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Critiques Séries : Suburgatory. Saison 1. Episodes 16 à 22.

Publié le 17 mai 2012 par Delromainzika @cabreakingnews

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Suburgatory // Saison 1. Episodes 16, 17, 18, 19, 20, 21 et 22. Poetic Injustice / Independence Day / Down Time / Entering Eden / Hear No Evil / The Great Compromise / The Motherload (SEASON FINALE).


Ma critique du dernier épisode de Suburgatory (donc le 15) était celle qui mettait un point d'honneur à arrêter la série. J'en avais marre de ne pas rire et de trouver ça chiant. Afin d'être généreux j'ai donc tenté de regarder, "Poetic Injustice", la suite de cette série, avec beaucoup de mal j'ai lancé ce nouvel épisode. Et c'était un peu mieux. Peut être que j'aurais pas du arrêter la série finalement. En effet, dans ce nouvel épisode quand Fred et Sheila font une partie de croquet avec Dallas et George, Fred a entendu Sheila, sa femme, dire qu'elle serait intéressée par George. S'en suit alors toute une histoire farfelue où Fred va tenter de savoir pourquoi. Fred va donc dire tout ça à George, que Sheila fantasme sur lui (la scène quand il lui son journal intime était grandiose quand même. Très débile mais grandiose. C'est même un des rares moments de l'épisode où j'ai bien ri). Mais ce n'était pas gagné. Cette histoire n'avait rein de bien passionnante à première vue. Mais les situations sont bonnes et George qui tente de séduire Sheila ça aussi c'était marrant. Même si la chute finale de l'histoire est décevante (on découvre qu'en fait c'est le George d'un talk show dont elle est amoureuse et pas le George voisin), on passe un bon moment durant l'épisode.

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Pendant ce temps, Tessa tente par tous les moyens d'impressionner sa nouvelle prof de lettres ou plutôt de poésie (franchement, ils se moquent de nous non ? Des cours de poésie ? Je veux bien qu'on est des cours d'anglais littéraire au lycée mais de poésie). Bref, cette prof était bizarre. Sa tête m'inspirait pas confiance du tout. Mais cette gentille prof, un peu punk sur les bords, Ms. Evans, semble préférer la prose de Dalia. S'en suit donc une ribambelles de scènes plus où moins sympathiques grâce à la belle petite Dalia. Enfin belle… si on aime le vulgo-bourgeois. Suburgatory livrait donc ici un épisode correct, et cela fait du bien de se dire que le sujet de base qui était bon n'est pas trop mort.
Note : 5.5/10. En bref, un épisode très cul cul mais marrant par certains aspects. Mais comme à son habitude, Suburgatory ne casse pas trois pattes à un canard.
Mon soucis avec Suburgatory ne s'achève finalement pas avec ce que j'ai vu jusqu'ici. Alors qu'au début je pouvais dire que cette série était plutôt bonne, petit à petit je me suis lassé de ce ton narcissique et totalement décousu d'une once d'originalité, répétant chaque semaine les mêmes mimiques. Dans "Independence Day", Suburgatory tente de nouvelles choses sans forcément y parvenir totalement. L'idée de jouer sur l'indépendance de Tessa vis à vis de son père aurait pu être pas mal et elle l'était, notamment quand Tessa et George sont en duo et qu'ils se renvoient la balle. Mais dès que la série plonge dans le drama (et là je parle du poème de Tessa sur sa mère), c'était vraiment ennuyeux.
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Il y a certaines sitcoms qui sont bonnes dans ce genre là, je pense notamment à New Girl qui exploite le registre dramatique avec beaucoup de parcimonie (je compare avec les nouvelles séries de la saison, pas avec les anciennes, sinon j'aurais pu cité une The Office). Bref, le but de ce nouvel épisode est vraiment d'apporter une nouvelle dynamique autour de Tessa et de George. Tessa qui tente de trouver un emploi chez Dallas (une tentative ratée pour moi, car les scénaristes n'ont pas capitalisés sur le duo, loin de là, rien est spécialement drôle, sauf peut être une ou deux répliques). Ensuite la relation George / Dallas qui reste très synthétique, et trop molle. Je soucis c'est Jeremy Sisto et sa bonne poire de nounours. Au bout d'un moment, le moment des Bisounours m'ennui vraiment (même si certaines séries je gère avec beaucoup de sympathie). Du coup, ce nouvel épisode de Suburgatory manque d'énergie. Ce que j'ai cependant bien aimé dans cet épisode c'est Dalia. Elle était au sommet (encore une fois). Ce personnage est parfois mon préféré de la série. Cela arrive, même si je peux en dire du mal. Elle était fabuleuse dans cet épisode. Et j'aurais aimé en voir un peu plus.
