence de son personnage, ou bien une fumigène lorsqu'on voit son poursuivant s'approcher d'un peu trop près. Le leurre est aussi un bon moyen de feinter l'ennemi, ce dernier consistant à envoyer un clone de son personnage en courant loin de soi. Il faut savoir que si l'on repère son poursuivant, il est possible de l'humilier pour prendre la fuite pendant qu'il se remet de la baffe qu'on lui a envoyé, sachant qu'une nouvelle proie lui sera assignée, tout comme lorsqu'il tue des personnages innocents. Si l'humiliation parait trop risquée, il est aussi possible de s'échapper directement en sprintant, engageant une course-poursuite effrénée dans la carte. Le multijoueur s'avère ainsi très efficace et plus équilibré que Brotherhood (on peut devenir invisible quelques secondes lorsqu'on assassine discrètement sa cible, empêchant de se faire tuer par son propre poursuivant par exemple).
Le tout nous est livré avec un lot de cartes, allant de différents quartiers de Constantinople au Mont Saint-Michel et certaines issues de Brotherhood ont aussi été réintégrées à ce nouvel opus. Chaque map possède ses caractéristiques, avec plus ou moins de cachettes, de mécanismes pour grimper rapidement sur les toits ou de portes à claquer au nez de son poursuivant en pleine course-poursuite. De quoi prolonger l'aventure solo, pourtant déjà bien longue, une bonne vingtaine d'heures étant nécessaire pour venir à bout de la campagne et des quêtes secondaires.


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