Magazine Côté Femmes

Et rien ne change....

Publié le 19 avril 2012 par Marigotine

 

Compte à rebours.

La note va être salée pour les Londonniens!

         + de 10 milliards....

C'est pas qu'on 100 fout mais quand même 5ronds ça coûte cher.......


Compte à rebours. Les gardes de la reine ont formé un immense «100», devant le Horse Guards Building à Londres, pour marquer le début du compte à rebours avant le coup d'envoi des Jeux Olympiques. Cent jours très exactement avant d'accueillir ses troisièmes Jeux olympiques d'été, la capitale britannique a enchaîné mercredi célébrations, épreuves-tests des installations sportives et déclarations rassurantes sur la sécurité de l'événement et la fiabilité des transports. Pour cette édition, c'est la reine Elizabeth II qui se chargera d'ouvrir le bal. À 100 jours de l'ouverture, le slogan des organisateurs a d'ailleurs été dévoilé: «inspirer une génération». Et pour cette génération, aucune limite n'est apparemment de mise: le budget initialement annoncé à 3 milliards d'euros pendant la candidature pourrait finalement atteindre plus de 10 milliards d'euros!
Compte à rebours. Les gardes de la reine ont formé un immense «100», devant le Horse Guards Building à Londres, pour marquer le début du compte à rebours avant le coup d'envoi des Jeux Olympiques. Cent jours très exactement avant d'accueillir ses troisièmes Jeux olympiques d'été, la capitale britannique a enchaîné mercredi célébrations, épreuves-tests des installations sportives et déclarations rassurantes sur la sécurité de l'événement et la fiabilité des transports. Pour cette édition, c'est la reine Elizabeth II qui se chargera d'ouvrir le bal. À 100 jours de l'ouverture, le slogan des organisateurs a d'ailleurs été dévoilé: «inspirer une génération». Et pour cette génération, aucune limite n'est apparemment de mise: le budget initialement annoncé à 3 milliards d'euros pendant la candidature pourrait finalement atteindre plus de 10 milliards d'euros!" title="Et rien ne change...." />Compte à rebours. Les gardes de la reine ont formé un immense «100», devant le Horse Guards Building à Londres, pour marquer le début du compte à rebours avant le coup d'envoi des Jeux Olympiques. Cent jours très exactement avant d'accueillir ses troisièmes Jeux olympiques d'été, la capitale britannique a enchaîné mercredi célébrations, épreuves-tests des installations sportives et déclarations rassurantes sur la sécurité de l'événement et la fiabilité des transports. Pour cette édition, c'est la reine Elizabeth II qui se chargera d'ouvrir le bal. À 100 jours de l'ouverture, le slogan des organisateurs a d'ailleurs été dévoilé: «inspirer une génération». Et pour cette génération, aucune limite n'est apparemment de mise: le budget initialement annoncé à 3 milliards d'euros pendant la candidature pourrait finalement atteindre plus de 10 milliards d'euros!" border="0" />   Les gardes de la reine ont formé un immense «100», devant le Horse Guards Building à Londres, pour marquer le début du compte à rebours avant le coup d'envoi des Jeux Olympiques. Cent jours très exactement avant d'accueillir ses troisièmes Jeux olympiques d'été, la capitale britannique a enchaîné mercredi célébrations, épreuves-tests des installations sportives et déclarations rassurantes sur la sécurité de l'événement et la fiabilité des transports. Pour cette édition, c'est la reine Elizabeth II qui se chargera d'ouvrir le bal. À 100 jours de l'ouverture, le slogan des organisateurs a d'ailleurs été dévoilé: «inspirer une génération». Et pour cette génération, aucune limite n'est apparemment de mise: le budget initialement annoncé à 3 milliards d'euros pendant la candidature pourrait finalement atteindre plus de 10 milliards d'euros! Crédits photo : Handout/Getty Images/AFP Et pendant ce temps là d'autres expriment leur rage...    qui sera réprimée "of course"....   