Au final, "Independence Day" était un épisode très moyen qui plonge les personnages dans des intrigues trop faciles, trop peu énergiques. La série nous avait habituée à mieux. Et puis quand on voit Dalia sur sa moto, cette intrigue était ridicule car la série ne capitalise même pas dessus. Un gros plouf dans la marre. Mais bon, évidemment d'autres choses seront à apporter à la série pour qu'elle redevienne celle que j'avais bien appréciée au cours de la rentrée.
Note : 3.5/10. En bref, un épisode mou du genou, malgré une Dalia en forme et un duo Tessa / George (uniquement quand ils sont ensemble) réussi. Le reste, poubelle je n'en fais même pas état.
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Après avoir prouvé une nouvelle fois que la série était vraiment inégale (et pouvait faire le pire comme le meilleur), elle va accumuler les bonnes choses dans "Down Time". Il s'agit sûrement du meilleur épisode diffusé jusqu'ici. Même si la vulgarité de la série en général et de l'épisode en lui même peut dérouté (dont moi, qui ne suis vraiment pas fan de ça, surtout du côté exagéré de la sexualisation des gestes Lisa qui se transforme en "ralenti bouffe sexuelle". C'était dégueu, surtout la partie de la cuillère au début de l'épisode, voire même celle de la fondue (et plus je regardais plus j'avais envie de voir Lisa qui s'en met de partout). Même si cette partie de l'épisode est totalement raté, même si tout n'est pas réussi, il y avait de bonnes choses. Je ne veux pas trop m'emballer car tout n'est pas spécialement fun, ni drôle, mais juste parce que j'ai trouvé la relation entre Ryan et Tessa assez bien développée. Depuis le début de la série on s'entiche à nous présenter Ryan comme le personnage le plus débile de la terre.
C'est bel et bien le cas (on abuse encore dans cet épisode de ses faiblesses et ici s'empiffrer de bacon sous les yeux des convives en étant impolis, ou en bueuglant et souriant bêtement parce qu'il a touché les obus de Tessa). Mais malgré toute cette connerie qui englobe l'épisode et cette relation, je sais pas, j'ai senti que quelque chose aillait bien avec ces personnages. Et étrangement, j'en veux encore et encore. C'est un peu comme si l'on me donnait un bonbon et que le paquet n'était pas loin. Cet épisode pourrait presque me tenter de regarder la suite. Vile tentatrice qu'est Suburgatory avec cet épisode. Dommage que je trouve la série assez mauvaise. Pendant ce temps, on a du Noah qui s'amuse sur un matelas. La scène de lui entrain de faire l'amour à de l'air peut aussi rester dans les mémoires de la série (évidemment, pas des séries). Car c'est con et surtout drôle. Le sexe peut être quelque chose de drôle dans certaines situations et le ridicule, complètement assumé dans ce cas ci permet de prendre littéralement son pied.
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Il y a également le duo George / Dallas qui reste assez bon en son genre même si le côté mièvre dégueulasse de la série revient à la charme trop rapidement. Je préfère quand ils se bourrent le nez, quand ils se moquent l'un de l'autre en somme. Mais même si cette partie de l'épisode n'est pas forcément à mon goût dans son intégrale, je ne me suis pas spécialement ennuyé. Et c'est très bon signe, surtout que Suburgatory enchainait les mauvais épisodes depuis quelques semaines auparavant. Comme si elle avait perdu son but primaire : faire rire avec les clichés aussi bien de la banlieue que des personnes de la banlieue. J'ai par ailleurs adoré les soirées de Tessa quand elle est seule et qu'elle crient devant sa télé "Mooooove the bus" quand elle regarde Extreme Makeover : Home Edition (dommage, l'émission a été annulé par ABC cette année). Ou encore Kangourou Jack qui fait une apparition remarquée et assez fun dans son genre.
Note : 9/10. En bref, malgré les nombreuses débilités qui rongent l'épisode par moment, l'ensemble était drôle, sarcastique et caricatural, comme la série doit être. Sûrement le meilleur épisode diffusé jusqu'ici.
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Après l'excellent épisode de la semaine dernière, cette semaine nous avions droit à "Entering Eden", un nouvel épisode de Suburgatory. Et malheureusement, ce n'était pas exactement ce à quoi je m'attendais car cela m'a rappelé de mauvais souvenirs de la série. L'épisode en lui même laisse une impression correcte grâce à deux éléments (Merci Dalia). En effet, ce que j'ai adoré dans un premier temps c'est le changement de position de Dalia et ses amis dans les toilettes. C'était excellent. Je pense que ce qui fait le succès de cette scène c'est qu'elle est tellement spontanée. On ne s'y attendais pas. Dalia et son côté inexpressif aide beaucoup. Car on ne sait jamais quand elle va nous faire rire. La seconde scène qui m'a fait rire c'est évidemment la course poursuite. Elle avait les adages d'une scène de film d'espionnage raté, et c'est sûrement ce qui m'a plu. Mais sinon, le reste de l'épisode manque de charme. Notamment la nouvelle relation de George qui se trouve être la mère porteuse de Noah et sa femme.
