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LE CAFÉ CONSTANTQu’est ce que c’est? Soyons sincère, le Café...

Par Lascensionculinaire
LE CAFÉ CONSTANTQu’est ce que c’est?
Soyons sincère, le Café...
LE CAFÉ CONSTANTQu’est ce que c’est?
Soyons sincère, le Café...
LE CAFÉ CONSTANTQu’est ce que c’est?
Soyons sincère, le Café...
LE CAFÉ CONSTANTQu’est ce que c’est?
Soyons sincère, le Café...
LE CAFÉ CONSTANTQu’est ce que c’est?
Soyons sincère, le Café...
LE CAFÉ CONSTANTQu’est ce que c’est?
Soyons sincère, le Café...

LE CAFÉ CONSTANT
Qu’est ce que c’est?

Soyons sincère, le Café Constant n’était pas notre premier choix pour ce samedi midi de fin février. Attirés successivement par le Septime (XI° arrondissement ) puis par le Pantruche (IX° arrondissement ), nous nous voyons opposés le désormais célèbre et presque habituel “Mais Monsieur, nous sommes fermés le samedi midi”. En catastrophe, nous partons à la recherche d’un Plan B. Presque naturellement, nous nous tournons vers le très médiatique Christian Constant et sa ribambelle de restaurants rue Saint Dominique (VII° arrondissement ). C’est ouvert le samedi, et sans réservation. On hésite un moment entre le Violon D’Ingres et le Café Constant. Après un court brain-storming impliquant notre conseiller ING Direct, nous nous dirigeons d’un pas léger vers le Café Constant. 

Créé par Christian (le très sévère juré de Top Chef!) et Catherine Constant en 2003, aujourd’hui mené d’une main de maitre par Eduardo Jacinto Avelar, Le Café Constant a tout du bistronomique chic (VII° arrondissement oblige) duquel se dégage une douce odeur de tradition. Le local est petit malgré ses deux étages et favorise les rapprochements (ça se bouscule).

Qu’est ce qu’on y mange?

Une cuisine traditionnelle souvent revisitée avec imagination. On respecte les produits du terroir en les cuisinant et les associant avec modernité. Ce jour ci, nous nous laissons tentés par l’entrée du jour (Pressé d’endives à l’orange, noix de saint jacques pochées) et le plat du jour (Filet de lotte roulé au jambon, risotto à la fleur de thym) pour l’un, et un petit tour sur la carte pour l’autre (Tarte fine aux gambas grillées suivie d’une volaille “patte bleue” rôtie au beurre d’herbes et ses pommes grenailles rissolées). Pour le dessert c’est du classique crumble aux pommes.

Est ce que c’est bon?

Oui c’est très bon mais surtout très fin. 

De plus, les vins sont sélectionnés avec justesse; les novices en la matière ne peuvent qu’être agréablement surpris, du vraibistronomiquequoi!

Ça nous plaît  

  • La modernisation réussie d’une certaine cuisine française traditionnelle.
  • Le dressage des entrées.
  • Les plats copieux.
  • La bonne humeur du personnel.

Ça nous plaît moins 

  • La salle du bas est exiguë et encombrée. On vous conseille encore moins l’étage, trop sombre et proposant trop de tables… à moins que vous aimiez manger les uns sur les autres.
  • Un service jeune mais pas particulièrement réactif.
  • Le côté rayon “Livres de cuisine” dès que l’on lève la tête. Eh oui, qui dit chef médiatique dit merchandising (jusque dans votre assiette!).
  • Pas de formule le midi.

Le prix?

Les plats sont bons et généreux, sans parler de la localisation (vous êtes à 5min de la Tour Eiffel). Le prix s’en ressent mais reste raisonnable vu les conditions.
Comptez 45€ pour l’association Entrée/Plat/Dessert + boissons.

Le petit plus?

Pour les budgets (légèrement) plus serrés et les amateurs de concept, une visite chez le petit frère, Les Cocottes de Constant s’impose. Chronique à suivre…

On y retourne?

On essaiera avant les deux autres restaurants parisiens de Christian Constant, mais pourquoi pas, si on est dans le coin. Budget à prévoir.

C’est où?

139 rue Saint Dominique, 75007 Paris.


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