Arrestations. Des protestataires membres du mouvement de contestation pacifique «Occupy Wall Street» ont été arrêtés par des policiers devant la bourse de New York mardi dernier. Depuis le début du mouvement qui a débuté en septembre 2011, un vent de révolte a mobilisé la jeunesse mondiale, balayant certaines grandes capitales du sud de l'Europe et les grandes villes d'Amérique du Nord. «Occupons Wall Street» entend dénoncer les abus du capitalisme financier. La «mobilisation populaire» a commencé par un appel sur les médias sociaux et conteste le fait que 1% de la population la plus riche, contrôlent 99 % des richesses de la planète. «Ce que nous avons tous en commun, c'est que nous sommes les 99 % qui ne tolèrent plus l'avidité et la corruption des 1 % restant.».Selon Adbusters, un des premiers organisateurs des manifestations, le principal objectif de la protestation est de demander au président Barack Obama «d'ordonner une commission présidentielle pour mettre fin à l'influence que l'argent a sur la représentation à Washington».
Arrestations. Des protestataires membres du mouvement de contestation pacifique «Occupy Wall Street» ont été arrêtés par des policiers devant la bourse de New York mardi dernier. Depuis le début du mouvement qui a débuté en septembre 2011, un vent de révolte a mobilisé la jeunesse mondiale, balayant certaines grandes capitales du sud de l'Europe et les grandes villes d'Amérique du Nord. «Occupons Wall Street» entend dénoncer les abus du capitalisme financier. La «mobilisation populaire» a commencé par un appel sur les médias sociaux et conteste le fait que 1% de la population la plus riche, contrôlent 99 % des richesses de la planète. «Ce que nous avons tous en commun, c'est que nous sommes les 99 % qui ne tolèrent plus l'avidité et la corruption des 1 % restant.».Selon Adbusters, un des premiers organisateurs des manifestations, le principal objectif de la protestation est de demander au président Barack Obama «d'ordonner une commission présidentielle pour mettre fin à l'influence que l'argent a sur la représentation à Washington»." title="Et rien ne change...." />Arrestations. Des protestataires membres du mouvement de contestation pacifique «Occupy Wall Street» ont été arrêtés par des policiers devant la bourse de New York mardi dernier. Depuis le début du mouvement qui a débuté en septembre 2011, un vent de révolte a mobilisé la jeunesse mondiale, balayant certaines grandes capitales du sud de l'Europe et les grandes villes d'Amérique du Nord. «Occupons Wall Street» entend dénoncer les abus du capitalisme financier. La «mobilisation populaire» a commencé par un appel sur les médias sociaux et conteste le fait que 1% de la population la plus riche, contrôlent 99 % des richesses de la planète. «Ce que nous avons tous en commun, c'est que nous sommes les 99 % qui ne tolèrent plus l'avidité et la corruption des 1 % restant.».Selon Adbusters, un des premiers organisateurs des manifestations, le principal objectif de la protestation est de demander au président Barack Obama «d'ordonner une commission présidentielle pour mettre fin à l'influence que l'argent a sur la représentation à Washington»." border="0" />  Des protestataires membres du mouvement de contestation pacifique «Occupy Wall Street» ont été arrêtés par des policiers devant la bourse de New York mardi dernier. Depuis le début du mouvement qui a débuté en septembre 2011, un vent de révolte a mobilisé la jeunesse mondiale, balayant certaines grandes capitales du sud de l'Europe et les grandes villes d'Amérique du Nord. «Occupons Wall Street» entend dénoncer les abus du capitalisme financier. La «mobilisation populaire» a commencé par un appel sur les médias sociaux et conteste le fait que 1% de la population la plus riche, contrôlent 99 % des richesses de la planète. «Ce que nous avons tous en commun, c'est que nous sommes les 99 % qui ne tolèrent plus l'avidité et la corruption des 1 % restant.».Selon Adbusters, un des premiers organisateurs des manifestations, le principal objectif de la protestation est de demander au président Barack Obama «d'ordonner une commission présidentielle pour mettre fin à l'influence que l'argent a sur la représentation à Washington». Crédits photo : © Andrew Burton / Reuters/REUTERS