Cette intrigue n'était pas drôle du tout (encore moins le coup de George l'allergique, car moi, j'en suis tout bonnement allergique). George est toujours aussi antipathique et pathétique à la fois. J'ai du mal à avoir de la compassion pour un tel personnage. Au fond, Suburgatory est une non-réussite et aussi un gros non-évènement malgré le fait que je dois reconnaitre qu'il y a de bonnes petites idées disséminées dans certains épisodes. Mr Wolfe a enfin droit à une intrigue et c'est affligeant. D'une part parce que son actuel petit ami n'assume pas d'être gay (et on ne fait rien dans la finesse), mais aussi parce que l'histoire du chien à sa mémère c'était vraiment nul. Enfin, je ne comprends pas trop ce qu'il y a d'autre. D'ailleurs, c'est le chien de Dallas, qui a disparu à cause de Dalia. Le face à face mère fille était mauvais comme tout, Tessa ne sert pas non plus à grand chose. La seule réjouissance reste peut être le délire sur les brisures de cristal ?
Note : 3/10. En bref, ok, toujours aussi étrange, cette série ne permet pas à décoller mes zygomatiques et pourtant je suis du genre public facile...
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Quand j'ai découvert Suburgatory en septembre dernier, je me suis dit que l'on tenait une critique acide de la banlieue, efficace et bubble-gum sur les bords. Ce n'était pas génial, mais c'était très sympathique. Cependant, vingt épisodes plus tard, ce n'est qu'un ramassis de clichés pas vraiment drôles. Quelques épisodes sortent du lot, notamment au début de la saison, mais petit à petit on plonge dans le ridicule formaté. Et "Hear No Evil", vingtième 'épisode de la saison ne déroge pas à la règle des épisodes ratés. Je me suis terriblement ennuyé cette fois. Je ne comprends pas vraiment où va la série avec des intrigues aussi ennuyeuses. Je parle évidemment de la grossesse de la mère porteuse, Eden. Alors que pendant une bonne quinzaine d'épisodes on nous a bassiné avec George et Dallas, maintenant on nous sort Eden d'une pochette surprise et l'on tente de nous la faire aimer ? Non mais c'est vraiment bête de la part des scénaristes. Tout ça pour éviter que l'inévitable arrive bien trop tôt et donc… lasse indirectement les "fans" de la série. Sauf qu'ils se trompent.
Si il y a bien quelque chose que les sitcoms single-caméra ont démontrées, c'est que les relations entre les personnages devaient en principe être développées dans la première saison. Regardez CeCe et Schmidt dans New Girl. Au début on pouvait se dire que ce serait une erreur et finalement, c'est l'une des plus belles choses qui pouvait arriver aux deux personnages. Il faut savoir prendre des risques et Suburgatory ne sait pas en prendre. Du coup, on a un épisode qui est encore une fois englué dans les coups fourrés ennuyeux. Notamment ceux de Noah. Ce dernier va aller jusqu'à établir un contrat entre lui et George stipulant qu'il ne peut ni embrasser Eden, ni lui faire l'amour, rien quoi. Bien que cela puisse être drôle sur le fait, c'est carrément débile. Le souci c'est que l'on traine cette intrigue pendant vingt minutes en rabâchant le gag plusieurs fois. Comment éprouver du rire pour ce genre de chose si ce n'est un rire sarcastique. Et c'est un enchainement de choses de ce genre là.
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Notamment Tessa. Elle va devenir manager dans le magasin de Dallas. Encore un lieu qui n'a rien d'intéressant. Je manque de mot pour décrire le ridicule de toute cette mascarade. On est sensé avoir une parodie cinglante et familiale de la banlieue et en lieu et place, on a quoi au juste ? Une série grotesque. On enchaine avec Mr Wolfe qui se voit poussé à acheter une horreur en cristal (de quoi ajouter encore quelque chose à la liste des : ce que les gays achètent comme horreur, et donc : cliché). Le seul truc intéressant de cet épisode c'est Lisa et Ryan. Le frère et la soeur étaient au top niveau dans l'épisode et heureusement. Au final, Suburgatory nous offre encore ce qu'elle ne sait pas faire et à la longue cela en devient lassant, chroniquement parlant. Bref, j'espère que les deux derniers épisodes seront meilleurs…
Note : 3.5/10. En bref, heureusement que Lisa et Ryan sont là, sinon je ne sais pas ce que cet épisode serait...
