Dans une étude publiée par PLoS ONE, une équipe franco-australienne dirigée par des chercheurs de l’Institut pluridisciplinaire Hubert CURIEN – IPHC (CNRS/Université de Strasbourg) montre que, pendant la saison de reproduction, le manchot pygmée se sert des brusques variations de température dans la colonne d'eau (les thermoclines) comme indicateurs des zones où se concentrent ses proies. Ces marqueurs physiques pourraient donc leur permettre d’optimiser leur prise alimentaire.
http://www.cnrs.fr/inee/communication/breves/laure_pelletier.htm