Un défilé résille chocolat au lait et chocolat blanc...

à moins que ce ne soit  la marche de la future expédition de pruneaux locaux....

Défilé. Chaque année, en avril, l'armée iranienne organise une parade militaire. Et 2012 n'a pas fait exception à la règle. Une nouvelle fois, ces soldats iraniens ont participé à une gigantesque procession en treillis, mardi 17 avril à Téhéran, pour démontrer la force de l'armée iranienne. Comme de juste certains ont même défilé en uniforme de camouflage devant des responsables militaires. Le président Mahmoud Ahmadinejad était également présent et a profité de l'occasion pour déclarer que «l'armée ferait regretter à ses ennemis toute forme d'agression».
Défilé. Chaque année, en avril, l'armée iranienne organise une parade militaire. Et 2012 n'a pas fait exception à la règle. Une nouvelle fois, ces soldats iraniens ont participé à une gigantesque procession en treillis, mardi 17 avril à Téhéran, pour démontrer la force de l'armée iranienne. Comme de juste certains ont même défilé en uniforme de camouflage devant des responsables militaires. Le président Mahmoud Ahmadinejad était également présent et a profité de l'occasion pour déclarer que «l'armée ferait regretter à ses ennemis toute forme d'agression»." title="Et rien ne change...." />Défilé. Chaque année, en avril, l'armée iranienne organise une parade militaire. Et 2012 n'a pas fait exception à la règle. Une nouvelle fois, ces soldats iraniens ont participé à une gigantesque procession en treillis, mardi 17 avril à Téhéran, pour démontrer la force de l'armée iranienne. Comme de juste certains ont même défilé en uniforme de camouflage devant des responsables militaires. Le président Mahmoud Ahmadinejad était également présent et a profité de l'occasion pour déclarer que «l'armée ferait regretter à ses ennemis toute forme d'agression»." border="0" />   Chaque année, en avril, l'armée iranienne organise une parade militaire. Et 2012 n'a pas fait exception à la règle. Une nouvelle fois, ces soldats iraniens ont participé à une gigantesque procession en treillis, mardi 17 avril à Téhéran, pour démontrer la force de l'armée iranienne. Comme de juste certains ont même défilé en uniforme de camouflage devant des responsables militaires. Le président Mahmoud Ahmadinejad était également présent et a profité de l'occasion pour déclarer que «l'armée ferait regretter à ses ennemis toute forme d'agression». Crédits photo : AA/AA/ABACA 2012 pas d'accalmie à l'horizon.... et toujours les commémorations des guerres passées!           Y peuvent pas passer à autre chose!
Dans les airs. Les membres de l'équipage du bateau <i></div>Le Guayas</i> n'ont pas peur du vide et se sont installés près du mât, dans le port de la Nouvelle-Orléans (États-Unis). Le ministère de la Défense équatorienne, son propriétaire, a fait construire ce trois-mâts barque en 1977. Il porte le nom du principal fleuve de l'Équateur et du chef de la tribu précolombienne des Huancavilca, qui vivaient dans la région de Guayaquil (son port d'attache). Ces 80 cadets de l'Ecole supérieure navale, encadrés par 60 officiers et marins, y reçoivent leur instruction finale avant d'intégrer la Marine équatorienne. Cette semaine des festivités sont organisées à l'occasion de la commémoration du bicentenaire de la guerre de 1812 à la Nouvelle-Orléans.Dans les airs. Les membres de l'équipage du bateau Le Guayas n'ont pas peur du vide et se sont installés près du mât, dans le port de la Nouvelle-Orléans (États-Unis). Le ministère de la Défense équatorienne, son propriétaire, a fait construire ce trois-mâts barque en 1977. Il porte le nom du principal fleuve de l'Équateur et du chef de la tribu précolombienne des Huancavilca, qui vivaient dans la région de Guayaquil (son port d'attache). Ces 80 cadets de l'Ecole supérieure navale, encadrés par 60 officiers et marins, y reçoivent leur instruction finale avant d'intégrer la Marine équatorienne. Cette semaine des festivités sont organisées à l'occasion de la commémoration du bicentenaire de la guerre de 1812 à la Nouvelle-Orléans." title="Et rien ne change...." />Dans les airs. Les membres de l'équipage du bateau Le Guayas n'ont pas peur du vide et se sont installés près du mât, dans le port de la Nouvelle-Orléans (États-Unis). Le ministère de la Défense équatorienne, son propriétaire, a fait construire ce trois-mâts barque en 1977. Il porte le nom du principal fleuve de l'Équateur et du chef de la tribu précolombienne des Huancavilca, qui vivaient dans la région de Guayaquil (son port d'attache). Ces 80 cadets de l'Ecole supérieure navale, encadrés par 60 officiers et marins, y reçoivent leur instruction finale avant d'intégrer la Marine équatorienne. Cette semaine des festivités sont organisées à l'occasion de la commémoration du bicentenaire de la guerre de 1812 à la Nouvelle-Orléans." border="0" />  Les membres de l'équipage du bateau Le Guayas n'ont pas peur du vide et se sont installés près du mât, dans le port de la Nouvelle-Orléans (États-Unis). Le ministère de la Défense équatorienne, son propriétaire, a fait construire ce trois-mâts barque en 1977. Il porte le nom du principal fleuve de l'Équateur et du chef de la tribu précolombienne des Huancavilca, qui vivaient dans la région de Guayaquil (son port d'attache). Ces 80 cadets de l'Ecole supérieure navale, encadrés par 60 officiers et marins, y reçoivent leur instruction finale avant d'intégrer la Marine équatorienne. Cette semaine des festivités sont organisées à l'occasion de la commémoration du bicentenaire de la guerre de 1812 à la Nouvelle-Orléans. Crédits photo : © Sean Gardner / Reuters/REUTERS

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