Alicia Silverstone a sûrement été le pire ajout de cast de la série cette année. Elle n'a jamais améliorer la série, elle n'a fait que l'empirer. Sa relation avec George dans la série est une catastrophe. Cet épisode fait clairement parti des pires que j'ai vu durant cette courte petite saison de 22 épisodes et je suis loin d'envisager de poursuivre l'aventure l'an prochaine si la série est de retour. Disons que les personnages ont tous trouvés le moyen de m'énerver petit à petit. Et Eden est une des raisons. La multiplication de la blague autour de la nourriture dégueulasse qu'elle mange (je n'ai même plu envie de prendre de petit déjeuner le matin, elle m'a vraiment dégoûté avec sa salade bizarre) et quelques références ennuyeuses et pas spécialement intéressantes. Ensuite il y a le côté folle-dinguo que je n'aime pas non plus. L'actrice me rappelle Megan Mullally dans Breaking In. Ce n'est pas un cadeau.
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Ensuite, Tessa qui n'est pas très content qu'Eden vienne s'installer chez George et elle, mais qui pourrait aussi aller faire un stage cet été à New York. Aucune des répliques de Tessa n'est drôle, et le personnage manque donc d'intérêt. Je n'ai pas été amusé par ce que l'on nous raconte. Petit à petit Suburgatory trouve toujours le moment de m'ennuyer. J'ai presque envie de faire la sieste devant les épisodes. C'est sans compter sur le seul truc intéressant de l'épisode : le Kangourou. Lui au moins est drôle. Mais il n'est pas suffisamment présent et je suis déçu que l'on l'est pas vu détruire tout le living room de Dallas. Au final, ce nouvel épisode de Suburgatory était ennuyeux et Alicia Silverstone commence à sérieusement me taper sur le système. Je me demande comment on peut trouver cette série intéressante (quand l'an dernier personne n'avait réussi à accrocher à Better With You qui elle, était drôle). ABC, tu n'as vraiment pas eu de flair pour tes sitcoms cette saison sauf pour… Man Up que je regrette terriblement.
Note : 0/10. En bref, zéro pointé.
Et voilà, cette première saison de Suburgatory s'achève sur une bonne note. Le souci de la série a été de plonger dans quelque chose de feuilletonnant et non plus quelque chose de drôle. On a donc beaucoup de scènes dramatiques. Mais étrangement j'ai beaucoup aimé ce dernier épisode de la saison. Il y a des trucs tellement débiles que j'ai ri. Cela me fait penser qu'à la rentrée, ABC lancera une série qui ressemble beaucoup à Suburgatory mais avec des aliens en plus dedans. Bref, si j'ai bien aimé ce nouvel épisode de Suburgatory c'est parce que l'on a enfin les réponses que l'on attendait. "The Motherload" répond donc à la question de savoir si Lisa a été adoptée ou pas. Le cliffangher de l'épisode nous laisse avec l'information qu'il ne fallait pas louper : Ryan est l'enfant adopté, et pas Lisa. Lisa est la vraie fille de sa mère. Cette intrigue était assez fun parce que Lisa est fun. Je pense que je ne vais pas suivre la seconde saison donc bon, je ne suis pas plus intéressé que ça.
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Alicia Silvestone a été une grosse erreur de casting pour cette série, et cela se ressent à chaque fois que l'on voit son personnage. Du coup, pas étonnant que j'ai toujours envie qu'elle parte. Elle est insupportable et ses envies de sexe sont encore plus répugnantes. La seule scène marrante avec elle et George dans l'épisode c'est la découverture de cette chambre tribale pour l'enfant. Le pauvre, il sera élevé au milieu de peau de serpent, de batte pour tuer les ours polaires, … C'est débile et surtout assez choquant (ils sont aller beaucoup trop loin les scénaristes à mon humble avis) mais assez efficace. On nous prouve combien Noah et sa femme sont complètement barges et qu'il faudrait les faire enfermer. Du coup, rien à redire à leur sujet. Tessa quant a elle attend une réponse pour son stage d'été, mais se sent aussi délaissée alors que l'on fête les mères à Chastwin.
Au final, ce dernier épisode de Suburgatory n'était pas aussi catastrophique que la plupart des épisodes de la saison. J'avais bien aimé les premiers épisodes, voire adorer certains, plus l'intérêt pour la série a fondu quand elle s'est transformée en série grotesque qui veut trop en faire avec des personnages mauvais comme des cochons (je pense surtout à Ellen, à Noah et sa femme, …). J'aime bien Ryan encore une fois qui a sauvé par mal de scènes durant la fin de la saison, ou encore Dalia et Dallas. Les deux sont assez funs ensemble même si tout n'est pas bon à prendre. Bref, je pense m'arrêter là pour cette série, ce fût assez dur à suivre sur 22 épisodes…
Note : 6/10. En bref, pas si catastrophique que ça pour un final, mais pas génial non plus.


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